Toy Story 3 (Lee Unkrich - 2010)

[Alcatel]

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Le passage de Buzz en mode espagnol est monstrueux.

[Beref]

Toy Story 3 ou : la consécration de Pixar.

Ce film est grandiose.

[Sukaraji]

Des trois, celui qui m'aura le plus ému. J'ai beaucoup ri (notamment grâce au personnage de Ken, à Buzz en espagnol et à M. Patate face au pigeon), désormais attaché aux personnages, j'ai pleinement été emporté par les deux grands moments d'émotion (le four et le don des jouets) et c'est pour moi dans cet épisode que les thèmes récurrents aux trois (l'amitié, la séparation, la mort) sont traités de la manière la plus intelligente, donnant au film une véritable force.
En tout logique, mon préféré de la trilogie.

[Flol]

M. Patate face au pigeon

Personnellement, le gag qui m'aura fait pleurer de rire, c'est celui de Mr Patate obligé de se "reconstituer" avec une tortilla. Je crois que j'étais le seul dans la salle à ce moment-là, mais je m'étais retrouvé à rire comme rarement je l'ai fait au ciné.
Sont quand même forts, chez Pixar...

[Watkinssien]

Toy Story 3 est le plus gros succès de Pixar et pour un film d'animation, avec (pour l'instant) plus d'un milliard de dollars de recettes dans le monde.

[Alligator]

http://alligatographe.blogspot.com/2010 ... ory-3.html

Estupendo! Mejor que los... autres! Pardon pour cette réinitialisation intempestive.

Encore une fois Pixar déchire sa mémée! Pas seulement sur le plan technique, le film est d'une si belle invention! J'ai vu il y a quelques jours "Despicable me", un dessin animé de bonne facture, même techniquement, or le gouffre d'imagination et de précision visuelle qui les sépare est proche du Grand Canyon. Effarant!

Dans un premier temps, l'histoire ressemble à s'y méprendre à celles des deux premiers volets : les jouets sont en danger d'abandon. Andy est presque adulte maintenant et part à l'université. Mazette! Il a encore ses jouets? Ça faisait belle lurette que j'avais échangé mes Big Jim et mes Playmobils avec des BigBoobsMag et Playboy ou d'autres joyeusetés littéraires pour mon Joystick favori. Bon, passons.

En introduisant les jouets dans une maternelle-prison où règne en despote une peluche rose-fraise, les auteurs investissent le sous-genre du film d'évasion avec un rafraichissant renouvellement du suspense comme de l'esthétique.

Les dessins sont d'une netteté et d'une précision renversante qui rappelle la véracité de Wall-E. Certains plans sont si beaux de mille détails que l'on se demande si l'on a pas inséré des plans réels. Les équipes techniques de Pixar sont toujours au sommet de leur art.

D'autant plus grandiose que non content de proposer une image époustouflante de réalisme, leur travail sur les couleurs et les cadrages par exemple alimente un sous-texte du récit évident. Ça a du sens, nom d'une inflation!

Les clins d'œil laissent apparaitre les influences du cinéma de genre ou des iconographies particulières. Ce film-là peut se targuer d'appartenir à une histoire du cinéma. Il s'inscrit dans celle du cinéma américain, reprenant des thèmes formels anciens, tout en traitant de sujets beaucoup plus universels, propres à éveiller en chacun de nous des émotions centrales : l'amour, l'amitié, la relation à l'autre en somme, la fidélité, le confiance, le partage et la transmission de ces valeurs. Je n'y ai pas été insensible.

La beauté des couleurs, des textures et l'incroyable finesse de l'animation finiraient de totalement convaincre le pire des "peine à jouir", assurément! Un très grand Pixar, un très grand spectacle, un très grand film! Pour les petits et les grands.

[monk]

vivement le 17 que je le revoie. Très très impatient, après une formidable séance ciné cet été

[Jericho]

Pour ma part, c'est sans conteste, l'épisode le moins bon de la trilogie (déjà qu'à la base je suis pas trop fan des précédents opus réalisés par Lasseter) et surtout: c'est l'une des productions Pixar les plus faiblardes.
Pourtant ça commençait bien avec une introduction ludique, puis ensuite ça retombe. On nous refait, en quelque sorte, La grande évasion à la sauce Toy Story. Ca décolle pratiquement jamais, à plusieurs reprises je me demandais quand est ce que l'histoire allait enfin démarrer. En fait, c'est quand ils en sortent que ça devient "intéressant", le dernier quart d'heure remonte le niveau.
Sentiment mitigé donc, et grosse impression de déjà-vu: avec entre autres, les gags basés sur Ken et Barbie au secours la caricature facile et aussi le moment où Buzz est en mode espagnol (franchement nase).
Bref moyen. Le prochain c'est quoi ? Cars 2 ? Youpi ça va être nul !

[origan42]

Pour ma part, c'est sans conteste, l'épisode le moins bon de la trilogie (déjà qu'à la base je suis pas trop fan des précédents opus réalisés par Lasseter) et surtout: c'est l'une des productions Pixar les plus faiblardes.
Pourtant ça commençait bien avec une introduction ludique, puis ensuite ça retombe. On nous refait, en quelque sorte, La grande évasion à la sauce Toy Story. Ca décolle pratiquement jamais, à plusieurs reprises je me demandais quand est ce que l'histoire allait enfin démarrer. En fait, c'est quand ils en sortent que ça devient "intéressant", le dernier quart d'heure remonte le niveau.
Sentiment mitigé donc, et grosse impression de déjà-vu: avec entre autres, les gags basés sur Ken et Barbie au secours la caricature facile et aussi le moment où Buzz est en mode espagnol (franchement nase).
Bref moyen. Le prochain c'est quoi ? Cars 2 ? Youpi ça va être nul !

