Classement des sorties VOD/DTV/Cinéma 2021 [clos]

[Nestor Almendros]

First Cow : 7/10

[Alexandre Angel]

Aline (Valérie Lemercier) : 8/10

[Karras]

Mise à jour du classement :

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ils leur manquent une note ...

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L’Exorciste selon William Friedkin
Demon Slayer - Kimetsu no Yaiba - Le film : Le train de l'infini
Voyagers
Balloon
Détour Mortel : La Fondation (Wrong turn)
16 printemps
Ibrahim
Février
La Fille au Ventre Rond (Kuessipan)
Journal de Tûoa
Jolt
Ice Road
Locked Down
Baby Boss 2 : une affaire de famille
Délicieux
Le Genou d’Ahed
Sans Signe Particulier
La Voix d'Aida
Eugénie Grandet
Freda
Army of Thieves
Willy's Wonderland
The Harder They Fall
Burning Casablanca (Zanka contact)
Aline
The Card Counter
Finch

[cinéfile]

Madres Paralelas 6,5/10

[harry]

Shadow in the Cloud : 4.5/10
Pendant 40mn de film, je me suis demandé ce qui valait à ce film ces moyennes de 4.8/10 sur IMDb, tant je trouvais cette première moitié très bien foutue, prenante, mystérieuse et jouant habilement avec les limitations de son procédé (mise en scène inventive couplée à une excellente ambiance sonore, que ce soit le score ou les sons en eux-mêmes).
Et puis arrive une révélation dont je me serais bien passé, et qui devient l'élément déclencheur d'une suite de péripéties toutes plus stupides et absurdes les unes que les autres, dans une volonté tellement abusive de transformer son personnage principal en héroïne badass, que ça en devient franchement ridicule à la longue.
Je pensais voir un film de genre rigolo, mêlant dans un joyeux 1er degré la SF, le film de guerre et le film de monstres ; et je me suis retrouvé face à un énième film à message, ce que le générique de fin ne fait que bêtement confirmer.
Un beau gâchis.

Vu ce week end et je confirme, déception par rapport a ce que ca promettait au début.

Ca commençait pourtant bien, le huis clos dans la tourelle accompagné de la dimension fantastique du gremlin marchait et renvoyait a un mix plutôt sympa entre le pilote de Amazing Stories: La mascotte et l'épisode de Twilight Zone: Cauchemar a 20000 pieds.
Puis au fur et a mesure ca s'effondre, comme dit plus haut une révélation qui tombe comme une couille dans le potage, enchainement de situations complètement improbables (la varappe sur la carlingue du B17, héroïne "pare balles") , arrive le dernier acte et la, c'est le crash, on finit en tracte féministe 3.5 ou la fille se transforme en Wonder Woman/Lara Croft et ou tout les persos masculins sont des lavettes incapables et/ou bien des turbo connards (sauf le perso black, of course).
Arrive le générique et le nom de Max Landis, et la tout a fait sens.

[Addis-Abeba]

-Shang-Chi et la Légende des Dix Anneaux:

Des enjeux scénaristique un peu plus important que d'habitude, ce qui n'est pas un exploit, la barre n'étant pas très haute chez les Marvel.
Des Vfx plutôt réussis, et je me suis pas spécialement ennuyé, c'est le principal.
Néanmoins ca ne casse pas non plus trois pattes à un canard: le casting faible (hormis Tony Leung) et la musique insipide n'aident pas à en faire plus qu'un aimable divertissement.


5/10

[zemat]

LES ÉTERNELS : 7/10
J’y allais un peu sur mes gardes vu la durée et les critiques assez mitigées, mais finalement les 2h30 passent plutôt bien (à part une séquence d’explication assez longuette dans le dernier tiers). Beaucoup aimé le casting très varié et le scénario, l’évolution des personnages est aussi plaisante.
En bémol viennent les 2 scènes post-générique tentant d’introduire des nouveaux personnages avec un chausse-pieds...

Sur C+ dans leur case inédits :
NO SUDDEN MOVE : 3,5/10
Gros casting mais scénario se croyant plus malin que le spectateur, c'est très vite pénible et formellement hyper laid :

The noticeably distorted shots throughout the film are the results of Steven Soderbergh placing wider Kowa Anamorphic lenses, which already have considerable barrel distortion on their own, on a large Vista Vision-sized digital sensor that's 1.5x the size of the format they were initially designed for, as he wanted to replicate the imperfect lens characteristics and look of the early anamorphic lenses from the era the film takes place in. In fact, the film has the unusual aspect ratio of 2.16:1 because it was initially planned to be framed in the more traditional 2.40:1 anamorphic ratio, but the barrel distortion on some of those shots ended up being so distracting that he re-framed the entire movie to the taller frame to make it less noticeable.

[-magik-]

Lamb (sortie le 29/12) : 5/10
Onoda, 10000 nuits dans la jungle : 7/10

[Addis-Abeba]

-Spirale : L'Héritage de Saw:

Un épisode de plus qui n'apporte rien à la saga.
L'enquête n'est pas des plus palpitante, mais heureusement, et c'est primordial les meurtres sont très réussis.
Chris Rock est toujours aussi mauvais, et Samuel Jackson toujours aussi bon...
Et divine surprise Droopy Max Minghella (coucou La servante écarlate) apporte un peu de nuance à son jeu, mais alors juste un peu.

3/10

[poet77]

Tre Piani: 8/10

[Phnom&Penh]

Aline 8,5/10
La fracture 7/10

[Nestor Almendros]

Comment je suis devenu super-héros : 6/10

[Supfiction]

Compartiment n°6 : 7 / 10
Une agréable histoire d'amour russo-finlandaise. Le réalisateur filme avec talent "l'âme russe"

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J’ai cru un moment à une sorte de Before Sunrise russo-finlandais mais le film ne semble qu’à l’état d’ébauche et les scènes hors du train assez plates. Dommage parce qu’une certaine nostalgie de voyages voyages en train dans les années 80 m’avait pris.

Compartiment n°6 : 6 / 10

[Nestor Almendros]

Albatros : 6/10

[Roilo Pintu]

Aline - Valérie Lemercier : 8/10
Pour sa libre interprétation du biopic de Céline Dion, Valérie Lemercier se permet de tordre un peu la vérité, choisit l’admiration et le respect de la chanteuse, avec humour et bienveillance, en insistant sur la solidité d’une histoire d’amour et d’une grande famille. Malgré quelques longueurs, le résultat est surprenant et exaltant. Valérie Lemercier est à la fois touchante et impressionnante dans l’intime ou dans sa présence scénique. Une belle déclaration d’amour qui fonctionne un peu en miroir. Le plaisir pris par Valérie Lemercier est communicatif se ressent à chaque minute, le film se distingue aussi grâce aux performances remarquables des acteurs québecois.
Excellente surprise !