Publié : 22 mai 06, 12:34
Tu veux le numéro du service commercial de Metropolitan ?Ratatouille a écrit :Putain et on veut le DVD, maintenant !?

Déjà quand je leur ai demande, ils n'ont pas l'air très chauds à vouloir le sortir, alors

https://www.dvdclassik.com/forum/
Tu veux le numéro du service commercial de Metropolitan ?Ratatouille a écrit :Putain et on veut le DVD, maintenant !?
Je trouve que Carpenter réussit, dans ce film, un bon compromis entre le "suggéré littéraire" et " le suggéré cinématographique" et n'en fait jamais trop pour que notre imagination continue de tourner à pleines turbines pendant tout le film.Niron a écrit :Moi ce serait plutot un univers à la Lynch qui se rapporcherait le plus de l'unnivers Lovecraftien. Carpenter est trop démonstratif dans sa mise en scène alors que ce qui fait la force de Lovecraft dans sa littérature, et d'où sa quasi impossibilité d'adaptation, c'est le suggéré.
L'important avec Lovecraft c'est le ressentit par tout ce qu'il suggère... Carpenter pour moi serait un formidable cinéaste pour adapter du Stephen King car ça lui colle plus (d'ailleur pour moi Sutter Kane est à l'image de King et tout dans la mise en scène sur la manière de détailler les choses, sans parler du récit fait penser à du King).Jack Griffin a écrit :Les moyens du cinéma ne sont pas les mêmes que ceux de la littérature...Ce que montre Carpenter dans son film est une adaptation fidèle de ce qu'a pu décrire l'écrivain dans la plupart de ses bouquins. Du moins cela donne une bonne idée.
C'est précisemment ce que fait Carpenter ici.Niron a écrit :Dans Lovecraft ce qui est important dans l'évolution du personnage principal, c'est sa douce descente dans les abimes de la folie en y impliquant le spectateur...
Parfois même ras les pâquerettes.Jack Griffin a écrit :[...]La manière dont le film se déroule ne ressemble pas à du King (bien que je ne connaisse pas très bien les livres de cet ecrivain ça me semble être plus terre à terre).
Parfois oui. Mais dans la plupart des cas, pas du tout.harry callahan a écrit :Parfois même ras les pâquerettes.Jack Griffin a écrit :[...]La manière dont le film se déroule ne ressemble pas à du King (bien que je ne connaisse pas très bien les livres de cet ecrivain ça me semble être plus terre à terre).
Non, je suis d'accord avec toi. Cronenberg ou Lynch (peut-être même plus Cronenberg que Lynch pour le côté organique grouillant cher à Lovecraft) seraient d'excellent adaptateurs... d'ailleurs, si ils écoutent...Niron a écrit : Le Cronenberg de Naked Lunch serait à mon sens aussi un excellent adaptateur de Lovecraft avec Lynch... Dans Lovecraft ce qui est important dans l'évolution du personnage principal, c'est sa douce descente dans les abimes de la folie en y impliquant le spectateur... Chose que l'on retrouve justement fort bien chez Lynch (of course) et dans Cronenberg pour ce qui est du Festin nu
Mais bon... J'avou ceci est un vieux débat
Ou plutôt, s'ils lisentgnome a écrit :Non, je suis d'accord avec toi. Cronenberg ou Lynch (peut-être même plus Cronenberg que Lynch pour le côté organique grouillant cher à Lovecraft) seraient d'excellent adaptateurs... d'ailleurs, si ils écoutent...Niron a écrit : Le Cronenberg de Naked Lunch serait à mon sens aussi un excellent adaptateur de Lovecraft avec Lynch... Dans Lovecraft ce qui est important dans l'évolution du personnage principal, c'est sa douce descente dans les abimes de la folie en y impliquant le spectateur... Chose que l'on retrouve justement fort bien chez Lynch (of course) et dans Cronenberg pour ce qui est du Festin nu
Mais bon... J'avou ceci est un vieux débat
A la différence près que nous ne nous identifions pas à la folie du protagoniste... Il y a une différence énorme pour moi entre la mise en abime d'un Cronenberg ou d'un Lynch et celle d'un Carpenter. Les 2 premiers sont capables d'exprimer "l'indicible" si cher et primordial de Lovecraft alors que Big John, ce n'est pas son truc.Colqhoun a écrit :C'est précisemment ce que fait Carpenter ici.Niron a écrit :Dans Lovecraft ce qui est important dans l'évolution du personnage principal, c'est sa douce descente dans les abimes de la folie en y impliquant le spectateur...
Niron a écrit :A la différence près que je ne m'identifie pas à la folie du protagoniste...Colqhoun a écrit :C'est précisemment ce que fait Carpenter ici.
Et ça sous-entend quoi, ça ? J'ai peur de comprendre.Niron a écrit :Si tu y arrives chapeau... J'aimerais être aussi bon public pour apprécier plus de films