... dit le mec qui a été le premier à faire dérailler le topic en balançant un Top complétement pété sans même oser le commenter
Il faut assumer tchi-tcha
Mais oui, c'est dommage.
Après, s'il n'y avait pas de topic sur ce forum depuis tout ce temps, peut-être qu'il y avait une raison et qu'on la voit simplement maintenant
C'est marrant que tu en parles, j'ai justement revu ce
G.I. Joe ainsi que
Boire et déboires, il y a 1 mois ou 2, et j'ai trouvé les 2 tout aussi problématiques que ses derniers films. Ce n'est certainement pas ces rôles que je retiendrais de lui.
Et je cherche encore ce qu'il y a de si méprisable dans
Glass. Tout le monde répète ça en chœur, j'avoue volontiers que ça me dépasse mais bon, "les goûts et les couleurs" sûrement

Mais à force de le répéter, ça va peut-être devenir vrai, il faut continuer !
El Dadal a écrit : ↑1 avr. 22, 16:37
Sinon perso, je crois l'avoir découvert avec des films comme
Billy Bathgate,
58 minutes pour vivre et le "fameux"
Piège en eaux troubles, sans doute tous sur Canal.
Pulp Fiction aura été l'objet de ces VHS prêtées et usées, film à la fois populaire et indépendant, inclassable et pourtant omniprésent, un véritable phénomène comme aucun Tarantino par la suite n'atteindra ce statut, nonobstant leurs qualités.
Color of Night fut lui aussi un objet de culte et d'échange en cour de récré, mais pas pour les mêmes raisons. Vinrent donc ensuite dans un mouchoir de poche le troisième
Die Hard et
L'armée des 12 singes, puis les découvertes rétrospectives de
Piège de cristal,
Le dernier samaritain etc... Pendant quelques années, il semblait que tout ce que touchait Willis était donc digne d'intérêt, qu'il s'agisse de blockbuster de studio, de comédie stylisée ou de tentatives indé, qu'il soit au premier plan ou un caméo de luxe. Plus qu'un nom sur une affiche, il fut vraiment dans l'oeil du cyclone de ce renouveau hollywoodien que décrit bien Peter Biskind dans son
Sexe, mensonges et Hollywood.
Comme pour Johnny Depp, je prends ce qui vint ensuite comme des addenda à un âge d'or finalement bien circonscrit. Mais à bien y réfléchir, je garde, outre
Moonrise Kingdom,
Looper,
Motherless Brooklyn et les jubilatoires
Sin City et
Planète terreur, le frustrant
Clones de Jonathan Mostow (autre figure regrettée de cette époque), qui aurait pu (dû?) être plus que ce qu'il est, son rôle dans
Fast Food Nation, où il n'était pas mauvais, et là je serai sans doute un peu seul, le
Cop Out de Kevin Smith, aka le cauchemar absolu pour son réalisateur, mais un film qui j'aime presque malgré lui. Finalement, ça en fait quelques uns à sauver !
Je souscris à 10000% à tout ça !
Tu fais plaisir.
Je note pour
Billy Bathgate, que j'ai en cale sous un meuble quelque part et que je n'ai jamais vu !
Tout comme
Meurtre à Hollywood, dont je viens de retrouver le DVD. De quoi m'organiser une petite soirée ce mois-ci.