Votre film du mois de Janvier 2017
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Re: Votre film du mois de Janvier 2017
JANVIER 2017
Films découverts (ou presque)
10/10
IT'S A WONDERFUL LIFE - Frank Capra (1946)
9,5/10
GOUPI MAINS ROUGES - Jacques Becker (1943)
AMERICAN MADNESS - Frank Capra (1932)
9/10
MAN WITHOUT A STAR - King Vidor (1955)
DEVILS ON THE DOORSTEP - Wen Jiang (2000)
8,5/10
PROJECT A - Jackie Chan (1983)
BEACH RED - Cornel Wilde (1967)
MUERTE DE UN CICLISTA - Juan Antonio Bardem (1955)
UNA RAGIONE PER VIVERE E UNA PER MORIRE - Tonino Valerii (1972)
DIRIGIBLE - Frank Capra (1931)
THE NOTORIOUS LANDLADY - Richard Quine (1962)
8/10
LES DISPARUS DE SAINT-AGIL - Christian-Jaque (1938)
THE DESERTER - Burt Kennedy (1971)
DADDY'S GONE A-HUNTING - Mark Robson (1969)
...ALTRIMENTI CI ARRABBIAMO ! - Marcello Fondato (1974)
MILLIONAIRES EXPRESS - Sammo Kam-Bo Hung (1986)
THE CONGRESS - Ari Folman (2013)
7,5/10
ESTAMBUL 65 - Antonio Isasi-Isasmendi (1965)
ATOMIK CIRCUS, LE RETOUR DE JAMES BATAILLE - Didier Poiraud et Thierry Poiraud (2004)
LOST HORIZON - Frank Capra (1937)
7/10
KID GALAHAD - Phil Karlson (1962)
THE LAST SAFARI - Henry Hathaway (1967)
WICKED, WICKED - Richard L. Bare (1973)
L'ENVERS DU PARADIS - Edmond T. Gréville (1953)
ROUGH CUT - Don Siegel (1980)
SOIGNE TA DROITE - Jean-Luc Godard (1987)
6,5/10
PIERROT LA TENDRESSE - François Villiers (1960)
CLAY PIGEON - Lane Slate et Tom Stern (1971)
5/10
BOILING POINT - James B. Harris (1993)
LOS TRES MOSQUETEROS Y MEDIO - Gilberto Martínez Solares (1957)
3,5/10
I, MADMAN - Tibor Takács (1989)
Films revus
10/10
GARDE À VUE - Claude Miller (1981)
LA BONNE ANNÉE - Claude Lelouch (1973)
MR. SMITH GOES TO WASHINGTON - Frank Capra (1939)
9,5/10
IT HAPPENED ONE NIGHT - Frank Capra (1934)
9/10
LE TÉLÉPHONE SONNE TOUJOURS DEUX FOIS - Jean-Pierre Vergne (1985)
MR. DEEDS GOES TO TOWN - Frank Capra (1936)
8,5/10
LADY FOR A DAY - Frank Capra (1933)
8/10
THE BROTHERHOOD - Martin Ritt (1968)
FANNY ET ALEXANDRE - Ingmar Bergman (1982)
7,5/10
RETOUR EN FORCE - Jean-Marie Poiré (1980)
7/10
LA FILLE DE D'ARTAGNAN - Bertrand Tavernier (1994)
6,5/10
LES CLEFS DE BAGNOLE - Laurent Baffie (2003)
Films découverts (ou presque)
10/10
IT'S A WONDERFUL LIFE - Frank Capra (1946)
9,5/10
GOUPI MAINS ROUGES - Jacques Becker (1943)
AMERICAN MADNESS - Frank Capra (1932)
9/10
MAN WITHOUT A STAR - King Vidor (1955)
DEVILS ON THE DOORSTEP - Wen Jiang (2000)
8,5/10
PROJECT A - Jackie Chan (1983)
BEACH RED - Cornel Wilde (1967)
MUERTE DE UN CICLISTA - Juan Antonio Bardem (1955)
UNA RAGIONE PER VIVERE E UNA PER MORIRE - Tonino Valerii (1972)
DIRIGIBLE - Frank Capra (1931)
THE NOTORIOUS LANDLADY - Richard Quine (1962)
8/10
LES DISPARUS DE SAINT-AGIL - Christian-Jaque (1938)
THE DESERTER - Burt Kennedy (1971)
DADDY'S GONE A-HUNTING - Mark Robson (1969)
...ALTRIMENTI CI ARRABBIAMO ! - Marcello Fondato (1974)
MILLIONAIRES EXPRESS - Sammo Kam-Bo Hung (1986)
THE CONGRESS - Ari Folman (2013)
7,5/10
ESTAMBUL 65 - Antonio Isasi-Isasmendi (1965)
ATOMIK CIRCUS, LE RETOUR DE JAMES BATAILLE - Didier Poiraud et Thierry Poiraud (2004)
LOST HORIZON - Frank Capra (1937)
7/10
KID GALAHAD - Phil Karlson (1962)
THE LAST SAFARI - Henry Hathaway (1967)
WICKED, WICKED - Richard L. Bare (1973)
L'ENVERS DU PARADIS - Edmond T. Gréville (1953)
ROUGH CUT - Don Siegel (1980)
SOIGNE TA DROITE - Jean-Luc Godard (1987)
6,5/10
PIERROT LA TENDRESSE - François Villiers (1960)
CLAY PIGEON - Lane Slate et Tom Stern (1971)
5/10
BOILING POINT - James B. Harris (1993)
LOS TRES MOSQUETEROS Y MEDIO - Gilberto Martínez Solares (1957)
3,5/10
I, MADMAN - Tibor Takács (1989)
Films revus
10/10
GARDE À VUE - Claude Miller (1981)
LA BONNE ANNÉE - Claude Lelouch (1973)
MR. SMITH GOES TO WASHINGTON - Frank Capra (1939)
9,5/10
IT HAPPENED ONE NIGHT - Frank Capra (1934)
9/10
LE TÉLÉPHONE SONNE TOUJOURS DEUX FOIS - Jean-Pierre Vergne (1985)
MR. DEEDS GOES TO TOWN - Frank Capra (1936)
8,5/10
LADY FOR A DAY - Frank Capra (1933)
8/10
THE BROTHERHOOD - Martin Ritt (1968)
FANNY ET ALEXANDRE - Ingmar Bergman (1982)
7,5/10
RETOUR EN FORCE - Jean-Marie Poiré (1980)
7/10
LA FILLE DE D'ARTAGNAN - Bertrand Tavernier (1994)
6,5/10
LES CLEFS DE BAGNOLE - Laurent Baffie (2003)
Dernière modification par Kevin95 le 1 févr. 17, 17:55, modifié 14 fois.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Re: Votre film du mois de Janvier 2017
DREAMGIRLS (Bill Condon) 5/10
LA GRANDE MURAILLE (Zhang Yimou) 5,5/10
LA LA LAND (Damien Chazelle) 7/10
YOUR NAME (Makoto Shinkai) 6/10
RE :
GROUNDHOG DAY (Harold Ramis) 8,5/10
YOUNG FRANKENSTEIN (Mel Brooks) 6/10
WEST SIDE STORY (Wise & Robbins) 8,5/10
SERIES :
GAME OF THRONES (saison 6) 7/10
THE OA en cours
LA GRANDE MURAILLE (Zhang Yimou) 5,5/10
LA LA LAND (Damien Chazelle) 7/10
YOUR NAME (Makoto Shinkai) 6/10
RE :
GROUNDHOG DAY (Harold Ramis) 8,5/10
YOUNG FRANKENSTEIN (Mel Brooks) 6/10
WEST SIDE STORY (Wise & Robbins) 8,5/10
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GAME OF THRONES (saison 6) 7/10
THE OA en cours
Dernière modification par Gounou le 30 janv. 17, 10:14, modifié 8 fois.

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Re: Votre film du mois de Janvier 2017
Janvier 2017


Cœur de verre (Werner Herzog, 1976)
Tel un Zarathoustra sans joie, le berger débite ses prophéties désolées devant un horizon où fuient éperdument les nuages exaspérés par quelque pressentiment apocalyptique. Toile de fond digne des cieux "psychiques" de Friedrich, ouvrant un cérémonial initiatique de la beauté qui orchestre la découverte de l’extase, du chemin qui y mène, de l’image qui la procure. Le comportement des acteurs sous hypnose, le travail des verriers, les actes du maître en quête de puissance, les méditations du berger communiant avec la nature et connaissant le devenir et les passions des hommes, tout baigne dans un éclairage propre à mettre au-delà du reconnaissable, dans la marge où le rationalisme accède à un mysticisme matérialiste. Un film ardu, exigeant, souvent langoureux, mais tout-à-fait singulier. 4/6
Sergent la terreur (Richard Brooks, 1953)
Brooks voulait, paraît-il, faire le portrait d’un fasciste en puissance, d’un homme usant de méthodes totalitaires dans une nation démocratique, et de soldats se battant pour une cause qui n’en vaut pas la peine. Il est rare d’observer un tel écart entre les intentions originelles d’un film et son résultat final tant l’entreprise s’impose rien moins que comme une apologie de la discipline, de l’intransigeance et de l’autorité. Entérinant avec naïveté les méthodes du sergent instructeur, s’émerveillant de la formation expresse des jeunes recrues, transformées au doigt et à l’œil en un peloton de fantassins chantant la gloire de l’armée américaine, le film est comme un Full Metal Jacket à finalité inversée, dont le collier de poncifs (mention à l’inepte parenthèse amoureuse) et le militarisme forcené laissent assez incrédule. 2/6
L’adversaire (Satyajit Ray, 1970)
Avec un mépris assez insolent des conventions dramaturgiques, le cinéaste se branche sur la confusion et la révolte internes d’un jeune homme en quête de travail et capte au travers de ses errances velléitaires l’état d’esprit agité du Calcutta de la fin des années soixante. De l’héroïsme narcissique mais généreux de ce héros solitaire vivant les revendications de la rue sans jamais s’y mêler, de son rapport aux femmes (sa sœur, plus mature et indépendante que lui, l’étudiante jolie comme un cœur qui l’aidera finalement à s’assumer et à refuser l’humiliation), le film puise une séduction que la mise en scène, trouée de flash-backs, d’insertions chaotiques ou de digressions mentales, souligne en contre-point. Une très belle réussite, affirmant à nouveau l’auteur comme un maître de la chronique du quotidien. 5/6
Neruda (Pablo Larraín, 2016)
Parce que le héros national chilien est de ces écrivains dont la notoriété étouffe toute férocité à son égard, Larraín choisit judicieusement de prendre la tangente et, dynamitant les règles du biopic, se focalise sur les quelques mois de sa clandestinité et de sa fuite à travers les Andes, à la fin des années quarante. Mieux : il troque les conventions au formol de la fresque de prestige pour une rutilante rêverie entre réel et imaginaire, polar rocambolesque et leçon d’histoire farceuse, un jeu de pistes fantaisiste où l’obsession d’un chasseur pour sa proie, la haine envieuse de la graine de fasciste pour le poète génie des mots, se métamorphose en un dialogue borgésien entre le créateur et sa création. L’ensemble souffre peut-être d’une légère roublardise mais suscite surtout un sentiment assez planant. 4/6
La pirate (Jacques Doillon, 1984)
La fatalité ne fait pas dans la dentelle. Sous les yeux narquois d’un petit lutin trop grave et d’un clown désespéré, elle va semer le désastre et déchaîner les maux de sentiments éprouvés à vif. Ici chacun est pour l’autre le couteau et la plaie, celui qui souffre et celui qui tue. À défaut d’être aimables, les intentions de Doillon cherchent à exprimer sans fusible la douleur et l’irrationnel de la passion, des corps qui s’étreignent, se tordent, s’affaissent, se recroquevillent – d’autant que les acteurs (à commencer par Jane Birkin et la belle Maruschka, brûlées, étourdies d’amour l’une pour l’autre) donnent beaucoup d’eux-mêmes. Mais ces scansions de convulsions physiques, cette asphyxie violente de cris, de pleurs et de confrontations, cette tragédie écorchée à la Giraudoux basculent trop souvent dans l’hystérie. 3/6
La colline a des yeux (Wes Craven, 1977)
En signant ce survival cousin de Massacre à la Tronçonneuse, le réalisateur confirme sa volonté de s’imposer comme le sorcier d’un cinéma d’épouvante brut, archiréaliste, dont l’unique enjeu est d’éprouver au maximum les nerfs du spectateur. Sur une trame basique (une famille de vacanciers pris en chasse par un clan de cannibales en plein du désert du Nevada), il cherche sans jamais vraiment le trouver l’équilibre entre la sécheresse du style et le jeu avec une multitude de références avouées. Gros problème : sa troupe de néanderthaliens dégénérés, sapés comme dans Mad Max et adeptes de la course de fond, est bien plus grotesque qu’effrayante. Et le film est à leur image, qui ponctue un récit sur courant alternatif de décharges de sauvagerie rigolarde sans parvenir à créer ni malaise ni tension. 3/6
Rendez-vous de juillet (Jacques Becker, 1949)
La jeunesse d’après-guerre telle que la dépeint le réalisateur est celle de toutes les aspirations, de tous les espoirs, d’une disposition d’humeur et d’esprit qui favorise ce style enjoué, si inhérent à sa perception des êtres et des choses. Son cinéma ne se veut pas représentation d’un scénario préétabli mais captation d’une présence, d’une complexité, d’une diversité auxquelles la fluidité des transitions, la légèreté du détail, la truculence des dialogues, l’évidence exemplaire des mises en situation et de leur développement apportent une incroyable fraîcheur. Servi par une troupe d’acteurs irradiant de charme, de gouaille et de tonus, il signe un tableau de mœurs virevoltant, toujours chaleureux, parfois mélancolique, qui vibre de cette proximité vivante, tangible et spontanée dont il est le grand alchimiste. 5/6
