Classement des sorties Cinéma/VOD 2025
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Pepe 5/10
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Wallace et Gromit : La palme de la vengeance [Netflix] (7,5/10)
C'est toujours aussi amusant de retrouver nos deux héros. L'intrigue et les péripéties sont au diapason et modelés de mains de maîtres. On peut reprocher que l'on connait la recette par coeur (le robot va dérailler, Gromit va sauver son maître etc..) mais ça fonctionne toujours pour moi et ça a bien marché sur ma benjamine et ma cadette.
C'est toujours aussi amusant de retrouver nos deux héros. L'intrigue et les péripéties sont au diapason et modelés de mains de maîtres. On peut reprocher que l'on connait la recette par coeur (le robot va dérailler, Gromit va sauver son maître etc..) mais ça fonctionne toujours pour moi et ça a bien marché sur ma benjamine et ma cadette.
Elever des enfants c'est comme ranger sa collection de films : c'est pas comme on voudrait mais c'est bien quand même.
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Un Ours dans le Jura = 8,5/10
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2025
Je le note la du coup
Strange Darling :7.5/10
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« Quand des hommes, même s’ils s’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents, au jour dit, inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. »
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Elevation - George Nolfi - 5,5/10
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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Hiver à Sokcho : 6,5/10
les feux sauvages : 5,5/10
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Six jours (Juan Carlos Medina) 5,5/10
(Un réalisateur américain aux commandes du remake d'un film coréen, on peut donc s'attendre à un polar poisseux/pluvieux façon post-Seven. Sur la forme c'est exactement ça, et ça tient plutôt bien la route de la mise en images à l'interprétation (Sami Bouajila tout à fait correct en Morgan Freeman nordiste). Malheureusement, le récit choisit une mécanique de thriller page turner comme les pavés qu'on peut lire sur la plage, ce qui conduit à un ultime rebondissement en trop, twist qui entraîne une conclusion alambiquée et pas crédible une seconde pour sortir de l'impasse. Dommage.)
(Un réalisateur américain aux commandes du remake d'un film coréen, on peut donc s'attendre à un polar poisseux/pluvieux façon post-Seven. Sur la forme c'est exactement ça, et ça tient plutôt bien la route de la mise en images à l'interprétation (Sami Bouajila tout à fait correct en Morgan Freeman nordiste). Malheureusement, le récit choisit une mécanique de thriller page turner comme les pavés qu'on peut lire sur la plage, ce qui conduit à un ultime rebondissement en trop, twist qui entraîne une conclusion alambiquée et pas crédible une seconde pour sortir de l'impasse. Dommage.)
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Wallace et Gromit : La Palme de la veangance (Netflix) : 6,5/10
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Wallace et Gromit : La palme de la vengeance (Netflix) 7.5/10
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2025
Une première salve 2025 avec des films vus en avant première ou en festivals. De très belles réussites et un vrai gros flop.
Le quatrième mur de David Oelhoffen d'après le roman de Sorj Chalandon est un film puissant qui rencontre l'actualité tragique qui secoue le Liban depuis septembre en nous transportant dans le Liban du début des années 80, juste avant les massacres de Sara et Chatila. On suit le parcours d'un metteur en scène de théâtre qui reprend le projet d'une Antigone à la distribution "multicultuelle" ( Palestiniens, Druzzes, Chrétiens, etc...) comme pour conjurer l'état de guerre ambiant et prouver que l'art peut rivaliser avec la violence. Dans le rôle principal, Laurent Lafitte dont c'est le plus beau rôle tenu au cinéma par sa sobriété et sa justesse. La construction du récit est magistrale tout comme l'immersion dans le Beyrouth en guerre reconstitué de manière rigoureuse et inspirée. La question du théâtre n'est pas escamotée et la manière dont avancent les répétitions, la constitution d'une troupe est vraiment l'une des plus belles que j'ai vues au cinéma où sent souvent le côté factice. Le fait que Lafitte travaille à la Comédie française a certainement aidé à ce naturel. Notons que les acteurs qui constituent la troupe incarnant chacune des "factions" sont interprétés par des acteurs qui eux aussi reflète cette diversité mais avec des glissements de rôles très subtils. D Oelhoffen confirme et amplifie avec ce cinquième film toutes ses qualités.
9/10
Les damnés de Roberto Minervini est un western minimaliste qui revisite notre perception de la Guerre de Sécession. Sélectionné à un certain regard pour Cannes 2024, il aurait pu prétendre à la Compétition Officielle tant il est évident qu'on a affaire à un réalisateur arrivé à la pleine possession de ses moyens dès sa première fiction ( il était installé aux USA depuis une vingtaine d'années et avait accompli une oeuvre documentaire vraiment accomplie avec pour thèmes principaux l'Amérique des marges rurales. Je conseille notamment The other side et Le coeur battant). Minervini prolonge le geste créatif d'une Kelly Reichardt avec ce western a minima suivant la progression dans un Montana sauvage d'une escouade qu'on devine menacée par un adversaire longtemps invisible. Les gestes du quotidien, les discussions autour d'un feu de camp, le nettoyage des armes, les tours de garde, les marches de plus en plus difficiles instaurent un rythme étrange , un peu flottant jusqu'à ce que... Des choix de cadre qui portent l'empreinte d'un cinéaste à l'oeil très sûr.
