Notez les films de Juin 2015

[Rockatansky]

Merci

[Johnny Doe]

Rosewood Lane (Victor Salva - 2011)

Tu me rends curieux, même si je n'aime pas du tout Powder et Clownhouse, j'ai beaucoup d'affection pour ses 2 Jeepers Creepers.

[AtCloseRange]

Rosewood Lane (Victor Salva - 2011)

Tu me rends curieux, même si je n'aime pas du tout Powder et Clownhouse, j'ai beaucoup d'affection pour ses 2 Jeepers Creepers.

Je le redis: attention, film fragile et qui ne peut pas plaire à tout le monde (j'ai appris me méfier ) mais c'est justement pour ça que je l'ai aimé.

[Kiké]

UNE BELLE FIN (Umberto Pasolini)



La mort, la solitude, l'indifférence ... mais regardées avec tendresse, luminosité et amour, ça vous tente? Tentez donc "Still Life", un film ambivalent mélangeant vie et mort, comme le titre original pouvant signifier "vie immobile" et simultanément "encore de la vie". Ce personnage principal devient ainsi un mélange troublant de mort-vivant et de grand humaniste de l'ombre.

C'est une très belle histoire, dont la mise en scène tente de traduire l'évolution du blanc vide vers le mouvement coloré. Umberto Pasolini maitrise bien le cadrage, même si parfois il peine à amener de la vie dans cet espace moribond. Surtout, il parvient à proposer quelques idées de mise en scène sans jamais user de grands effets, en étant toujours au service de son récit, quitte à s'effacer derrière. Sans cela, on aurait pu très vite tomber dans le mélo larmoyant et imbuvable.

Heureusement, il n'en est rien, et "Still Life" mériterait largement d'être sauvé de l'oubli, cet oubli que combat justement l'antihéros très humain de cette belle histoire.

[zeotrope]

Le cri du sorcier

Déception relative mais déception quand même.

6/10

[cinéfile]

Stir of Echoes (D. Koepp, 2000)

Revu hier soir après une première vision qui remonte à près de dix ans, ce deuxième long de David Koepp est en passe de devenir un petit classique du genre !

J'adore le soin porté à l'environnement social (un quartier populaire de Boston avec son microcosme). Une réalisation à la hauteur des personnages. Kevin Bacon très bien dans le rôle d'un pecnot de banlieue torturé par l'esprit d'une morte. Tout comme Kathryn Erbe d'ailleurs, vraiment touchante en femme délaissée...
Une belle réussite assez loin de l'honnête série B auquel on pourrait s'attendre.

Sans avoir tout vu, le reste de la filmographie de David Koepp réalisateur semble moins intéressante. (J'aimerais bien voir son premier, Réactions en chaine, assez intriguant sur le papier)


8/10

[Addis-Abeba]

Rosewood Lane (Victor Salva - 2011)

Tu me rends curieux, même si je n'aime pas du tout Powder et Clownhouse, j'ai beaucoup d'affection pour ses 2 Jeepers Creepers.

J'aime les 4 (avec évidemment une préférence pour les Jeepers), pas encore vu ce Rosewood, mais même Dark House que j'aime moins possède des fulgurances.

[zeotrope]

A mon tour je me suis fait un petit festival du meilleur des années 70 avec:

La mandarine (Molinaro) 7/10
Tendre poulet ( De Broca) 8/10
Le cavaleur (De Broca) 8/10

Ah les enfants quel bonheur de replonger là-dedans. On savait s'amuser en ce temps là, au placard la morale et le cynisme. De la légèreté qui en dit long et des gueules qui n'auraient aucune chance aujourd'hui. Une époque bénie que les moins de 40, disons même 45 ans, ne peuvent pas connaitre, à part entre deux biberons. Y'avait pas encore cette saloperie de crise et d'internet. Je dis sans hésiter oui, mille fois oui, la vie en société, c'était mieux AVANT!!!

[Rockatansky]

Safety not guaranteed : Pour Colin Trevorrow il y a eu un avant Jurassic World (j'ose même pas imaginer le grand écart niveau moyens ), cela nous donne un film indépendant typique, avec un casting extrêmement série tv (Mark Duplass, Jake Jonhson, Kirstin Bell, Mary Lynn Rajskub et surtout Aubrey Plaza) assez plaisant à suivre même si assez décousu dans ses intrigues parallèle, rien de très neuf, mais un film agréable. 6,5/10

[Colqhoun]

Safety not guaranteed

J'avais tenu 30 minutes.
Ça m'avait très vite agacé, mais je sais plus trop pourquoi.

[Rockatansky]

Je peux comprendre j'aime beaucoup tous les comédiens ça a peut être joué

[Edouard]

Yeah !

• Miami Vice (Mann)

[Harkento]

Le mur invisible (Die wand - 2012) de Julian Pölsler

C'est marrant comme parfois des films viennent répondre à certaines de vos questions concernant le peu d'émotion ressentit devant un film qui à priori vous semble génial. Je ne sais pas si je dois l'opposer à Vice-versa de Pete Docter qui vient tout juste de sortir, mais je préfère mille fois ce traitement concernant la mise en image de la psyché humaine que celle du studio Pixar et ces émotions anthropomorphisées. Ici, nous suivons une dame soudainement prisonnière d'un paysage montagneux : en effet, un mur invisible l'empêche de retourner à la vie civile. Commence alors pour ce personnage dont on ne connaît pas le prénom un voyage mental ou l'introspection et les interrogations existentielles cotoient un fantastique contemplatif aussi éblouissant que profondément évocateur. A la fois oeuvre tellurique et spirituelle, le personnage parcours ce paysage qui renvoie à sa partie inconsciente qu'elle va devoir explorer, apprivoiser et maîtriser, avec ce que cela implique de découverte sur elle même et sur la nécessité d'affronter certaines douleurs inhérentes à l'être humain, et tout cela de manière toujours métaphorique et poétique ! S'il peut paraître austère par moment, le dépouillement de la mise en scène est toujours au service de l'état mental du personnage, mais aussi de la beauté immuable et mystique de la nature, nature qui renvoie aussi au lieu originel d'où l'Homme vient et retourne. Cette oeuvre fascine du début à la fin par la pureté et la puissance de ses images (qui n'est pas sans évoquer le courant pictural romantique du XIXème siècle) ! J'en reviens tout simplement pas ! Certains de ses monologues intérieurs m'ont vraiment ébranlés ! Ca m'a donné envie de lire le livre qui, apparemment, est un classique germanophone.

[Frances]

Yeah !

• Miami Vice (Mann)

+ 1

[Demi-Lune]

Le mur invisible (Die wand - 2012) de Julian Pölsler

Un topic dédié au film existe : http://www.dvdclassik.com/forum/viewtop ... =3&t=34565