De la guerre (Bertrand Bonello, 2008)
Bonello reprend les choses là où, quarante ans auparavant, un bouleversement culturel et social enjoignait à tout arrêter et à réfléchir afin de redonner un sens à sa vie – pas une mince affaire. Le long d’une téléologie métaphorique plutôt floue, il fait vivre à son alter ego rites païens, transes collectives et codes de reconnaissance d’une communauté néo-baba cool aux allures de grande kermesse sectaire, jusqu’à sa métamorphose en simili-Willard dans un final pastichant Apocalypse Now. Victime d’une permanente hésitation des intentions, mêlant un classicisme bon teint à des tentatives plus audacieuses qui débouchent parfois sur trop de sophistication ou de naïveté, le film impose malgré ses carences une singularité, une obstination, une forme d’étourdissement qui le rendent assez fascinant. 4/6
L’insoumis (Alain Cavalier, 1964)
L’insoumis, c’est Thomas, un légionnaire luxembourgeois qui s’est engagé en Algérie pour fuir son foyer brisé, sa fille, sa mère qu’il adore et qu’il a battue, et qui déserte après le putsch pour suivre son lieutenant au service des factieux. Las de cette vie de combattant mercenaire et de l’imbroglio des luttes auxquelles il se trouve mêlé sans qu’elles ne le concernant en rien, il se retrouve à fuir avec une avocate le long d’une route sur laquelle ils réapprendront ce qu’aimer, vivre et mourir signifient. Assimilateur de certaines traditions d’outre-Atlantique (le sens de l’ellipse, la grande loi consistant à décrire des actes et non des états d’âme), Cavalier communique à travers cette équipée sèche et sans effusion mélodramatique un sentiment de maîtrise tout à la fois réfléchie et capable d’enthousiasme. 4/6
New York, 2 heures du matin (Abel Ferarra, 1984)
Terreur sur les trottoirs mal famés de Big Apple. Un émule de Travis Bickle, adepte du kung-fu un brin facho, s’est mis en tête de nettoyer la ville de ses mœurs sales. Premier temps : Ferrara s’empresse de remplir son contrat sex and violence sous un déferlement d’images atmosphériques. Deuxième temps : se sentant les coudées franches, il creuse la description de la nuit interlope, les rapports et les motivations des personnages, confère une véritable épaisseur à des seconds rôles bien croqués, levant ainsi un doute définitif sur les contraintes liées au genre. Plus le film avance et plus est payant le culot du cinéaste, qui ne recule devant aucun cliché (drogue, Mafia, flics pas nets, stripteaseuses et proxos d’agence) ni aucun procédé (flashbacks traumatiques, montage alterné), mais à qui pourtant tout réussit. 5/6
Céline (Jean-Claude Brisseau, 1992)
Film paradoxal, sincère, sollicitant l’intérêt pour une problématique propice à essayer de nombreux refus mais tirant ses vertus de ce qui reste la quintessence de l’art cinématographique, à savoir la mise en scène. Brisseau participe ici d’un romantisme occulte qui suscite un sentiment d’exaltation sereine, en appelle à la contemplation, à la méditation, à l’illumination, au rapport tragique de l’être au temps, à l’amour, à la mort. Autant de grands concepts qu’il aborde simplement, sans chichis ni flaflas, tel un apprenti métaphysicien exprimant un appel au surcroît de la conscience de soi. La relation entre les deux héroïnes, la très touchante sollicitude de Geneviève, survivante fragile du malheur vouée au bonheur de son amie, le lyrisme de la partition de Delerue contribuent à générer une réelle émotion. 4/6
Sauve qui peut (la vie) (Jean-Luc Godard, 1980)
Solitude absolue des êtres, terreur multiforme, monde au bord de l’apocalypse : dans l’escalade vers la noirceur que motive le désespoir métaphysique de Godard, ce retour au cinéma commercial (selon ses propres mots) mérite le pompon. Le cinéaste y analyse avec une littéralité crue le désarroi relationnel dans lequel est plongée la société moderne, l’alternative faussée entre l’immobilisme de la mort et le mouvement de la vie, la désertification de rapports humains régis par la dictature du commerce, dont la prostitution (dimension mécanique des ordres et des gestes, sinistre logique du pouvoir et de l’argent) constitue la métaphore ultime. Questions graves développées à travers un puzzle sordide, traversé par de tristes pantins, d’où l’émotion est comme toujours radicalement exclue. 3/6
Le vandale (Howard Hawkks & William Wyler, 1936)
Exemple rare (unique ?) de collaboration neutre entre deux réalisateurs de prestige. La paternité des scènes restant indéfinie, on peut se laisser aller à quelques supputations : à Hawks la description vivante de la vie des pionniers, la truculence d’une fidèle amitié masculine, la clarté d’un récit qui n’exécute aucun détour inutile ; à Wyler la complexité des caractères et la richesse psychologique, la sobriété allusive d’un traitement favorisant la vérité des êtres à l’effet spectaculaire. Dominé par la puissante création d’Edward Arnold, le film broche brillamment peinture sociale, chronique mondaine, mélodrame sentimental, à la faveur d’enjeux ambigus (telle la rivalité amoureuse entre le fils et le père, motivée par l’aveuglement et le remords du dernier). Quant à la belle Frances Farmer, c’est un soleil. 4/6
Mogambo (John Ford, 1953)
Il est certains films que l’on connaît par cœur avant même de les avoir vus, et dont on est en mesure d’énoncer le déroulement un quart d’heure à l’avance. L’aventurier grisonnant et la citadine secrètement blessée, d’abord hostiles, s’embrasseront au bout de la première bobine – on coche. Le cœur de la blonde ingénue fondera pour le baroudeur avant de revenir à son fade mais légitime époux – on coche. Chaque ébauche de tension dramatique, chaque esquisse de dilemme amoureux alimente ce qu’il est impossible de ne pas considérer comme une enfilade de clichés exotiques pour lecteurs du Reader’s Digest rêvant d’Afrique équatoriale. Clark Gable, Ava Gardner et Grace Kelly s’ébrouent comme ils peuvent dans les images argentées de ce roman-photo, si passé de mode qu’il en est sympathique. 3/6
Darling Lili (Blake Edwards, 1970)
Les aventures mouvementées d’une espionne allemande, mi-Gertrude Lawrence mi-Mata-Hari, exerçant le métier de chanteuse de cabaret à Paris pendant la première guerre mondiale. Chargée de séduire un général anglais pour lui soutirer des informations, sa mission se complique lorsque l’amour et la jalousie s’en mêlent et que les confidences échangées sous la couette interfèrent avec le secret des opérations militaires. Autant dire que le cinéaste s’en donne à cœur joie dans cette fantaisie rocambolesque, comédie d’espionnage fort habilement troussée où il manie dans une effusion de luxe et de volupté, sous une forme plaisante et champagnisée, son sens de la mascarade et du quiproquo sentimental. Entre féminité offensive et fausse naïveté, Julie Andrews y tient l’un de ses meilleurs rôles. 4/6
Et aussi :
Your name (Makoto Shinkai) - 5/6
Quelques minutes après minuit (Juan Antonio Bayona, 2016) - 4/6
Ouvert la nuit (Edouard Baer, 2016) - 4/6
Nocturnal animals (Tom Ford, 2016) - 4/6
The fits (Anna Rose Holmer, 2015) - 4/6
Le parc (Damien Manivel, 2016) - 4/6
Le bel Antonio (Mauro Bolognini, 1960) - 4/6
La la land (Damien Chazelle, 2016) - 5/6
Tel un Zarathoustra sans joie, le berger débite ses prophéties désolées devant un horizon où fuient éperdument les nuages exaspérés par quelque pressentiment apocalyptique. Toile de fond digne des cieux "psychiques" de Friedrich, ouvrant un cérémonial initiatique de la beauté qui orchestre la découverte de l’extase, du chemin qui y mène, de l’image qui la procure. Le comportement des acteurs sous hypnose, le travail des verriers, les actes du maître en quête de puissance, les méditations du berger communiant avec la nature et connaissant le devenir et les passions des hommes, tout baigne dans un éclairage propre à mettre au-delà du reconnaissable, dans la marge où le rationalisme accède à un mysticisme matérialiste. Un film ardu, exigeant, souvent langoureux, mais tout-à-fait singulier. 4/6
Sergent la terreur (Richard Brooks, 1953)
Brooks voulait, paraît-il, faire le portrait d’un fasciste en puissance, d’un homme usant de méthodes totalitaires dans une nation démocratique, et de soldats se battant pour une cause qui n’en vaut pas la peine. Il est rare d’observer un tel écart entre les intentions originelles d’un film et son résultat final tant l’entreprise s’impose rien moins que comme une apologie de la discipline, de l’intransigeance et de l’autorité. Entérinant avec naïveté les méthodes du sergent instructeur, s’émerveillant de la formation expresse des jeunes recrues, transformées au doigt et à l’œil en un peloton de fantassins chantant la gloire de l’armée américaine, le film est comme un Full Metal Jacket à finalité inversée, dont le collier de poncifs (mention à l’inepte parenthèse amoureuse) et le militarisme forcené laissent assez incrédule. 2/6
L’adversaire (Satyajit Ray, 1970)
Avec un mépris assez insolent des conventions dramaturgiques, le cinéaste se branche sur la confusion et la révolte internes d’un jeune homme en quête de travail et capte au travers de ses errances velléitaires l’état d’esprit agité du Calcutta de la fin des années soixante. De l’héroïsme narcissique mais généreux de ce héros solitaire vivant les revendications de la rue sans jamais s’y mêler, de son rapport aux femmes (sa sœur, plus mature et indépendante que lui, l’étudiante jolie comme un cœur qui l’aidera finalement à s’assumer et à refuser l’humiliation), le film puise une séduction que la mise en scène, trouée de flash-backs, d’insertions chaotiques ou de digressions mentales, souligne en contre-point. Une très belle réussite, affirmant à nouveau l’auteur comme un maître de la chronique du quotidien. 5/6
Neruda (Pablo Larraín, 2016)
Parce que le héros national chilien est de ces écrivains dont la notoriété étouffe toute férocité à son égard, Larraín choisit judicieusement de prendre la tangente et, dynamitant les règles du biopic, se focalise sur les quelques mois de sa clandestinité et de sa fuite à travers les Andes, à la fin des années quarante. Mieux : il troque les conventions au formol de la fresque de prestige pour une rutilante rêverie entre réel et imaginaire, polar rocambolesque et leçon d’histoire farceuse, un jeu de pistes fantaisiste où l’obsession d’un chasseur pour sa proie, la haine envieuse de la graine de fasciste pour le poète génie des mots, se métamorphose en un dialogue borgésien entre le créateur et sa création. L’ensemble souffre peut-être d’une légère roublardise mais suscite surtout un sentiment assez planant. 4/6
La pirate (Jacques Doillon, 1984)
