Dvdclassik : cinéma et DVD

Je viens de voir le remake et j'ai bien aimé

Rick Blaine a écrit :

Jeremy Fox a écrit :Premier prétendant avec le superbe et désespéré Le Flambeur de Karel Reisz

J'étais presque certain que tu aimerais mais tout de même, ça fait plaisir !

Après avoir vu et adoré La maîtresse du lieutenant français de Reisz, ça attise ma curiosité dis donc !

Je me demande s'il ne recueille pas tous les suffrages jusqu'à présent sur le forum...

Rockatansky a écrit :Le fantome de Sarah Williams - Keith Gordon - 7/10

Comme disait le slogan de "Midnight Express" "l"important est de ne jamais désespérer"

Encore une preuve de mon impartialité

Il est un peu tôt pour fixer le film du mois, mais la totale redécouverte du film de Boorman hier (je n'en avais que quelques souvenirs) m'a laissé sans voix Une splendeur :

gnome a écrit :Il est un peu tôt pour fixer le film du mois, mais la totale redécouverte du film de Boorman hier (je n'en avais que quelques souvenirs) m'a laissé sans voix Une splendeur :

Il m'est arrivé la même chose voici quelques mois alors que j'en avais un souvenir mitigé de sa découverte en salles. C'est désormais mon Boorman préféré.

C'est encourageant vos commentaires parce que pas plus tard que hier je me suis souvenu que j'avais le dvd depuis belle lurette et qu'il me faudrait revoir ce Boorman dont le dernier visionnage doit remonter à une vingtaine d'années.

Très probable film du mois et l'impression que Chandor s'améliore et m'impressionne plus à chaque nouveau film :



A Most Violent Year de J.C. Chandor

Il y aurait beaucoup à dire, mais j'en retiens surtout deux choses : Oscar Isaac magnétique et la mise en scène de Chandor (bluffé par sa précision, encore plus que dans All Is Lost).

(A la bourre, pour pas changer.)

janvier 2015 : predestination (michael & peter spierig, 2014)
février 2015 : spacked out (lawrence ah mon, 2000)
mars 2015 : le joueur d'échecs (jean drèville, 1938)
avril 2015 : woman on the run (norman foster, 1950)
mai 2015 : mad max: fury road (george miller, 2015)
juin 2015 : ornamental hairpin (hiroshi shimizu, 1941)
juillet 2015 : voici le temps des assassins (julien duvivier, 1956)
août 2015 : wake in fright (ted kotcheff, 1971)
septembre 2015 : le vieil homme et l'enfant (claude berri, 1967)
octobre 2015 : the friends of eddie coyle (peter yates, 1973)
novembre 2015 : le conte de la princesse kaguya (isao takahata, 2013)
décembre 2015 : the emperor's naked army marches on (kazuo hara, 1987)

Ce qui donne :

Film de l'année
le vieil homme et l'enfant (claude berri, 1967)

puis :

2. wake in fright (ted kotcheff, 1971)
3. ornamental hairpin (hiroshi shimizu, 1941)
4. the emperor's naked army marches on (kazuo hara, 1987)
5. le conte de la princesse kaguya (isao takahata, 2013)

6. the friends of eddie coyle (peter yates, 1973)
7. mad max: fury road (george miller, 2015)
8. voici le temps des assassins (julien duvivier, 1956)
9. woman on the run (norman foster, 1950)
10. spacked out (lawrence ah mon, 2000)
11. le joueur d'échecs (jean drèville, 1938)
12. predestination (michael & peter spierig, 2014)

(Plus qu'à fait le récapitulatif des découvertes naphta & contemporaines...)

Jeremy Fox a écrit :Premier prétendant avec le superbe et désespéré Le Flambeur de Karel Reisz

Mon cœur balance entre le film de Karel Reisz et le 4ème Doinel/Truffaut. A moins qu'un autre film ne vienne stopper ce dilemme d'ici la fin du mois. Bref, une année 2016 qui commence plutôt bien.

Quant à moi, après Joe de Avildsen, c'est au tour de Meurtres sous contrôle, mon premier Larry Cohen, de prendre la tête.
C'est imparfait, pas toujours très maitrisé, mais ça respire l'authenticité. J'ai beaucoup aimé (coucou ACR).

Jeremy Fox a écrit : Mon cœur balance entre le film de Karel Reisz et le 4ème Doinel/Truffaut. A moins qu'un autre film ne vienne stopper ce dilemme d'ici la fin du mois. Bref, une année 2016 qui commence plutôt bien.

Persuadé que tu le connaissais déjà. C'est délicieux.

Oui je l'avais déjà vu mais je ne devais vraiment pas être en état. Je le trouve désormais bien plus rigoureux et maitrisé que Baisers volés et l'alchimie qui s'opère entre la délicieuse Claude Jade et le génial Léaud est assez étonnante. Et puis ces hommages à Renoir, Tati, ces dialogues, ces acteurs, cette fantaisie, ce réalisme... J'adore !

Je redécouvre vraiment Truffaut depuis l'année dernière (le déclencheur de cette réévaluation a été La Nuit américaine que j'ai adoré au point d'en faire mon film naphta 2014) ; le seul sur le quel je continue de bloquer est Jules et Jim ; mais là je pense que je n'y arriverais jamais tellement il m'agace. Je regarde dans le courant du mois les deux anglaises...