[Watkinssien]

Pour ma part, c'est sans conteste, l'épisode le moins bon de la trilogie (déjà qu'à la base je suis pas trop fan des précédents opus réalisés par Lasseter) et surtout: c'est l'une des productions Pixar les plus faiblardes.
Pourtant ça commençait bien avec une introduction ludique, puis ensuite ça retombe. On nous refait, en quelque sorte, La grande évasion à la sauce Toy Story. Ca décolle pratiquement jamais, à plusieurs reprises je me demandais quand est ce que l'histoire allait enfin démarrer. En fait, c'est quand ils en sortent que ça devient "intéressant", le dernier quart d'heure remonte le niveau.
Sentiment mitigé donc, et grosse impression de déjà-vu: avec entre autres, les gags basés sur Ken et Barbie au secours la caricature facile et aussi le moment où Buzz est en mode espagnol (franchement nase).
Bref moyen. Le prochain c'est quoi ? Cars 2 ? Youpi ça va être nul !

Eh ben dis donc !

[monk]

Difficile d'imaginer que c'est de la synthèse. Excellent personnage d'ailleurs !

[Cathy]

Encore une réussite à mettre au compte de Pixar, si Wall-e était raté et perdait sa poésie en cours de route, si La-haut redressait la barre, Toy Story 3 est à coup sûr une véritable réussite. On reprend les personnages, on reprend le pitch de la grande "poursuite", et cela marche du feu de dieu, évoquant les années qui passent, le douloureux passage entre enfance et adolescence, mais cette nostalgie qui peut reprendre quand on se retrouve en contact avec les jouets, la dernière scène entre Andy et Bonnie la petite fille est une merveille d'émotion, la fin d'une histoire et le début d'une autre !

Il y a un travail d'animation exceptionnel ! Quand on voit la fluidité des mouvements, le nombre de personnages animés, les idées qui foisonnent, comme M. Patate en Tortilla ou le rebootage "espagnol" de Buzz, franchement il y a là de quoi se réjouir ! Contrairement aux deux premiers opus de la saga, nous avons amplifié l'idée de la destruction des jouets, de leur mort, la scène de l"incinérateur d'ordure est une véritable trouvaille avec cette émotion qui vous prend aux tripes même si on sait que les dessins animés ne se finissent jamais mal.

Ici, les méchants ne sont pas le humains, mais les jouets eux-mêmes, jouets délaissés, perdus, abandonnés, même si le traitement qu'infligent les enfants de sunnyside aux jouets est une véritable torture, les gags foisonnent. Si Ken et Barbie sont faits l'un pour l'autre, il est très ingénieux de voir une Barbie délurée ou encore un Ken jouant au poker sans oublier cet horrible ours rose ou ce singe gardien de son camp de prisonniers. Si généralement les sagas voient la qualité des épisodes décroître, il n'en est rien ici bien au contraire, sans doute Toy Story est le film le plus abouti de la franchise, avec son scénario débordant d'idées, de trouvailles et d'ingéniosité. Bref une vraie réussite !

[Jeremy Fox]

Contrairement aux deux premiers opus de la saga, nous avons amplifié l'idée de la destruction des jouets, de leur mort, la scène de l"incinérateur d'ordure est une véritable trouvaille avec cette émotion qui vous prend aux tripes même si on sait que les dessins animés ne se finissent jamais mal.
!

Et bien pourtant je dois t'avouer que j'ai trouvé cette séquence tellement forte émotionnellement (j'ai rarement autant flippé au cinéma) que j'ai vraiment cru pendant plusieurs minutes que l'inéluctable allait se produire

[Cathy]

Contrairement aux deux premiers opus de la saga, nous avons amplifié l'idée de la destruction des jouets, de leur mort, la scène de l"incinérateur d'ordure est une véritable trouvaille avec cette émotion qui vous prend aux tripes même si on sait que les dessins animés ne se finissent jamais mal.
!

Et bien pourtant je dois t'avouer que j'ai trouvé cette séquence tellement forte émotionnellement (j'ai rarement autant flippé au cinéma) que j'ai vraiment cru pendant plusieurs minutes que l'inéluctable allait se produire

Mais moi aussi; j'étais au bord des larmes, ils ne pouvaient pas faire cela à Woody et ses amis ! Mais j'ai continué à penser que non les dessins animés ne finissaient pas mal et que même si c'était le dernier opus de la saga, ils ne pouvaient pas terminer aussi tragiquement, même si j'ai cru que l'un d'entre eux n'en réchapperait pas !

Spoiler (cliquez pour afficher)

Hormis dans la princesse et la grenouille, où la luciole meurt, je n'ai jamais vu de dessins animés Disney ou Pixar se terminer mal

. Ce qui est sûr c'est que Toy Story 3 est le plus émouvant de la série, entre cette longue descente vers le feu, et la transmission entre Bonnie et Andy, les larmes ont été très proches !

[Jeremy Fox]

la transmission entre Bonnie et Andy, les larmes ont été très proches !

Je n'ai pas pu m'empêcher d'en laisser couler à ce moment là.