La fatalité ne fait pas dans la dentelle. Sous les yeux narquois d’un petit lutin trop grave et d’un clown désespéré, elle va semer le désastre et déchaîner les maux de sentiments éprouvés à vif. Ici chacun est pour l’autre le couteau et la plaie, celui qui souffre et celui qui tue. À défaut d’être aimables, les intentions de Doillon cherchent à exprimer sans fusible la douleur et l’irrationnel de la passion, des corps qui s’étreignent, se tordent, s’affaissent, se recroquevillent – d’autant que les acteurs (à commencer par Jane Birkin et la belle Maruschka, brûlées, étourdies d’amour l’une pour l’autre) donnent beaucoup d’eux-mêmes. Mais ces scansions de convulsions physiques, cette asphyxie violente de cris, de pleurs et de confrontations, cette tragédie écorchée à la Giraudoux basculent trop souvent dans l’hystérie. 3/6
La colline a des yeux (Wes Craven, 1977)
En signant ce survival cousin de Massacre à la Tronçonneuse, le réalisateur confirme sa volonté de s’imposer comme le sorcier d’un cinéma d’épouvante brut, archiréaliste, dont l’unique enjeu est d’éprouver au maximum les nerfs du spectateur. Sur une trame basique (une famille de vacanciers pris en chasse par un clan de cannibales en plein du désert du Nevada), il cherche sans jamais vraiment le trouver l’équilibre entre la sécheresse du style et le jeu avec une multitude de références avouées. Gros problème : sa troupe de néanderthaliens dégénérés, sapés comme dans Mad Max et adeptes de la course de fond, est bien plus grotesque qu’effrayante. Et le film est à leur image, qui ponctue un récit sur courant alternatif de décharges de sauvagerie rigolarde sans parvenir à créer ni malaise ni tension. 3/6
Rendez-vous de juillet (Jacques Becker, 1949)
La jeunesse d’après-guerre telle que la dépeint le réalisateur est celle de toutes les aspirations, de tous les espoirs, d’une disposition d’humeur et d’esprit qui favorise ce style enjoué, si inhérent à sa perception des êtres et des choses. Son cinéma ne se veut pas représentation d’un scénario préétabli mais captation d’une présence, d’une complexité, d’une diversité auxquelles la fluidité des transitions, la légèreté du détail, la truculence des dialogues, l’évidence exemplaire des mises en situation et de leur développement apportent une incroyable fraîcheur. Servi par une troupe d’acteurs irradiant de charme, de gouaille et de tonus, il signe un tableau de mœurs virevoltant, toujours chaleureux, parfois mélancolique, qui vibre de cette proximité vivante, tangible et spontanée dont il est le grand alchimiste. 5/6
De la guerre (Bertrand Bonello, 2008)
Bonello reprend les choses là où, quarante ans auparavant, un bouleversement culturel et social enjoignait à tout arrêter et à réfléchir afin de redonner un sens à sa vie – pas une mince affaire. Le long d’une téléologie métaphorique plutôt floue, il fait vivre à son alter ego rites païens, transes collectives et codes de reconnaissance d’une communauté néo-baba cool aux allures de grande kermesse sectaire, jusqu’à sa métamorphose en simili-Willard dans un final pastichant Apocalypse Now. Victime d’une permanente hésitation des intentions, mêlant un classicisme bon teint à des tentatives plus audacieuses qui débouchent parfois sur trop de sophistication ou de naïveté, le film impose malgré ses carences une singularité, une obstination, une forme d’étourdissement qui le rendent assez fascinant. 4/6
L’insoumis (Alain Cavalier, 1964)
L’insoumis, c’est Thomas, un légionnaire luxembourgeois qui s’est engagé en Algérie pour fuir son foyer brisé, sa fille, sa mère qu’il adore et qu’il a battue, et qui déserte après le putsch pour suivre son lieutenant au service des factieux. Las de cette vie de combattant mercenaire et de l’imbroglio des luttes auxquelles il se trouve mêlé sans qu’elles ne le concernant en rien, il se retrouve à fuir avec une avocate le long d’une route sur laquelle ils réapprendront ce qu’aimer, vivre et mourir signifient. Assimilateur de certaines traditions d’outre-Atlantique (le sens de l’ellipse, la grande loi consistant à décrire des actes et non des états d’âme), Cavalier communique à travers cette équipée sèche et sans effusion mélodramatique un sentiment de maîtrise tout à la fois réfléchie et capable d’enthousiasme. 4/6
New York, 2 heures du matin (Abel Ferarra, 1984)
Terreur sur les trottoirs mal famés de Big Apple. Un émule de Travis Bickle, adepte du kung-fu un brin facho, s’est mis en tête de nettoyer la ville de ses mœurs sales. Premier temps : Ferrara s’empresse de remplir son contrat sex and violence sous un déferlement d’images atmosphériques. Deuxième temps : se sentant les coudées franches, il creuse la description de la nuit interlope, les rapports et les motivations des personnages, confère une véritable épaisseur à des seconds rôles bien croqués, levant ainsi un doute définitif sur les contraintes liées au genre. Plus le film avance et plus est payant le culot du cinéaste, qui ne recule devant aucun cliché (drogue, Mafia, flics pas nets, stripteaseuses et proxos d’agence) ni aucun procédé (flashbacks traumatiques, montage alterné), mais à qui pourtant tout réussit. 5/6
Céline (Jean-Claude Brisseau, 1992)
Film paradoxal, sincère, sollicitant l’intérêt pour une problématique propice à essayer de nombreux refus mais tirant ses vertus de ce qui reste la quintessence de l’art cinématographique, à savoir la mise en scène. Brisseau participe ici d’un romantisme occulte qui suscite un sentiment d’exaltation sereine, en appelle à la contemplation, à la méditation, à l’illumination, au rapport tragique de l’être au temps, à l’amour, à la mort. Autant de grands concepts qu’il aborde simplement, sans chichis ni flaflas, tel un apprenti métaphysicien exprimant un appel au surcroît de la conscience de soi. La relation entre les deux héroïnes, la très touchante sollicitude de Geneviève, survivante fragile du malheur vouée au bonheur de son amie, le lyrisme de la partition de Delerue contribuent à générer une réelle émotion. 4/6
Sauve qui peut (la vie) (Jean-Luc Godard, 1980)
Solitude absolue des êtres, terreur multiforme, monde au bord de l’apocalypse : dans l’escalade vers la noirceur que motive le désespoir métaphysique de Godard, ce retour au cinéma commercial (selon ses propres mots) mérite le pompon. Le cinéaste y analyse avec une littéralité crue le désarroi relationnel dans lequel est plongée la société moderne, l’alternative faussée entre l’immobilisme de la mort et le mouvement de la vie, la désertification de rapports humains régis par la dictature du commerce, dont la prostitution (dimension mécanique des ordres et des gestes, sinistre logique du pouvoir et de l’argent) constitue la métaphore ultime. Questions graves développées à travers un puzzle sordide, traversé par de tristes pantins, d’où l’émotion est comme toujours radicalement exclue. 3/6
Le vandale (Howard Hawkks & William Wyler, 1936)
Exemple rare (unique ?) de collaboration neutre entre deux réalisateurs de prestige. La paternité des scènes restant indéfinie, on peut se laisser aller à quelques supputations : à Hawks la description vivante de la vie des pionniers, la truculence d’une fidèle amitié masculine, la clarté d’un récit qui n’exécute aucun détour inutile ; à Wyler la complexité des caractères et la richesse psychologique, la sobriété allusive d’un traitement favorisant la vérité des êtres à l’effet spectaculaire. Dominé par la puissante création d’Edward Arnold, le film broche brillamment peinture sociale, chronique mondaine, mélodrame sentimental, à la faveur d’enjeux ambigus (telle la rivalité amoureuse entre le fils et le père, motivée par l’aveuglement et le remords du dernier). Quant à la belle Frances Farmer, c’est un soleil. 4/6
Mogambo (John Ford, 1953)
Il est certains films que l’on connaît par cœur avant même de les avoir vus, et dont on est en mesure d’énoncer le déroulement un quart d’heure à l’avance. L’aventurier grisonnant et la citadine secrètement blessée, d’abord hostiles, s’embrasseront au bout de la première bobine – on coche. Le cœur de la blonde ingénue fondera pour le baroudeur avant de revenir à son fade mais légitime époux – on coche. Chaque ébauche de tension dramatique, chaque esquisse de dilemme amoureux alimente ce qu’il est impossible de ne pas considérer comme une enfilade de clichés exotiques pour lecteurs du Reader’s Digest rêvant d’Afrique équatoriale. Clark Gable, Ava Gardner et Grace Kelly s’ébrouent comme ils peuvent dans les images argentées de ce roman-photo, si passé de mode qu’il en est sympathique. 3/6
Darling Lili (Blake Edwards, 1970)
Les aventures mouvementées d’une espionne allemande, mi-Gertrude Lawrence mi-Mata-Hari, exerçant le métier de chanteuse de cabaret à Paris pendant la première guerre mondiale. Chargée de séduire un général anglais pour lui soutirer des informations, sa mission se complique lorsque l’amour et la jalousie s’en mêlent et que les confidences échangées sous la couette interfèrent avec le secret des opérations militaires. Autant dire que le cinéaste s’en donne à cœur joie dans cette fantaisie rocambolesque, comédie d’espionnage fort habilement troussée où il manie dans une effusion de luxe et de volupté, sous une forme plaisante et champagnisée, son sens de la mascarade et du quiproquo sentimental. Entre féminité offensive et fausse naïveté, Julie Andrews y tient l’un de ses meilleurs rôles. 4/6
Et aussi :
Your name (Makoto Shinkai) - 5/6
Quelques minutes après minuit (Juan Antonio Bayona, 2016) - 4/6
Ouvert la nuit (Edouard Baer, 2016) - 4/6
Nocturnal animals (Tom Ford, 2016) - 4/6
The fits (Anna Rose Holmer, 2015) - 4/6
Le parc (Damien Manivel, 2016) - 4/6
Le bel Antonio (Mauro Bolognini, 1960) - 4/6
La la land (Damien Chazelle, 2016) - 5/6
Films des mois précédents :
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Re: Votre film du mois de Janvier 2017
FILM DU MOIS

FILMS / SERIES : DECOUVERTES / REDECOUVERTES
Gok-seong (Na Hong-Jin, 2016) : 8/10
Keetje Tippel (Paul Verhoeven, 1975) : 7/10
East Of Eden (Elia Kazan, 1955) : 7/10
Sherlock : The Lying Detective (Nick Hurran, 2016) : 7/10
Flight (Robert Zemeckis, 2012) : 7/10
Papa ou Maman 2 (Martin Bourboulon, 2016) : 6/10
Sherlock : The Six Thatchers (Rachel Talalay, 2016) : 6/10
Another Woman (Woody Allen, 1988) : 6/10
OUIJA : Origina of evil (Mike Flanagan, 2016) : 6/10
20,000 Leagues Under The Sea (Richard Fleisher, 1954) : 5/10
Sherlock : The Final Problem (Benjamin Caron, 2016) : 5/10
Shadow and Fog (Woody Allen, 1992) : 4/10
Pinot simple flic (Gérard Jugnot, 1984) : 4/10
In A Valley Of Violence (Ti West, 2016) : 4/10
The Walk (Robert Zemeckis, 2015) : 4/10
FILMS REVUS
Aucun

FILMS / SERIES : DECOUVERTES / REDECOUVERTES
Gok-seong (Na Hong-Jin, 2016) : 8/10
Keetje Tippel (Paul Verhoeven, 1975) : 7/10
East Of Eden (Elia Kazan, 1955) : 7/10
Sherlock : The Lying Detective (Nick Hurran, 2016) : 7/10
Flight (Robert Zemeckis, 2012) : 7/10
Papa ou Maman 2 (Martin Bourboulon, 2016) : 6/10
Sherlock : The Six Thatchers (Rachel Talalay, 2016) : 6/10
Another Woman (Woody Allen, 1988) : 6/10
OUIJA : Origina of evil (Mike Flanagan, 2016) : 6/10
20,000 Leagues Under The Sea (Richard Fleisher, 1954) : 5/10
Sherlock : The Final Problem (Benjamin Caron, 2016) : 5/10
Shadow and Fog (Woody Allen, 1992) : 4/10
Pinot simple flic (Gérard Jugnot, 1984) : 4/10
In A Valley Of Violence (Ti West, 2016) : 4/10
The Walk (Robert Zemeckis, 2015) : 4/10
FILMS REVUS
Aucun
Dernière modification par Johnny Doe le 29 janv. 17, 19:54, modifié 8 fois.