8.5/10
Spectateurs! d'Arnaud Desplechin devrait rencontrer ici un écho positif tant le cinéaste parvient à inventer un discours riche et intelligent sur la cinéphilie. Le film ne cesse de passer d'un angle vers un autre, dessinant en creux un autoportrait qui tend un miroir vers notre propre rencontre avec le cinéma. La manière dont les extraits de films ( plus d'une cinquantaine), les repères de Desplechin ( Cavell, Lanzmann, ...) est insérée dans le récit st souvent brillante. Et le plus fort est la manière dont A Desplechin invente une forme qu'on pourrait qualifier d'essai malgré l'intrusion de scènes narratives nous amenant à rencontrer plusieurs alter ego tous nommés Paul Dedalus. Je pense que Desplechin est ici enfant à la fois de Fellini ( Roma, Les clowns, Intervista), de Truffaut ( je songeais aux flashbacks de L'homme qui aimait les femmes) et de Godard.
8/10
Apprendre de Claire Simon est certainement le documentaire le plus juste et le plus fort apparu sur l'école depuis Etre et avoir de N Philibert en 2002. Durant une année scolaire entière, on scrute la très délicate alchimie qui permet à de petits êtres d'apprendre que ce soit en classe ou dans la cour avec les épisodes plus ou moins complexes de socialisation. C Simon sait rendre son matériau riche en optant pour la polyphonie ( je pense avoir dénombré 4 classes suivies suivies régulièrement et en leur sein , au moins 10 élèves pour chacune qu'on voit évoluer d'un temps vers l'autre). Un moment de vie qui décolle vers l'élaboration du sens et gonfle le coeur d'espoir car on mesure que le champ des possibles est encore ouvert pour ces tout petits malgré les inévitables parcours individuels . A l'heure où Sarkozy s'amuse à casser du sucre sur le dos des profs des écoles, avec l'aval rigolard de Praud, le cinéma remet les pendules à l'heure.
8/10
Les feux sauvages de Jia Zhang Ke a certainement constitué ma séance punition de Cannes 2024. Objet curieux dès son projet ( un ravaudage de scènes non retenues pour le montage de quasi tous ses films précédents plus un rajout post covid) il constitue un bout à bout assez improbable qui tire très souvent la langue pour raccorder ses parties. La présence de Zhao Tao, muse et épouse du cinéaste, aurait pu théoriquement produire un miracle car il est rare qu'une collaboration dure aussi constamment mais l'embryon de récit ne tient pas la route. J'avais beaucoup aimé bon nombre de films signés JZK ( en tête Still life et A touch of sin) mais là, j'ai lâché l'affaire alors que c'était l'une des séances que j'attendais avec le plus d'assurance quant au résultat, JZK étant devenu l'un des "maîtres" du cinéma chinois depuis longtemps. La franche déception m'a plus fatigué qu'énervé même si les éloges fleurissaient un peu partout, parmi les premières critiques. Un pur film de festival...
3/10
Le quatrième mur de David Oelhoffen d'après le roman de Sorj Chalandon est un film puissant qui rencontre l'actualité tragique qui secoue le Liban depuis septembre en nous transportant dans le Liban du début des années 80, juste avant les massacres de Sara et Chatila. On suit le parcours d'un metteur en scène de théâtre qui reprend le projet d'une Antigone à la distribution "multicultuelle" ( Palestiniens, Druzzes, Chrétiens, etc...) comme pour conjurer l'état de guerre ambiant et prouver que l'art peut rivaliser avec la violence. Dans le rôle principal, Laurent Lafitte dont c'est le plus beau rôle tenu au cinéma par sa sobriété et sa justesse. La construction du récit est magistrale tout comme l'immersion dans le Beyrouth en guerre reconstitué de manière rigoureuse et inspirée. La question du théâtre n'est pas escamotée et la manière dont avancent les répétitions, la constitution d'une troupe est vraiment l'une des plus belles que j'ai vues au cinéma où sent souvent le côté factice. Le fait que Lafitte travaille à la Comédie française a certainement aidé à ce naturel. Notons que les acteurs qui constituent la troupe incarnant chacune des "factions" sont interprétés par des acteurs qui eux aussi reflète cette diversité mais avec des glissements de rôles très subtils. D Oelhoffen confirme et amplifie avec ce cinquième film toutes ses qualités.
9/10
Les damnés de Roberto Minervini est un western minimaliste qui revisite notre perception de la Guerre de Sécession. Sélectionné à un certain regard pour Cannes 2024, il aurait pu prétendre à la Compétition Officielle tant il est évident qu'on a affaire à un réalisateur arrivé à la pleine possession de ses moyens dès sa première fiction ( il était installé aux USA depuis une vingtaine d'années et avait accompli une oeuvre documentaire vraiment accomplie avec pour thèmes principaux l'Amérique des marges rurales. Je conseille notamment The other side et Le coeur battant). Minervini prolonge le geste créatif d'une Kelly Reichardt avec ce western a minima suivant la progression dans un Montana sauvage d'une escouade qu'on devine menacée par un adversaire longtemps invisible. Les gestes du quotidien, les discussions autour d'un feu de camp, le nettoyage des armes, les tours de garde, les marches de plus en plus difficiles instaurent un rythme étrange , un peu flottant jusqu'à ce que... Des choix de cadre qui portent l'empreinte d'un cinéaste à l'oeil très sûr.
