Dvdclassik : cinéma et DVD

Le dernier duel - 7,5

The French Dispatch : 6/10

tchi-tcha a écrit : ↑22 nov. 21, 19:12 le ryhtme est lent et poseur (pardon, on dit atmosphérique, psychologique et social), la barque est lourdement chargée en trauma et les défauts sont trop pesants.

Du pur Scott Cooper, en somme.

Flol a écrit : ↑23 nov. 21, 15:25 Du pur Scott Cooper, en somme.

Yep, mais tu le regarderas quand même, ne serait-ce que pour son Wendigo, une créature sortie tout droit du bestiaire de Del Toro.

Oui oui, j'ai bien prévu de le voir (mais probablement pas en salle), juste parce que je suis un iencli du cinéma de genre. Mais le nom de Scott Cooper me rebute au plus haut point.
Concernant le Wendigo, j'ai déjà vu la version de Larry Fessenden. Et c'était tout pourri.

MEMORIA (Apichatpong Weerasethakul) - 6,5/10

Old : 5.5/10

Cry Macho : 6/10
Ça ne les vaut objectivement pas, mais le cœur apaisé du film appelle l'indulgence.

Last Night in Soho - Edgar Wright (2021) : 8/10
Commentaire fascinant et étourdissant sur la nostalgie, l’attrait et le danger de regarder en arrière. Last Night in Soho est un film passionnant et engageant qui va de l’avant. J’y ai complètement succombé, film d’horreur psychologique qui mélange des éléments de voyage dans le temps et de mystère dans un package intriguant et éclatant. J’achète !

Julie (en 12 chapitres) 7/10
(Un beau portrait de femme illuminé par son interprète principale. Du coup, on oublie que son personnage de trentenaire qui ne sait pas quoi faire de sa vie reste superficiel, simple portrait générationnel qui ne veut rien oublier - de #metoo au réchauffement climatique en passant par un cancer bien mélodramatique. Mais Renate Reinsve est solaire, donc toutes mes réserves sont balayées d'un sourire.)

Aline 7/10
(Valérie Lemercier parasite un pastiche de biopic nunuche et le remet sur les rails d'une jolie histoire d'amour. Je n'aurais jamais misé un centime sur ce qui s'avère pourtant être une chouette comédie populaire au succès mérité. Comme quoi...)

Demi-Lune a écrit : ↑23 nov. 21, 18:55 MEMORIA (Apichatpong Weerasethakul) - 6,5/10

Karras, j'aimerais monter ma note à 8/10... Le côté obsédant du film marque énormément à rebours, comme un songe flou dont on cherche désespérément à se souvenir le lendemain et dont il ne reste que des sensations puissantes.
Une expérience déroutante et mal-aimable, qui mettra la patience du public à rude épreuve, mais qui, au-delà de son strict pouvoir d'hypnose (littéralement, au travers du rythme interne aux images), prouve que le cinéma peut encore offrir du sens tout en poussant son expression dans des retranchements fascinants.

El Dadal a écrit : ↑23 nov. 21, 23:03 Cry Macho : 6/10
Ça ne les vaut objectivement pas, mais le cœur apaisé du film appelle l'indulgence.

Mais si ça les vaut, objectivement.
C'est un film à voir.

-Aya et la sorcière :

Oui c'est mignon,j'aime bien les personnages de Aya et de Mandrake
Après on attend quand même plus du fils de Miyasaki, j'ai envie de dire comme d'habitude...

5.5/10

Demi-Lune a écrit : ↑24 nov. 21, 10:34

Demi-Lune a écrit : ↑23 nov. 21, 18:55 MEMORIA (Apichatpong Weerasethakul) - 6,5/10

Karras, j'aimerais monter ma note à 8/10... Le côté obsédant du film marque énormément à rebours, comme un songe flou dont on cherche désespérément à se souvenir le lendemain et dont il ne reste que des sensations puissantes.
Une expérience déroutante et mal-aimable, qui mettra la patience du public à rude épreuve, mais qui, au-delà de son strict pouvoir d'hypnose (littéralement, au travers du rythme interne aux images), prouve que le cinéma peut encore offrir du sens tout en poussant son expression dans des retranchements fascinants.

Oui. A voir en salle uniquement

Jack Griffin a écrit : ↑24 nov. 21, 11:12

Demi-Lune a écrit : ↑24 nov. 21, 10:34
Karras, j'aimerais monter ma note à 8/10... Le côté obsédant du film marque énormément à rebours, comme un songe flou dont on cherche désespérément à se souvenir le lendemain et dont il ne reste que des sensations puissantes.
Une expérience déroutante et mal-aimable, qui mettra la patience du public à rude épreuve, mais qui, au-delà de son strict pouvoir d'hypnose (littéralement, au travers du rythme interne aux images), prouve que le cinéma peut encore offrir du sens tout en poussant son expression dans des retranchements fascinants.

Oui. A voir en salle uniquement

Meme si on est mieux equipé à la maison ?