Dvdclassik : cinéma et DVD

AtCloseRange a écrit :

7swans a écrit :
Tu parles de quels films?

http://www.imdb.com/title/tt0083041/
http://www.imdb.com/title/tt0084268/

C'est bien ce que je pensais.
Lookin' to Get Out, personne ne l'a vu, sauf moi il faut croire. Et c'est un très bon film.
Ashby pensait qu'il s'agissait sans doute de son meilleur, d'ailleurs (ce qui ne veut pas dire grand chose, j'en conviens...).
ça n'a, en tout cas, rien à voir avec un travail de "faiseur", c'est du typique Ashby.

J'en parlais là : http://www.dvdclassik.com/forum/viewtop ... 2#p1874172

Voilà qui donne envie, je me mets en chasse

7swans a écrit :

AtCloseRange a écrit : http://www.imdb.com/title/tt0083041/
http://www.imdb.com/title/tt0084268/

C'est bien ce que je pensais.
Lookin' to Get Out, personne ne l'a vu, sauf moi il faut croire. Et c'est un très bon film.
Ashby pensait qu'il s'agissait sans doute de son meilleur, d'ailleurs (ce qui ne veut pas dire grand chose, j'en conviens...).
ça n'a, en tout cas, rien à voir avec un travail de "faiseur", c'est du typique Ashby.

J'en parlais là : http://www.dvdclassik.com/forum/viewtop ... 2#p1874172

Ah mais j'ai pas dit que c'était pas bien. J'avais bien mis Ashby à part dans ma liste mais indépendamment de ça, c'est un peu comme si tout à coup le prochain James Gray, Wes Anderson, tout le monde s'en fichait. c'est un changement de "statut" instantané. ça reste étrange.
EDIT: je te le pique à l'occasion

Le changement est avant tout politique non ? Et donc par la suite un changement de mentalité.
L'Amérique reagannienne n'a plus grand chose à voir avec la décennie précédente.

AtCloseRange a écrit :

7swans a écrit :
C'est bien ce que je pensais.
Lookin' to Get Out, personne ne l'a vu, sauf moi il faut croire. Et c'est un très bon film.
Ashby pensait qu'il s'agissait sans doute de son meilleur, d'ailleurs (ce qui ne veut pas dire grand chose, j'en conviens...).
ça n'a, en tout cas, rien à voir avec un travail de "faiseur", c'est du typique Ashby.

J'en parlais là : http://www.dvdclassik.com/forum/viewtop ... 2#p1874172

Ah mais j'ai pas dit que c'était pas bien. J'avais bien mis Ashby à part dans ma liste mais indépendamment de ça, c'est un peu comme si tout à coup le prochain James Gray, Wes Anderson, tout le monde s'en fichait. c'est un changement de "statut" instantané. ça reste étrange.
EDIT: je te le pique à l'occasion

Tu le mettais à la marge d'un groupe de réalisateurs qui "ont tous fini en simples faiseurs dans les années 80".
Je précise donc que, si ses films ne s'inscrivaient plus dans l'air du temps et ne correspondaient plus aux goûts du public des années 80, il n'a (de ce que j'en ai vu) jamais joué le jeux de studios pour livrer des films sans personnalité. C'est très cynique, mais le pauvre est sans doute mort avant d'en avoir eu l'occasion.

A vrai dire, je lui aurais plutôt imaginé une carrière à la Bogdanovich. Des films de plus en plus ratés, faits avec les moyens du bord. Revenant par vague et retrouvant par moment les faveurs d'un public très ciblé.

PS : Je te file le DVD la prochaine fois, ouais.

Père Jules a écrit :

Quant à moi, après Joe de Avildsen, c'est au tour de Meurtres sous contrôle, mon premier Larry Cohen, de prendre la tête.
C'est imparfait, pas toujours très maitrisé, mais ça respire l'authenticité. J'ai beaucoup aimé (coucou ACR).

Ce n'est pas Ashby qui a changé, mais l'environnement de l'industrie dans lequel il travaillait, c'est-à-dire les studios. Il n'est d'ailleurs pas le seul réalisateur pour qui la fin du Nouvel Hollywood a aussi sonné la fin (ou presque) d'une carrière prolifique et qui n'a pas su ou pas voulu s'adapter aux nouvelles demandes des studios (qui voulaient produire d'autres genres de projets). Le nombre de réalisateurs dans ce cas laisse donc penser que le changement venait de l'industrie et non pas de la disparition soudaine du talent de ces réalisateurs.

G.T.O a écrit :

Père Jules a écrit :

Quant à moi, après Joe de Avildsen, c'est au tour de Meurtres sous contrôle, mon premier Larry Cohen, de prendre la tête.
C'est imparfait, pas toujours très maitrisé, mais ça respire l'authenticité. J'ai beaucoup aimé (coucou ACR).

Bravo Père Jules ! C'est l'un des chef-d'oeuvre de Larry Cohen.
Un film extrêmement troublant sur le fanatisme religieux, relecture messianique bien giclée, mise en scène de manière directe, quasi documentaire. Superbe final.

C'est là qu'on en parle et que j'en dis du mal
http://www.dvdclassik.com/forum/viewtop ... ilit=cohen

Anorya a écrit :

Demi-Lune a écrit :
FILMS REVUS

• • Le voyage de Chihiro (Hayao Miyazaki, 2001)
  • Le château ambulant (Hayao Miyazaki, 2004)
  • Paprika (Satoshi Kon, 2006)
  • Mon voisin Totoro (Hayao Miyazaki, 1988)

Et pendant ce temps là, Demi-Lune fête les 75 ans d'Hayao Miyazaki.

La note de Totoro me fait mal... Même si ce n'est pas une mauvaise note.

k-chan a écrit :

Anorya a écrit :
Et pendant ce temps là, Demi-Lune fête les 75 ans d'Hayao Miyazaki.

La note de Totoro me fait mal... Même si ce n'est pas une mauvaise note.

Je relativise quand même, je suppose qu'il profite du Gaumont fauvettes, mon nouveau ciné préféré sur Paris, et ça, ça me fait plaisir perso.
Après j'ai pas revu Totoro depuis plus de 15 ans donc bon...

7swans a écrit :PS : Je te file le DVD la prochaine fois, ouais.

Ah ben il a de la chance, lui.
Pour en revenir à Ashby, son cas est énormément abordé dans le bouquin de Biskind, et le mec n'avait pas l'air hyper simple à gérer. Ce qui peut (en partie) peut-être expliquer cela...

Ratatouille a écrit :

7swans a écrit :PS : Je te file le DVD la prochaine fois, ouais.

Ah ben il a de la chance, lui.
Pour en revenir à Ashby, son cas est énormément abordé dans le bouquin de Biskind, et le mec n'avait pas l'air hyper simple à gérer. Ce qui peut (en partie) peut-être expliquer cela...

Tout ça donne surtout envie d'acheter la bio du grand Hal :



ça me titille depuis sa sortie. Et en plus c'est écrit par Dawson Leery.

Mais tu feras gaffe, c'est la bio de Nick Nolte là je crois.

Premier prétendant :



La beauté du diable (1950) de René Clair

Nous nous sommes tant aimés d'Ettore Scola est mon premier gros coup de coeur de ce début d'année.