- Errm. Do you want to put another meeting in?
- Any point?
- May as well. Errm. And then when nothing comes in, just phone you up and cancel it.
- Any point?
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- manuma
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Re: Votre film du mois de Janvier 2017
Films vus / Films revus
THE LAST PICTURE SHOW - Peter Bogdanovich (1971) : 8.0/10
THE IRON GIANT - Brad Bird (1999) : 8.0/10
ELLE L'ADORE - Jeanne Herry (2014) : 7.5/10
THE ELECTRIC HORSEMAN - Sydney Pollack (1979) : 7.0/10
WILD - Jean-Marc Vallée (2014) : 7.0/10
THE TAKING OF FLIGHT 847: THE ULI DERICKSON STORY - Paul Wendkos (TV)(1988) : 6.5/10
AT LONG LAST LOVE - Peter Bogdanovich (1975) : 6.5/10
L'ESSAYEUSE - Serge Korber (1976) : 6.5/10
ALL THE WAY - Jay Roach (TV)(2016) : 6.5/10
DEEPWATER HORIZON - Peter Berg (2016) : 6.5/10
MASTER OF DRAGONARD HILL - Gérard Kikoïne (1987) : 6.0/10
31 - Rob Zombie (2016) : 6.0/10
UNBROKEN - Angelina Jolie (2014) : 6.0/10
DARLING LILI - Blake Edwards (1970) : 6.0/10
ROGUE ONE - Gareth Edwards (2016) : 6.0/10
THE THEORY OF EVERYTHING - James Marsh (2014) : 6.0/10
A MASTER BUILDER - Jonathan Demme (2013) : 6.0/10
HAPPY FACE KILLER - Rick Bota (TV)(2014) : 6.0/10
THE BARBARIANS - Rudolph Maté (1960) : 6.0/10
RETURN TO SENDER - Fouad Mikati (2015) : 5.5/10
THE LAST MIMZY - Robert Shaye (2007) : 5.5/10
THE IMITATION GAME - Morten Tyldum (2014) : 5.5/10
LA TETE EN FRICHE - Jean Becker (2010) : 5.5/10
SUDDEN DEATH - Eddie Romero (1977) : 5.0/10
MR. DESTINY - James Orr (1990) : 5.0/10
RUN ALL NIGHT - Jaume Collet-Serra (2015) : 5.0/10
THE FAR HORIZONS - Rudolph Maté (1955) : 5.0/10
AFTER THE FALL - Saar Klein (2014) : 5.0/10
10,000 DOLLARI PER UN MASSACRO - Romolo Guerrieri (1967) : 4.5/10
BIG DRIVER - Mikael Salomon (TV)(2014) : 4.5/10
RING OF FEAR - James Edward grant (1954) : 4.5/10
LIMITLESS - Neil Burger (2011) : 4.0/10
WELCOME HOME, ROXY CARMICHAEL - Jim Abrahams (1990) : 4.0/10
MANGLEHORN - David Gordon Green (2014) : 4.0/10
THIS IS WHERE I LEAVE YOU - Shawn Levy (2014) : 4.0/10
THE NIGHT BEFORE - Jonathan Levine (2015) : 4.0/10
THE THEORY OF FLIGHT - Paul Greengrass (1998) : 4.0/10
RED MEAT - Allison Burnett (1997) : 3.5/10
DEUX GRANDES FILLES DANS UN PYJAMA - Jean Girault (1974) : 3.5/10
REACH ME - John Herzfeld (2014) : 2.5/10
THE LAST PICTURE SHOW - Peter Bogdanovich (1971) : 8.0/10
THE IRON GIANT - Brad Bird (1999) : 8.0/10
ELLE L'ADORE - Jeanne Herry (2014) : 7.5/10
THE ELECTRIC HORSEMAN - Sydney Pollack (1979) : 7.0/10
WILD - Jean-Marc Vallée (2014) : 7.0/10
THE TAKING OF FLIGHT 847: THE ULI DERICKSON STORY - Paul Wendkos (TV)(1988) : 6.5/10
AT LONG LAST LOVE - Peter Bogdanovich (1975) : 6.5/10
L'ESSAYEUSE - Serge Korber (1976) : 6.5/10
ALL THE WAY - Jay Roach (TV)(2016) : 6.5/10
DEEPWATER HORIZON - Peter Berg (2016) : 6.5/10
MASTER OF DRAGONARD HILL - Gérard Kikoïne (1987) : 6.0/10
31 - Rob Zombie (2016) : 6.0/10
UNBROKEN - Angelina Jolie (2014) : 6.0/10
DARLING LILI - Blake Edwards (1970) : 6.0/10
ROGUE ONE - Gareth Edwards (2016) : 6.0/10
THE THEORY OF EVERYTHING - James Marsh (2014) : 6.0/10
A MASTER BUILDER - Jonathan Demme (2013) : 6.0/10
HAPPY FACE KILLER - Rick Bota (TV)(2014) : 6.0/10
THE BARBARIANS - Rudolph Maté (1960) : 6.0/10
RETURN TO SENDER - Fouad Mikati (2015) : 5.5/10
THE LAST MIMZY - Robert Shaye (2007) : 5.5/10
THE IMITATION GAME - Morten Tyldum (2014) : 5.5/10
LA TETE EN FRICHE - Jean Becker (2010) : 5.5/10
SUDDEN DEATH - Eddie Romero (1977) : 5.0/10
MR. DESTINY - James Orr (1990) : 5.0/10
RUN ALL NIGHT - Jaume Collet-Serra (2015) : 5.0/10
THE FAR HORIZONS - Rudolph Maté (1955) : 5.0/10
AFTER THE FALL - Saar Klein (2014) : 5.0/10
10,000 DOLLARI PER UN MASSACRO - Romolo Guerrieri (1967) : 4.5/10
BIG DRIVER - Mikael Salomon (TV)(2014) : 4.5/10
RING OF FEAR - James Edward grant (1954) : 4.5/10
LIMITLESS - Neil Burger (2011) : 4.0/10
WELCOME HOME, ROXY CARMICHAEL - Jim Abrahams (1990) : 4.0/10
MANGLEHORN - David Gordon Green (2014) : 4.0/10
THIS IS WHERE I LEAVE YOU - Shawn Levy (2014) : 4.0/10
THE NIGHT BEFORE - Jonathan Levine (2015) : 4.0/10
THE THEORY OF FLIGHT - Paul Greengrass (1998) : 4.0/10
RED MEAT - Allison Burnett (1997) : 3.5/10
DEUX GRANDES FILLES DANS UN PYJAMA - Jean Girault (1974) : 3.5/10
REACH ME - John Herzfeld (2014) : 2.5/10
Dernière modification par manuma le 30 janv. 17, 21:21, modifié 10 fois.