8.5/10
Spectateurs! d'Arnaud Desplechin devrait rencontrer ici un écho positif tant le cinéaste parvient à inventer un discours riche et intelligent sur la cinéphilie. Le film ne cesse de passer d'un angle vers un autre, dessinant en creux un autoportrait qui tend un miroir vers notre propre rencontre avec le cinéma. La manière dont les extraits de films ( plus d'une cinquantaine), les repères de Desplechin ( Cavell, Lanzmann, ...) est insérée dans le récit st souvent brillante. Et le plus fort est la manière dont A Desplechin invente une forme qu'on pourrait qualifier d'essai malgré l'intrusion de scènes narratives nous amenant à rencontrer plusieurs alter ego tous nommés Paul Dedalus. Je pense que Desplechin est ici enfant à la fois de Fellini ( Roma, Les clowns, Intervista), de Truffaut ( je songeais aux flashbacks de L'homme qui aimait les femmes) et de Godard.
8/10
Apprendre de Claire Simon est certainement le documentaire le plus juste et le plus fort apparu sur l'école depuis Etre et avoir de N Philibert en 2002. Durant une année scolaire entière, on scrute la très délicate alchimie qui permet à de petits êtres d'apprendre que ce soit en classe ou dans la cour avec les épisodes plus ou moins complexes de socialisation. C Simon sait rendre son matériau riche en optant pour la polyphonie ( je pense avoir dénombré 4 classes suivies suivies régulièrement et en leur sein , au moins 10 élèves pour chacune qu'on voit évoluer d'un temps vers l'autre). Un moment de vie qui décolle vers l'élaboration du sens et gonfle le coeur d'espoir car on mesure que le champ des possibles est encore ouvert pour ces tout petits malgré les inévitables parcours individuels . A l'heure où Sarkozy s'amuse à casser du sucre sur le dos des profs des écoles, avec l'aval rigolard de Praud, le cinéma remet les pendules à l'heure.
8/10
Les feux sauvages de Jia Zhang Ke a certainement constitué ma séance punition de Cannes 2024. Objet curieux dès son projet ( un ravaudage de scènes non retenues pour le montage de quasi tous ses films précédents plus un rajout post covid) il constitue un bout à bout assez improbable qui tire très souvent la langue pour raccorder ses parties. La présence de Zhao Tao, muse et épouse du cinéaste, aurait pu théoriquement produire un miracle car il est rare qu'une collaboration dure aussi constamment mais l'embryon de récit ne tient pas la route. J'avais beaucoup aimé bon nombre de films signés JZK ( en tête Still life et A touch of sin) mais là, j'ai lâché l'affaire alors que c'était l'une des séances que j'attendais avec le plus d'assurance quant au résultat, JZK étant devenu l'un des "maîtres" du cinéma chinois depuis longtemps. La franche déception m'a plus fatigué qu'énervé même si les éloges fleurissaient un peu partout, parmi les premières critiques. Un pur film de festival...
3/10
Dernière modification par ballantrae le 4 avr. 25, 19:51, modifié 1 fois.
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2025
Moins ambitieux que tout ça
Un ours dans le Jura : 6,5/10
Dubosc ne s'éloigne évidemment pas de la patine populaire qui a fait son succès, cela reste bien dans les clous pour un prime time tv sur une grande chaîne. Mais il s'éloigne quand même de sa zone de confort, je ne sais par quel miracle (influence de sa scénariste ?), et ça fonctionne assez bien. On effleure par des détails des versants un peu plus sombres ou tristes qu'il n'approfondit bien sûr pas, et c'est dommage, mais peut-être se lâchera-t-til un peu plus encore à l'avenir. Je n'aime pas vraiment Dubosc en général (et il confirme ici qu'il ne sait pas jouer, face à Calamy c'est flagrant) mais je ne peux pas m'empêcher de trouver son film sympathique.

Un ours dans le Jura : 6,5/10
Dubosc ne s'éloigne évidemment pas de la patine populaire qui a fait son succès, cela reste bien dans les clous pour un prime time tv sur une grande chaîne. Mais il s'éloigne quand même de sa zone de confort, je ne sais par quel miracle (influence de sa scénariste ?), et ça fonctionne assez bien. On effleure par des détails des versants un peu plus sombres ou tristes qu'il n'approfondit bien sûr pas, et c'est dommage, mais peut-être se lâchera-t-til un peu plus encore à l'avenir. Je n'aime pas vraiment Dubosc en général (et il confirme ici qu'il ne sait pas jouer, face à Calamy c'est flagrant) mais je ne peux pas m'empêcher de trouver son film sympathique.
"Un film n'est pas une envie de faire pipi" (Cinéphage, août 2021)