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Re: Votre film du mois de Janvier 2017
Sorties salles 2016
Le ruisseau, le pré vert et le doux visage (Yousry Nasrallah, 21/12)****
Timgad (Fabrice Benchaouche, 21/12)****
Hedi-un vent de liberté (Mohamed Ben Attia, 28/12)***
Fais de beaux rêves (Marco Bellocchio, 28/1)****
Sorties salles 2017
Beyond flamenco (Jota) (Carlos Saura, 4/1)****
Le parc (Damien Manivel, 4/1)****
Neruda (Pablo Larrain, 4/1)****
Quelques minutes après minuit (Juan Antonio Bayona, 4/1)***
La grande muraille (Zhang Yimou, 11/1)****
Harmonium (Koji Fukada, 11/1)***
Belle dormant (Ado Arrietta, 18/1)****
Un sac de billes (Christian Duguay, 25/1)****
Lumière ! l'aventure commence (Thierry Frémaux, 25/1)****
Tous en scène (Garth Jennings, 25/1)****
Les confessions (Roberto Ando, 25/1)***
Valley of stars (Mani Haghighi, 25/1)****
Autres films
OSS 117 se déchaîne (André Hunebelle, 1963)***
Amour (Karoly Makk, 1971)****
Banco à Bangkok pour OSS 117 (André Hunebelle, 1964)**
James White (Josh Mond, 2015)***
Le dragon des mers-la dernière légende (Jay Russell, 2007)***
La belle et le corsaire (Giuseppe Maria Scotese, 1957)***
The colony (Jeff Renfroe, 2013)***
Les esclaves de Babylone (William Castle, 1953)**
Pas de roses pour OSS 117 (André Hunebelle, 1968)**
Sangue del mio sangue (Marco Bellocchio, 2015)***
Feu magique (William Dieterlé, 1955)***
Percy Jackson -le voleur de foudre (Chris Columbus, 2009)***
Wild (Jean-Marc Vallée, 2014)***
Les parieurs (Pavel Tchoukraï, 2012)***
Pour elle, un seul homme (Michael Curtiz, 1957)***
Le prix de la loyauté (Gavin O'connor, 2008)***
Maciste chasseur alpin (Luigi Romano Borgnatto et Luigi Maggi, 1917)***
Dead snow (Tommy Wirkola, 2009)***
La bande à Bonnot (Philippe Fourastié, 1968)***
Partisan (Ariel Kleinman, 2015)***
Faut-il tuer Sister George ? (Robert Aldrich, 1968)***
Le général du diable (Helmut Käutner, 1955)***
Lucrezia Borgia Hans Hinrich, 1940)**
Mishima-une vie en quatre chapitres (Paul Schrader, 1985)***
L'homme de Lisbonne (Ray Milland, 1956)**
Espion (Alexei Andrianov, 2012)**
25 novembre-le jour où Mishima choisit son destin (Koji Wakamatsu, 2012)***
Lucrèce Borgia (Abel Gance, 1935)***
Mr Kaplan (Alvaro Brechner, 2014)***
Oliver ! (Carol Reed, 1968)***
Splendor (Ettore Scola, 1988)**** FILM DU MOIS
L'athlète incomplet (Frank Capra, 1926)***
Mémoires du sous-developpement (Tomas Guttierez Alea, 1968)****
Comment tuer son boss ? 2 5Sean Anders, 2014)***
La chamade (Alain Cavalier, 1968)***
Le ruisseau, le pré vert et le doux visage (Yousry Nasrallah, 21/12)****
Timgad (Fabrice Benchaouche, 21/12)****
Hedi-un vent de liberté (Mohamed Ben Attia, 28/12)***
Fais de beaux rêves (Marco Bellocchio, 28/1)****
Sorties salles 2017
Beyond flamenco (Jota) (Carlos Saura, 4/1)****
Le parc (Damien Manivel, 4/1)****
Neruda (Pablo Larrain, 4/1)****
Quelques minutes après minuit (Juan Antonio Bayona, 4/1)***
La grande muraille (Zhang Yimou, 11/1)****
Harmonium (Koji Fukada, 11/1)***
Belle dormant (Ado Arrietta, 18/1)****
Un sac de billes (Christian Duguay, 25/1)****
Lumière ! l'aventure commence (Thierry Frémaux, 25/1)****
Tous en scène (Garth Jennings, 25/1)****
Les confessions (Roberto Ando, 25/1)***
Valley of stars (Mani Haghighi, 25/1)****
Autres films
OSS 117 se déchaîne (André Hunebelle, 1963)***
Amour (Karoly Makk, 1971)****
Banco à Bangkok pour OSS 117 (André Hunebelle, 1964)**
James White (Josh Mond, 2015)***
Le dragon des mers-la dernière légende (Jay Russell, 2007)***
La belle et le corsaire (Giuseppe Maria Scotese, 1957)***
The colony (Jeff Renfroe, 2013)***
Les esclaves de Babylone (William Castle, 1953)**
Pas de roses pour OSS 117 (André Hunebelle, 1968)**
Sangue del mio sangue (Marco Bellocchio, 2015)***
Feu magique (William Dieterlé, 1955)***
Percy Jackson -le voleur de foudre (Chris Columbus, 2009)***
Wild (Jean-Marc Vallée, 2014)***
Les parieurs (Pavel Tchoukraï, 2012)***
Pour elle, un seul homme (Michael Curtiz, 1957)***
Le prix de la loyauté (Gavin O'connor, 2008)***
Maciste chasseur alpin (Luigi Romano Borgnatto et Luigi Maggi, 1917)***
Dead snow (Tommy Wirkola, 2009)***
La bande à Bonnot (Philippe Fourastié, 1968)***
Partisan (Ariel Kleinman, 2015)***
Faut-il tuer Sister George ? (Robert Aldrich, 1968)***
Le général du diable (Helmut Käutner, 1955)***
Lucrezia Borgia Hans Hinrich, 1940)**
Mishima-une vie en quatre chapitres (Paul Schrader, 1985)***
L'homme de Lisbonne (Ray Milland, 1956)**
Espion (Alexei Andrianov, 2012)**
25 novembre-le jour où Mishima choisit son destin (Koji Wakamatsu, 2012)***
Lucrèce Borgia (Abel Gance, 1935)***
Mr Kaplan (Alvaro Brechner, 2014)***
Oliver ! (Carol Reed, 1968)***
Splendor (Ettore Scola, 1988)**** FILM DU MOIS
L'athlète incomplet (Frank Capra, 1926)***
Mémoires du sous-developpement (Tomas Guttierez Alea, 1968)****
Comment tuer son boss ? 2 5Sean Anders, 2014)***
La chamade (Alain Cavalier, 1968)***
Dernière modification par aelita le 1 févr. 17, 00:28, modifié 9 fois.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? (pensée shadok)
- gnome
- Iiiiiiil est des nôôôôtres
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Re: Votre film du mois de Janvier 2017
work in progress pour pas oublier
Hellboy
Le grand blond avec une chaussure noir
Le retour du grand blond
Le lorax
King Kong 1933 - 2005
Robin des bois
Hellraiser et Hellraiser II Hellbound
1000 mots
Krull
Rogue one
Django
Atomik Circus = Le retour de James Bataille
Hellboy
Le grand blond avec une chaussure noir
Le retour du grand blond
Le lorax
King Kong 1933 - 2005
Robin des bois
Hellraiser et Hellraiser II Hellbound
1000 mots
Krull
Rogue one
Django
Atomik Circus = Le retour de James Bataille
Dernière modification par gnome le 19 janv. 17, 21:02, modifié 7 fois.

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Re: Votre film du mois de Janvier 2017
Janvier 2017
Film du mois
Une femme cherche son destin (Irving Rapper)

Films découverts (Re)
La la land (Damien Chazelle) 8,5/10
Rendez-vous de juillet (Jacques Becker) 8/10
Nocturnal animals (Tom Ford) 8/10
Spotlight (Tom McCarthy) 8/10
L'Etrange histoire de Benjamin Button (David Fincher) 7,5/10
La dernière corvée (Hal Ashby) 7,5/10
Phantom of the Paradise (Brian De Palma) 7,5/10
Lumière ! L’aventure commence (Thierry Frémaux) 7,5/10
Tous en scène (Garth Jennings) 7,5/10
Demain tout commence (Hugo Gélin) 7/10
Ouvert la nuit (Edouard Baer) 7/10
Quelques minutes après minuit (Juan Antonio Bayona) 7/10
One piece : Gold (Hiroako Miyamoto) 7/10
Harmonium (Kôji Fukada) 7/10
Neruda (Pablo Larraín) 7/10
Un homme idéal (Yann Gozlan) 7/10
Crimson Peak (Guillermo del Toro) 6,5/10
L'Ascension (Ludovic Bernard) 6,5/10
La nouvelle vie de Paul Sneijder (Thomas Vincent) 6,5/10
Chain Chronicle Hekuseitasu no Hikari - Film 1 (Kudo Masashi) 6,5/10
Live by Night (Ben Affleck) 6/10
Il a déjà tes yeux (Lucien Jean-Baptiste) 6/10
La Grande Muraille (Zhang Yimou) 6/10
Passengers (Morten Tyldum) 5,5/10
xXx : Reactivated (D.J. Caruso) 4/10
Assassin's Creed (Justin Kurzel) 3/10
Films revus (Hors compétition)
Manchester by the sea (Kenneth Lonergan) 9/10 ►
Rogue One: A Star Wars Story (Gareth Edwards) 8,5/10 ►
Papa ou maman 2 (Martin Bourboulon) 6,5/10 ►
Séries (Hors compétition) (Revues)
L'attaque des titans (Araki Tetsuro) 9/10
Shouwa Genroku Rakugo Shinjuu - Saison 1 (Omata Shinichi) 8,5/10
Mushishi Zoku Shou (Nagahama Hiroshi) 8,5/10
Boku no Hero Academia - Saison 1 (Nagasaki Kenji) 8/10
Taboo Tattoo (Watanabe Takashi) 7,5/10
Shuumatsu no Izetta (Fujimori Masaya) 6,5/10
Hibike! Euphonium - Saison 2 (Ishihara Tatsuya) 6/10
Notation
10/10 : Je suis en extase
9,5/10 : Je suis aux anges
9/10 : Je jubile
8,5/10 : J'adore
8/10 : J'aime beaucoup
7,5/10 : J'aime
7/10 : J'aime bien
6,5/10 : J'aime assez
6/10 : J'aime moyennement
5,5/10 : J'aime sans plus
5/10 : Entre deux eaux
4/10 : Je n'aime pas vraiment
3/10 : Je n'aime pas
2/10 : Je n'aime pas du tout
1/10 : Je déteste
0/10 : Où est mon pulvérisateur ?
Révisions revues ▲ à la hausse ▼ à la baisse ► à l'identique
Mes films du mois de Mai 2005 à Décembre 2016
Film du mois
Une femme cherche son destin (Irving Rapper)

Films découverts (Re)
La la land (Damien Chazelle) 8,5/10
Rendez-vous de juillet (Jacques Becker) 8/10
Nocturnal animals (Tom Ford) 8/10
Spotlight (Tom McCarthy) 8/10
L'Etrange histoire de Benjamin Button (David Fincher) 7,5/10
La dernière corvée (Hal Ashby) 7,5/10
Phantom of the Paradise (Brian De Palma) 7,5/10
Lumière ! L’aventure commence (Thierry Frémaux) 7,5/10
Tous en scène (Garth Jennings) 7,5/10
Demain tout commence (Hugo Gélin) 7/10
Ouvert la nuit (Edouard Baer) 7/10
Quelques minutes après minuit (Juan Antonio Bayona) 7/10
One piece : Gold (Hiroako Miyamoto) 7/10
Harmonium (Kôji Fukada) 7/10
Neruda (Pablo Larraín) 7/10
Un homme idéal (Yann Gozlan) 7/10
Crimson Peak (Guillermo del Toro) 6,5/10
L'Ascension (Ludovic Bernard) 6,5/10
La nouvelle vie de Paul Sneijder (Thomas Vincent) 6,5/10
Chain Chronicle Hekuseitasu no Hikari - Film 1 (Kudo Masashi) 6,5/10
Live by Night (Ben Affleck) 6/10
Il a déjà tes yeux (Lucien Jean-Baptiste) 6/10
La Grande Muraille (Zhang Yimou) 6/10
Passengers (Morten Tyldum) 5,5/10
xXx : Reactivated (D.J. Caruso) 4/10
Assassin's Creed (Justin Kurzel) 3/10
Films revus (Hors compétition)
Manchester by the sea (Kenneth Lonergan) 9/10 ►
Rogue One: A Star Wars Story (Gareth Edwards) 8,5/10 ►
Papa ou maman 2 (Martin Bourboulon) 6,5/10 ►
Séries (Hors compétition) (Revues)
L'attaque des titans (Araki Tetsuro) 9/10
Shouwa Genroku Rakugo Shinjuu - Saison 1 (Omata Shinichi) 8,5/10
Mushishi Zoku Shou (Nagahama Hiroshi) 8,5/10
Boku no Hero Academia - Saison 1 (Nagasaki Kenji) 8/10
Taboo Tattoo (Watanabe Takashi) 7,5/10
Shuumatsu no Izetta (Fujimori Masaya) 6,5/10
Hibike! Euphonium - Saison 2 (Ishihara Tatsuya) 6/10
Notation
10/10 : Je suis en extase
9,5/10 : Je suis aux anges
9/10 : Je jubile
8,5/10 : J'adore
8/10 : J'aime beaucoup
7,5/10 : J'aime
7/10 : J'aime bien
6,5/10 : J'aime assez
6/10 : J'aime moyennement
5,5/10 : J'aime sans plus
5/10 : Entre deux eaux
4/10 : Je n'aime pas vraiment
3/10 : Je n'aime pas
2/10 : Je n'aime pas du tout
1/10 : Je déteste
0/10 : Où est mon pulvérisateur ?
Révisions revues ▲ à la hausse ▼ à la baisse ► à l'identique
Mes films du mois de Mai 2005 à Décembre 2016
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Dernière modification par Best le 30 janv. 17, 16:31, modifié 19 fois.
- HAL 9000
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Re: Votre film du mois de Janvier 2017
JANVIER 2017
Film du mois
L'étrangleur de Rillington Place (Richard Fleischer)
Films (re)découverts
L'étrangleur de Rillington Place (Richard Fleischer) 8.5/10
Rogue One : a Star Wars Story (Gareth Edwards) 8/10
Terreur aveugle (Richard Fleischer) 7.5/10
La main de la momie (Christy Cabanne) 7/10
Tracks (John Curran) 6.5/10
Victoria (Justine Triet) 6/10
Le crapaud et le maître d'école (Clyde Geronimi, James Algar et Jack Kinney) 6/10
Gemma Bovery (Anne Fontaine) 5.5/10
La tombe de la momie (Harold Young) 5/10
La malédiction de la momie (Leslie Goodwins) 5/10
Le fantôme de la momie (Reginald LeBorg) 5/10
Deux nigauds et la momie (Charles Lamont) 5/10
Séries TV
Ash Vs Evil Dead saison 1 (Robert Tappert, Sam Raimi, Bruce Campbell) 7.5/10
Chapeau melon et bottes de cuir saison 4 (Sydney Newman, Leonard White) épisode 5/26 7.5/10
The Expanse saison 1 (Mark Fergus, Hawk Ostby) 7.5/10
Daredevil (Drew Goddard, Steven S. DeKnight) épisode 7/13 8/10
Dragon Ball Z Kai (Akira Toriyama) épisode 65/167 7.5/10
La quatrième dimension saison 3 (Rod Serling) épisode 19/37 8.5/10
Penny Dreadful saison 2 (John Logan) épisode 2/10 7/10
Saint Seiya, les chevaliers du zodiaque (Masami Kurumada) épisode 40/114 7.5/10
Star Trek : The Next Generation saison 3 (Gene Roddenberry) épisode 4/26 6.5/10
Star Wars Rebels saison 2 (Simon Kinberg, Dave Filoni et Carrie Beck) épisode 7/20 7/10
The OA saison 1 (Bit Marling, Zal Batmanglij) ??/10
The X-Files : aux frontières du réel saison 1 (Chris Carter) épisode 6/24 7.5/10
Westworld saison 1 (Jonathan Nolan, Lisa Joy) 7/10
Films des mois précédents
Film du mois
L'étrangleur de Rillington Place (Richard Fleischer)
Films (re)découverts
L'étrangleur de Rillington Place (Richard Fleischer) 8.5/10
Rogue One : a Star Wars Story (Gareth Edwards) 8/10
Terreur aveugle (Richard Fleischer) 7.5/10
La main de la momie (Christy Cabanne) 7/10
Tracks (John Curran) 6.5/10
Victoria (Justine Triet) 6/10
Le crapaud et le maître d'école (Clyde Geronimi, James Algar et Jack Kinney) 6/10
Gemma Bovery (Anne Fontaine) 5.5/10
La tombe de la momie (Harold Young) 5/10
La malédiction de la momie (Leslie Goodwins) 5/10
Le fantôme de la momie (Reginald LeBorg) 5/10
Deux nigauds et la momie (Charles Lamont) 5/10
Séries TV
Ash Vs Evil Dead saison 1 (Robert Tappert, Sam Raimi, Bruce Campbell) 7.5/10
Chapeau melon et bottes de cuir saison 4 (Sydney Newman, Leonard White) épisode 5/26 7.5/10
The Expanse saison 1 (Mark Fergus, Hawk Ostby) 7.5/10
Daredevil (Drew Goddard, Steven S. DeKnight) épisode 7/13 8/10
Dragon Ball Z Kai (Akira Toriyama) épisode 65/167 7.5/10
La quatrième dimension saison 3 (Rod Serling) épisode 19/37 8.5/10
Penny Dreadful saison 2 (John Logan) épisode 2/10 7/10
Saint Seiya, les chevaliers du zodiaque (Masami Kurumada) épisode 40/114 7.5/10
Star Trek : The Next Generation saison 3 (Gene Roddenberry) épisode 4/26 6.5/10
Star Wars Rebels saison 2 (Simon Kinberg, Dave Filoni et Carrie Beck) épisode 7/20 7/10
The OA saison 1 (Bit Marling, Zal Batmanglij) ??/10
The X-Files : aux frontières du réel saison 1 (Chris Carter) épisode 6/24 7.5/10
Westworld saison 1 (Jonathan Nolan, Lisa Joy) 7/10
Films des mois précédents
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- Jack Griffin
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Re: Votre film du mois de Janvier 2017
Janvier 2017

Films découverts
La bonne année (Lelouch) : 8.5/10
L'image manquante (rithy panh) : 7/10
Les merveilles (Alice Rohrwacher) : 7.5/10
Les innocentes (Anne Fontaine) : 6/10
Carol (Todd Haynes) : 8.5/10
Le fils de Jean (Phillipe Llioret) : 5.5/10
Tout ça pour ça (Lelouch) : 6/10
Divines : 2/10
L'orphelinat Bayona : 7/10
Films redécouverts
Séries découvertes

Films découverts
La bonne année (Lelouch) : 8.5/10
L'image manquante (rithy panh) : 7/10
Les merveilles (Alice Rohrwacher) : 7.5/10
Les innocentes (Anne Fontaine) : 6/10
Carol (Todd Haynes) : 8.5/10
Le fils de Jean (Phillipe Llioret) : 5.5/10
Tout ça pour ça (Lelouch) : 6/10
Divines : 2/10
L'orphelinat Bayona : 7/10
Films redécouverts
Séries découvertes
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- Harkento
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Re: Votre film du mois de Janvier 2017
MON FILM DU MOIS ??
FILMS VUS AU CINEMA :
Nocturnal animals (Tom Ford) : 8 / 10 - U.S.A. [2017] ; Thriller, drame
Your name (Makoto Shinkai) : 7,5 / 10 - Japon [2016] ; Animation, science fiction, drame, romance
La La Land (Damien Chazelle) : 4,5 / 10 - U.S.A. [2016] ; Comédie musicale, romance
FILMS DECOUVERTS :
La charrette fantôme (Victor Sjöström) : 8,5 / 10 - Suède [1921] ; Drame, fantasy
Leçon de ténèbre (Werner Herzog) : 8 / 10 - France, UK, Allemagne [1992] ; Documentaire, guerre
The walk (Robert Zemeckis) : 8 / 10 - U.S.A. [2015] ; Drame, biopic, aventure, romance
The man from nowhere (Lee Jeong-Beom) : 7,5 / 10 - Corée du Sud [2010] ; Action, drame, crime, thriller
Chicago (Rob Marshall) : 7,5 / 10 - U.S.A. [2002] ; Musical, crime, comédie
SPL 2 : a time for consequence (Cheang Pou-Soi) : 7,5 / 10 - Chine, Hong-Kong [2015] ; Action, thriller, drame, crime
Il était une fois, la révolution (Sergio Leone) : 7 / 10 - Italie, Espagne, U.S.A. [1971] ; Western, guerre
Mr. Wolff (Gavin O'Connor) : 7 / 10 - U.S.A. [2016] ; Drame, thriller, action
Mafioso (Alberto Lattuada) : 7 / 10 - Italie [1962] ; Drame, comédie, crime
The yards (James Gray) : 7 / 10 - U.S.A. [2000] ; Drame, crime
Dragons forever (Sammo Hung, Corey Yuen) : 6,5 / 10 - Hong-kong [1988] ; Action, comédie, romance
Le mystère des balles fantômes (Lo Chi-Leung) : 6,5 / 10 - Chine, Hong-Kong [2012] ; Action, drame, mystère
No tears for the dead (Lee Jeong-Beom) : 6,5 / 10 - Corée du Sud [2014] ; Action, crime, drame
L'incorrigible (Philippe de Broca) : 6,5 / 10 - France [1975] ; Comédie
Creed (Ryan Coogler) : 6,5 / 10 - U.S.A. [2015] ; Drame, sport
A la recherche de l'ultra-sex (Nicolas Charlet, Bruno Lavaine) : 6 / 10 - France [2015] ; Comédie, aventure, science fiction
Manon (Henri-Georges Clouzot) : 6 / 10 - France [1949] ; Drame, romance, crime
Audrie & Daisy (Bonni Cohen, Jon Shenk) : 6 / 10 - U.S.A. [2016] ; Documentaire, société
Requiem for the american dream (Peter D. Hutchinson, Kelly Nyks) : 6 / 10 - U.S.A. [2016] ; Documentaire
Roar (Noel Marshall) : 5,5 / 10 - U.S.A. [1981] ; Aventure, thriller, horreur
Hush (Mike Flanagan) : 4,5 / 10 - U.S.A. [2016] ; Thriller, horreur
31 (Rob Zombie) : 3,5 / 10 - U.S.A. [2016] ; Horreur, thriller
FILMS REVUS – A la hausse / à la baisse :
Ghost in the shell (Mamoru Oshii) : 8,5 / 10 - Japon [1995]
Piège de cristal (John McTiernan) : 8,5 / 10 - U.S.A. [1988] ; Action, comédie, thriller
Le jour sans fin (Harold Ramis) : 8 / 10 - U.S.A. [1993] ; Comédie, fantasy, romance
X-men Apocalypse (Brian Singer) X2 : 7,5 / 10 - U.S.A. [2016]
Looper (Rian Johnson) : 7,5 / 10 - U.S.A. [2012]
Bound (Les Wachowski sisters) : 7,5 / 10 - U.S.A. [1996]
V pour Vendetta (James McTeigue) : 7,5 / 10 - U.S.A. [2005]
X-men : Le commencement (Matthew Vaughn) : 7 / 10 - U.S.A. [2011]
X-men : Days of the future past - Rogue cut (Brian Singer) : 6,5 / 10 - U.S.A. [2014]
Tucker & Dale fightent le mal (Eli Craig) : 6 / 10 - U.S.A., Canada, Inde, UK [2010] ; Comédie, horreur, romance
Source Code (Duncan Jones) : 5,5 / 10 - U.S.A. [2011]
Matrix (Les Wachowski sisters) : 5,5 / 10 - U.S.A. [1999]
Click (Frank Coraci) : 4,5 / 10 - U.S.A. [2006]
Matrix Reloaded (Les Wachowski sisters) : 3 / 10 - U.S.A. [2003]
Matrix Revolutions (Les Wachowski sisters) : 3 / 10 - U.S.A. [2003]
Le hobbit - Trilogie :
Un voyage inattendu - version longue (Peter Jackson) : 7 / 10 - U.S.A., Nouvelle Zélande (2012) ; Aventure, fantasy
La désolation de Smaug - version longue (Peter Jackson) : 6,5 / 10 - U.S.A., Nouvelle Zélande (2013) ; Aventure, fantasy
La bataille des cinq armées - version longue (Peter Jackson) : 6,5 / 10 - U.S.A., Nouvelle Zélande (2014) ; Aventure, fantasy
SERIE(S) / DOCUMENTAIRES :
The OA (Zal Batmanglij, Brit Marling) - épisode 1.01 à 1.05 : 7,5 / 10 - U.S.A. [2016] ; Drame, fantasy, mystère
South Park (Matt Stone, Trey Parker) - Saison 16, saison 15 (en cours ...) : 8 / 10 - U.S.A. [1999/2012] ; Animation, comédie
The story of film (Mark Cousins) - en cours ... : 8 / 10 - UK [2011] ; Documentaire, cinéma
Motto Te Love-Ru : Trouble (Atsushi Ootsuki) - épisode 1.03 : 6,5 / 10 - Japon [2010] ; Anime, comédie, ecchi, romance, science fiction
MES FILMS DU MOIS :
_______________________________________________________________________
10 / 10 - (14 films): Chef d'oeuvre absolu / Traumatisme cinématographique - Je vénère
9 / 10 - (174 films) : Chef d'oeuvre - J'adore
8 / 10 - (726 films) : Grand film / Un classique - J'aime beaucoup
7 / 10 - (1623 films) : Très bon film - J'aime bien
6 / 10 - (1297 films) : Bon film / divertissant - J'apprécie
5 / 10 - (508 films) : Film moyen - Je m'ennuie un peu
4 / 10 - (243 films) : Peu mieux faire - Je m'ennuie beaucoup
3 / 10 - (127 films) : Mauvais film - Je m'ennuie terriblement
2 / 10 - (47 films) : Film nul - Je m'énerve
1 / 10 - (3 films) : Croûte cosmique - J'explose
FILMS VUS AU CINEMA :
Nocturnal animals (Tom Ford) : 8 / 10 - U.S.A. [2017] ; Thriller, drame
Your name (Makoto Shinkai) : 7,5 / 10 - Japon [2016] ; Animation, science fiction, drame, romance
La La Land (Damien Chazelle) : 4,5 / 10 - U.S.A. [2016] ; Comédie musicale, romance
FILMS DECOUVERTS :
La charrette fantôme (Victor Sjöström) : 8,5 / 10 - Suède [1921] ; Drame, fantasy
Leçon de ténèbre (Werner Herzog) : 8 / 10 - France, UK, Allemagne [1992] ; Documentaire, guerre
The walk (Robert Zemeckis) : 8 / 10 - U.S.A. [2015] ; Drame, biopic, aventure, romance
The man from nowhere (Lee Jeong-Beom) : 7,5 / 10 - Corée du Sud [2010] ; Action, drame, crime, thriller
Chicago (Rob Marshall) : 7,5 / 10 - U.S.A. [2002] ; Musical, crime, comédie
SPL 2 : a time for consequence (Cheang Pou-Soi) : 7,5 / 10 - Chine, Hong-Kong [2015] ; Action, thriller, drame, crime
Il était une fois, la révolution (Sergio Leone) : 7 / 10 - Italie, Espagne, U.S.A. [1971] ; Western, guerre
Mr. Wolff (Gavin O'Connor) : 7 / 10 - U.S.A. [2016] ; Drame, thriller, action
Mafioso (Alberto Lattuada) : 7 / 10 - Italie [1962] ; Drame, comédie, crime
The yards (James Gray) : 7 / 10 - U.S.A. [2000] ; Drame, crime
Dragons forever (Sammo Hung, Corey Yuen) : 6,5 / 10 - Hong-kong [1988] ; Action, comédie, romance
Le mystère des balles fantômes (Lo Chi-Leung) : 6,5 / 10 - Chine, Hong-Kong [2012] ; Action, drame, mystère
No tears for the dead (Lee Jeong-Beom) : 6,5 / 10 - Corée du Sud [2014] ; Action, crime, drame
L'incorrigible (Philippe de Broca) : 6,5 / 10 - France [1975] ; Comédie
Creed (Ryan Coogler) : 6,5 / 10 - U.S.A. [2015] ; Drame, sport
A la recherche de l'ultra-sex (Nicolas Charlet, Bruno Lavaine) : 6 / 10 - France [2015] ; Comédie, aventure, science fiction
Manon (Henri-Georges Clouzot) : 6 / 10 - France [1949] ; Drame, romance, crime
Audrie & Daisy (Bonni Cohen, Jon Shenk) : 6 / 10 - U.S.A. [2016] ; Documentaire, société
Requiem for the american dream (Peter D. Hutchinson, Kelly Nyks) : 6 / 10 - U.S.A. [2016] ; Documentaire
Roar (Noel Marshall) : 5,5 / 10 - U.S.A. [1981] ; Aventure, thriller, horreur
Hush (Mike Flanagan) : 4,5 / 10 - U.S.A. [2016] ; Thriller, horreur
31 (Rob Zombie) : 3,5 / 10 - U.S.A. [2016] ; Horreur, thriller
FILMS REVUS – A la hausse / à la baisse :
Ghost in the shell (Mamoru Oshii) : 8,5 / 10 - Japon [1995]
Piège de cristal (John McTiernan) : 8,5 / 10 - U.S.A. [1988] ; Action, comédie, thriller
Le jour sans fin (Harold Ramis) : 8 / 10 - U.S.A. [1993] ; Comédie, fantasy, romance
X-men Apocalypse (Brian Singer) X2 : 7,5 / 10 - U.S.A. [2016]
Looper (Rian Johnson) : 7,5 / 10 - U.S.A. [2012]
Bound (Les Wachowski sisters) : 7,5 / 10 - U.S.A. [1996]
V pour Vendetta (James McTeigue) : 7,5 / 10 - U.S.A. [2005]
X-men : Le commencement (Matthew Vaughn) : 7 / 10 - U.S.A. [2011]
X-men : Days of the future past - Rogue cut (Brian Singer) : 6,5 / 10 - U.S.A. [2014]
Tucker & Dale fightent le mal (Eli Craig) : 6 / 10 - U.S.A., Canada, Inde, UK [2010] ; Comédie, horreur, romance
Source Code (Duncan Jones) : 5,5 / 10 - U.S.A. [2011]
Matrix (Les Wachowski sisters) : 5,5 / 10 - U.S.A. [1999]
Click (Frank Coraci) : 4,5 / 10 - U.S.A. [2006]
Matrix Reloaded (Les Wachowski sisters) : 3 / 10 - U.S.A. [2003]
Matrix Revolutions (Les Wachowski sisters) : 3 / 10 - U.S.A. [2003]
Le hobbit - Trilogie :
Un voyage inattendu - version longue (Peter Jackson) : 7 / 10 - U.S.A., Nouvelle Zélande (2012) ; Aventure, fantasy
La désolation de Smaug - version longue (Peter Jackson) : 6,5 / 10 - U.S.A., Nouvelle Zélande (2013) ; Aventure, fantasy
La bataille des cinq armées - version longue (Peter Jackson) : 6,5 / 10 - U.S.A., Nouvelle Zélande (2014) ; Aventure, fantasy
SERIE(S) / DOCUMENTAIRES :
The OA (Zal Batmanglij, Brit Marling) - épisode 1.01 à 1.05 : 7,5 / 10 - U.S.A. [2016] ; Drame, fantasy, mystère
South Park (Matt Stone, Trey Parker) - Saison 16, saison 15 (en cours ...) : 8 / 10 - U.S.A. [1999/2012] ; Animation, comédie
The story of film (Mark Cousins) - en cours ... : 8 / 10 - UK [2011] ; Documentaire, cinéma
Motto Te Love-Ru : Trouble (Atsushi Ootsuki) - épisode 1.03 : 6,5 / 10 - Japon [2010] ; Anime, comédie, ecchi, romance, science fiction
MES FILMS DU MOIS :
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_______________________________________________________________________
10 / 10 - (14 films): Chef d'oeuvre absolu / Traumatisme cinématographique - Je vénère
9 / 10 - (174 films) : Chef d'oeuvre - J'adore
8 / 10 - (726 films) : Grand film / Un classique - J'aime beaucoup
7 / 10 - (1623 films) : Très bon film - J'aime bien
6 / 10 - (1297 films) : Bon film / divertissant - J'apprécie
5 / 10 - (508 films) : Film moyen - Je m'ennuie un peu
4 / 10 - (243 films) : Peu mieux faire - Je m'ennuie beaucoup
3 / 10 - (127 films) : Mauvais film - Je m'ennuie terriblement
2 / 10 - (47 films) : Film nul - Je m'énerve
1 / 10 - (3 films) : Croûte cosmique - J'explose
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Re: Votre film du mois de Janvier 2017
Par ordre de préférence :
Manchester by the Sea (Kenneth Lonergan, 2016) ***** FILM DU MOIS
Aquarius (Kleber Mendonça Filho, 2016) *****
La La Land (Damien Chazelle, 2016) *****
La terre et l'ombre (César Augusto Acevedo, 2015) ****
Sa sœur de Paris / Her Sister From Paris (Sidney Franklin, 1925) ****
Fais de beaux rêves (Marco Bellocchio, 2016) ****
Le début (Gleb Panfilov, 1970) ****
Ixcanul - le volcan (Jayro Bustamante, 2015) ****
Splendor (Ettore Scola, 1989) ****
Fuocoammare - Par-delà Lampedusa (Gianfranco Rosi, 2016) ****
Petits frères (Jacques Doillon, 1999) ****
Anomalisa (Charlie Kaufman / Duke Johnson, 2015) ***
Harmonium (Kōji Fukada, 2016) ***
3000 nuits (Mai Masri, 2015) ***
Les doigts dans la tête (Jacques Doillon, 1974) ***
Belphégor (Henri Desfontaines, 1927) ***
Paterson (Jim Jarmusch, 2016) ***
Quelques minutes après minuit (Juan Antonio Bayona, 2016) ***
Baccalauréat (Cristian Mungiu, 2016) ***
Live by night (Ben Affleck, 2016) ***
Tante Zita (Robert Enrico, 1968) ***
Le sel de Svanétie (Mikhaïl Kalatozov, 1930) ***
La mécanique de l'ombre (Thomas Kruithof, 2016) ***
Un homme est mort (Jacques Deray, 1972) ***
L'île mystérieuse (Lucien Hubbard / Benjamin Christensen / Maurice Tourneur, 1929) ***
Le réveil de la Sorcière Rouge (Edward Ludwig, 1948) ***
Monsieur Fabre (Henri Diamant-Berger, 1951) ***
Joe Kidd (John Sturges, 1972) **
Un sac de billes (Christian Duguay, 2016) **
Midnight special (Jeff Nichols, 2016) **
Jodorowsky's Dune (Frank Pavich, 2013) **
Noces (Stephan Streker, 2016) **
The finest hours (Craig Gillespie, 2016) **
Lucrezia Borgia (Hans Hinrich, 1940) **
The birth of a nation (Nate Parker, 2016) **
La bande à Bonnot (Philippe Fourastié, 1968) **
La vache (Mohamed Hamidi, 2016) **
La divine croisière (Julien Duvivier, 1929) **
Les amants de minuit (Roger Richebé, 1953) **
Papa les petits bateaux... (Nelly Kaplan, 1971) **
Panic Room (David Fincher, 2002) **
Primaire (Hélène Angel, 2016) **
Contre-enquête (Franck Mancuso, 2007) **
Geronimo (Tony Gatlif, 2014) **
Personal shopper (Olivier Assayas, 2016) **
OSS 117 se déchaîne (André Hunebelle, 1963) **
Radin ! (Fred Cavayé, 2016) **
La poursuite dura sept jours (David Butler, 1954) **
Une semaine et un jour (Asaph Polonsky, 2016) **
Le Vicomte règle ses comptes (Maurice Cloche, 1967) **
Le cobra de Shanghai (Phil Karlson, 1945) **
L'amant de Bornéo (Jean-Pierre Feydeau / René Le Hénaff, 1942) **
Aux yeux du souvenir (Jean Delannoy, 1948) *
Le fils de Caroline Chérie (Jean Devaivre, 1955) *
Les Tuche 2 - le rêve américain (Olivier Baroux, 2016) *
Nocturama (Bertrand Bonello, 2016) *
Belphégor - le fantôme du Louvres (Jean-Paul Salomé, 2001) *
La femme invisible (E. Edward Sutherland, 1945) °
RE-VISIONS
Un sac de billes (Jacques Doillon, 1975) *** →
Le chat et la souris (Claude Lelouch, 1975) *** →
Femmes en prison (Lewis Seiler, 1955) *** →
Alerte à la bombe (John Guillermin, 1972) ** →
Manchester by the Sea (Kenneth Lonergan, 2016) ***** FILM DU MOIS
Aquarius (Kleber Mendonça Filho, 2016) *****
La La Land (Damien Chazelle, 2016) *****
La terre et l'ombre (César Augusto Acevedo, 2015) ****
Sa sœur de Paris / Her Sister From Paris (Sidney Franklin, 1925) ****
Fais de beaux rêves (Marco Bellocchio, 2016) ****
Le début (Gleb Panfilov, 1970) ****
Ixcanul - le volcan (Jayro Bustamante, 2015) ****
Splendor (Ettore Scola, 1989) ****
Fuocoammare - Par-delà Lampedusa (Gianfranco Rosi, 2016) ****
Petits frères (Jacques Doillon, 1999) ****
Anomalisa (Charlie Kaufman / Duke Johnson, 2015) ***
Harmonium (Kōji Fukada, 2016) ***
3000 nuits (Mai Masri, 2015) ***
Les doigts dans la tête (Jacques Doillon, 1974) ***
Belphégor (Henri Desfontaines, 1927) ***
Paterson (Jim Jarmusch, 2016) ***
Quelques minutes après minuit (Juan Antonio Bayona, 2016) ***
Baccalauréat (Cristian Mungiu, 2016) ***
Live by night (Ben Affleck, 2016) ***
Tante Zita (Robert Enrico, 1968) ***
Le sel de Svanétie (Mikhaïl Kalatozov, 1930) ***
La mécanique de l'ombre (Thomas Kruithof, 2016) ***
Un homme est mort (Jacques Deray, 1972) ***
L'île mystérieuse (Lucien Hubbard / Benjamin Christensen / Maurice Tourneur, 1929) ***
Le réveil de la Sorcière Rouge (Edward Ludwig, 1948) ***
Monsieur Fabre (Henri Diamant-Berger, 1951) ***
Joe Kidd (John Sturges, 1972) **
Un sac de billes (Christian Duguay, 2016) **
Midnight special (Jeff Nichols, 2016) **
Jodorowsky's Dune (Frank Pavich, 2013) **
Noces (Stephan Streker, 2016) **
The finest hours (Craig Gillespie, 2016) **
Lucrezia Borgia (Hans Hinrich, 1940) **
The birth of a nation (Nate Parker, 2016) **
La bande à Bonnot (Philippe Fourastié, 1968) **
La vache (Mohamed Hamidi, 2016) **
La divine croisière (Julien Duvivier, 1929) **
Les amants de minuit (Roger Richebé, 1953) **
Papa les petits bateaux... (Nelly Kaplan, 1971) **
Panic Room (David Fincher, 2002) **
Primaire (Hélène Angel, 2016) **
Contre-enquête (Franck Mancuso, 2007) **
Geronimo (Tony Gatlif, 2014) **
Personal shopper (Olivier Assayas, 2016) **
OSS 117 se déchaîne (André Hunebelle, 1963) **
Radin ! (Fred Cavayé, 2016) **
La poursuite dura sept jours (David Butler, 1954) **
Une semaine et un jour (Asaph Polonsky, 2016) **
Le Vicomte règle ses comptes (Maurice Cloche, 1967) **
Le cobra de Shanghai (Phil Karlson, 1945) **
L'amant de Bornéo (Jean-Pierre Feydeau / René Le Hénaff, 1942) **
Aux yeux du souvenir (Jean Delannoy, 1948) *
Le fils de Caroline Chérie (Jean Devaivre, 1955) *
Les Tuche 2 - le rêve américain (Olivier Baroux, 2016) *
Nocturama (Bertrand Bonello, 2016) *
Belphégor - le fantôme du Louvres (Jean-Paul Salomé, 2001) *
La femme invisible (E. Edward Sutherland, 1945) °
RE-VISIONS
Un sac de billes (Jacques Doillon, 1975) *** →
Le chat et la souris (Claude Lelouch, 1975) *** →
Femmes en prison (Lewis Seiler, 1955) *** →
Alerte à la bombe (John Guillermin, 1972) ** →
Dernière modification par origan42 le 31 janv. 17, 22:37, modifié 8 fois.
top 10, top de tous les temps, films ***** par année
top film par année
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mucho, mucho, mucho nullos
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Re: Votre film du mois de Janvier 2017
JANVIER 2017
Film du mois

Monsieur Verdoux (Charles Chaplin)
Films des Mois Précédents
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Re: Votre film du mois de Janvier 2017
Notation:
0 Nul/Mauvais
* Médiocre/Pas terrible
** Bien/Agréable
***Très bien/Excellent
**** Chef d'oeuvre
Découverte/Revision
Darling Lili de Blake Edwards (1970) **
Franc-jeu d'Archie Mayo (1934) *
La boum de Claude Pinoteau (1980) *
La boum 2 de Claude Pinoteau (1982) **
Star Wars: Rogue One de Gareth Edwards (2016) **
The tree of life de Terrence Malick (2011) ****
La fin du jour de Julien Duviver (1938) ***
Le cavalier électrique de Sidney Pollack (1979) *
La prisonnière d'Henri-Georges Clouzot (1968) ***
L'exercice de l'Etat de Pierre Schoeller (2011) **
I...comme Icare d'Henri Verneuil (1979) **
Goupi Mains Rouges de Jacques Becker (1943) ***
A bord du Darjeeling Limited de Wes Anderson (2007) *
A most violent year de J.C Chandor (2014) **
La chamade d'Alain Cavalier (1968) **
0 Nul/Mauvais
* Médiocre/Pas terrible
** Bien/Agréable
***Très bien/Excellent
**** Chef d'oeuvre
Découverte/Revision
Darling Lili de Blake Edwards (1970) **
Franc-jeu d'Archie Mayo (1934) *
La boum de Claude Pinoteau (1980) *
La boum 2 de Claude Pinoteau (1982) **
Star Wars: Rogue One de Gareth Edwards (2016) **
The tree of life de Terrence Malick (2011) ****
La fin du jour de Julien Duviver (1938) ***
Le cavalier électrique de Sidney Pollack (1979) *
La prisonnière d'Henri-Georges Clouzot (1968) ***
L'exercice de l'Etat de Pierre Schoeller (2011) **
I...comme Icare d'Henri Verneuil (1979) **
Goupi Mains Rouges de Jacques Becker (1943) ***
A bord du Darjeeling Limited de Wes Anderson (2007) *
A most violent year de J.C Chandor (2014) **
La chamade d'Alain Cavalier (1968) **
Dernière modification par O'Malley le 31 janv. 17, 21:07, modifié 3 fois.
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Re: Votre film du mois de Janvier 2017
Film du mois

Les Dimanches de Ville d'Avray, de Serge Bourguignon : 8,5/10
Network, de Sidney Lumet (1976): 8/10
J'ai été emballé comme rarement pendant les 3/4 du film... jusqu'à cette fin extrêmement décevante, qui pour moi ne fonctionne pas, Lumet allant trop loin dans la satire pour que cela soit crédible et marquant. J'ai tendance malheureusement à rester un peu bloqué sur ce détail, mais passons... Le reste du film est extraordinaire, d'une grande acuité sur la manipulation des masses, des mouvements politiques extrémistes étalés sur l'autel du sensationnalisme. Le monologue incroyable de Ned Beatty est le point d'orgue du film, avec son messianisme ultralibéral, qui résonne d'une manière furieusement juste quelques 40 années plus tard..
Le Vol du Phoenix de Robert Aldrich (1965): 8/10
Des nouvelles de la planète Mars de Dominik Moll (2015): 7,5/10
Au nom de ma fille, de Vincent Garencq (2016): 7,5/10
Nell de Michael Apted (1994): 7,5/10
L'auberge Rouge, de Claude Autant-Lara (1951): 7/10
The Gunfighter d'Henry King (1950): 7/10
Posse de Kirk Douglas(1974): 7/10
Carol de Todd Haynes (2016): 7/10
Colorado de Sergio Sollima (1968): 6,5/10
The Lodger,de John Brahm (1944) : 6,5/10
J'ai trouvé ce film moins satisfaisant que "Hangover Square" dont l'histoire est d'une tenue supérieure à mon sens, mais il a comme points communs la virtuosité de la réalisation et une interprétation saisissante de Laird Cregar.
Hard Rain de Mikael Salomon (1998): 6,5/10
La Huitième Femme de Barbe Bleue (1938), d'Ernst Lubitsch: 6/10
Très drôle et enlevé dans sa première partie, plus laborieux par la suite, la faute à des ressorts comiques moins efficaces et un personnage joué par Claude Colbert que j'ai trouvé particulièrement pénible.
The Enchanted Cottage, de John Cromwell (1945): 6/10
Vendeur de Sylvain Desclous (2015): 6/10
Victoria de Justine Triet (2016): 6/10
The Angel and the Badman de James Edward Grant (1947): 5,5/10
Valley of Love de Guillaume Nicloux (2015): 5,5/10
The Last Sunset, de Robert Aldrich (1961): 4,5/10
Mon Pire Cauchemar d'Anne Fontaine (2013): 4/10

Les Dimanches de Ville d'Avray, de Serge Bourguignon : 8,5/10
Network, de Sidney Lumet (1976): 8/10
J'ai été emballé comme rarement pendant les 3/4 du film... jusqu'à cette fin extrêmement décevante, qui pour moi ne fonctionne pas, Lumet allant trop loin dans la satire pour que cela soit crédible et marquant. J'ai tendance malheureusement à rester un peu bloqué sur ce détail, mais passons... Le reste du film est extraordinaire, d'une grande acuité sur la manipulation des masses, des mouvements politiques extrémistes étalés sur l'autel du sensationnalisme. Le monologue incroyable de Ned Beatty est le point d'orgue du film, avec son messianisme ultralibéral, qui résonne d'une manière furieusement juste quelques 40 années plus tard..
Le Vol du Phoenix de Robert Aldrich (1965): 8/10
Des nouvelles de la planète Mars de Dominik Moll (2015): 7,5/10
Au nom de ma fille, de Vincent Garencq (2016): 7,5/10
Nell de Michael Apted (1994): 7,5/10
L'auberge Rouge, de Claude Autant-Lara (1951): 7/10
The Gunfighter d'Henry King (1950): 7/10
Posse de Kirk Douglas(1974): 7/10
Carol de Todd Haynes (2016): 7/10
Colorado de Sergio Sollima (1968): 6,5/10
The Lodger,de John Brahm (1944) : 6,5/10
J'ai trouvé ce film moins satisfaisant que "Hangover Square" dont l'histoire est d'une tenue supérieure à mon sens, mais il a comme points communs la virtuosité de la réalisation et une interprétation saisissante de Laird Cregar.
Hard Rain de Mikael Salomon (1998): 6,5/10
La Huitième Femme de Barbe Bleue (1938), d'Ernst Lubitsch: 6/10
Très drôle et enlevé dans sa première partie, plus laborieux par la suite, la faute à des ressorts comiques moins efficaces et un personnage joué par Claude Colbert que j'ai trouvé particulièrement pénible.
The Enchanted Cottage, de John Cromwell (1945): 6/10
Vendeur de Sylvain Desclous (2015): 6/10
Victoria de Justine Triet (2016): 6/10
The Angel and the Badman de James Edward Grant (1947): 5,5/10
Valley of Love de Guillaume Nicloux (2015): 5,5/10
The Last Sunset, de Robert Aldrich (1961): 4,5/10
Mon Pire Cauchemar d'Anne Fontaine (2013): 4/10
Dernière modification par Lockwood le 31 janv. 17, 22:45, modifié 6 fois.