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Re: Notez les films d'aujourd'hui

Publié : 30 nov. 15, 15:53
par Kevin95
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STREET OF NO RETURN (Samuel Fuller, 1989) Découverte

Prends ça dans les dents Politique des auteurs. Définition du dictionnaire des cinéphiles : Samuel Fuller est un génial cinéaste américain (clairement) responsable d'une poignée de chef d’œuvres (indiscutablement). Seulement ici... on sort le joker. Adaptation sinistre de David Goodis, esthétique de téléfilm allemand, doublage de sitcom (alors qu'à priori tous les acteurs parlent anglais) et musique bontempi qui dégouterait un ascenseur. On a beau être en 1989, la bête fait mal aux yeux et beaucoup de peine. En Europe, le réalisateur n'est pas dans son élément (faut bien se trouver des excuses) et semble ici tourner pour ne pas s'emmerder dans sa chambre d’hôtel. A découper au ciseau dans la filmo de Fuller. 3/10

Re: Notez les films d'aujourd'hui

Publié : 30 nov. 15, 23:45
par Kevin95
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PIZZAIOLO ET MOZZAREL (Christian Gion, 1985) Découverte

Le film n'a même pas commencé depuis cinq minutes que Marthe Villalonga imite l'accent italien sans se défaire de son accent pied-noir (cocktail fort en bouche) et Aldo chante une chanson à la gloire de la pizza... c'est bon d'être au chaud dans le nanar. Christian Gion (après le criminel J'ai rencontré le Père Noël) retourne à la comédie qui tâche, doute de rien et reprend la trame de The Great Dictator (pardon cinéma) pour laisser notre Aldo boudiné faire le show. Sidney (h-i-p h-o-p) apporte un peu de fraicheur mais n'apparait qu'un quart d'heure, ombragé par un Maccione en fureur dans une partition de dictateur aussi vulgaire que fendard (fan inside). Le pire c'est que sa connerie de chanson reste en tête (tra la la la pizza). 7,5/10

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INSTITUTE BENJAMENTA (Stephen Quay et Timothy Quay, 1995) Découverte

Visuellement c'est divin. Complétement camé à l’expressionnisme allemand, la mise en scène propose une valise d'images de toute beauté, une lumière sortie de nulle part et certains photogrammes du film peuvent en l'état être exposé dans un musée. Sur une demi-heure, l'affaire aurait été réglée (et applaudie) mais ici, le métrage fait près de deux heures. Dès lors, les réalisateurs comblent, meublent, complexifient au mieux ou embrouillent au pire. Si Eraserhead est une référence évidente, le film de Lynch - à contrario du film des Quay - distille un malaise et un humour qui non seulement captivent mais marquent durablement. Ici c'est très sérieux, très beau et très chiant. 4,5/10

Re: Notez les films d'aujourd'hui

Publié : 2 déc. 15, 06:26
par Jeremy Fox
Star Wars II : L'attaque des clones : George Lucas 2002

Un peu plus joli esthétiquement parlant que La Menace fantome mais guère moins ennuyeux. Entre deux bâillements on se prend à trouver le thème d'amour de John Williams très émouvant, Natalie Portman très mignonne et quelques situations politiques très actuelles mais franchement le fait de revoir ces films avant la sortie du dernier volet m'incite de moins en moins à me déplacer à aller le voir. On va dire que J.J. Abrams arrivera au moins peut-être à lui insuffler une dynamique un peu moins mollassonne et aura su choisir des comédiens plus convaincants.

Re: Notez les films d'aujourd'hui

Publié : 10 déc. 15, 00:41
par Kevin95
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THE DEPARTED (Martin Scorsese, 2006) Révision

Le cas Cape Fear bis repetita. L'original a beau être malin et bien foutu, Scorsese reprend le dossier avec maestria, lui insuffle un gout de cinéma plus fort en bouche et la sensation cruelle (mais jouissive) que rien n'a existé avant son bébé. Là où le film d' Andrew Lau et Alan Mak se présentait comme un polar très (trop) content de son pitch et bourré d'effets de style, son remake en offre une vision plus adulte, plus touchante (les personnages, secondaires notamment, ont une réelle présence), plus vive... (on peut aligner les adjectifs indéfiniment). Un problème avec votre film ? Envie d'un coup de peps ? Prenez rendez-vous avec Marty, il serait capable de rendre ultime un remake de L'Opération Corned-Beef. 9,5/10

Re: Notez les films d'aujourd'hui

Publié : 10 déc. 15, 16:42
par Kevin95
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LIVE WIRE (Christian Duguay, 1992) Découverte

Bruce Willisploitation du début des 90's. Die Hard est évidemment dans le collimateur avec terroristes inquiétants et leur formule qui fait exploser tout consommateur d'eau (idée conne mais fun) face à un flic désabusé donc mal rasé en la présence du pas encore James Bond Pierce Brosnan. L'introduction mise à part (Brosnan désamorce une bombe entre les jambes d'une fille, c'est beauf mais pourquoi pas) le film se prend terriblement au sérieux (voir l'insupportable intrigue secondaire autour du couple), rame dans ses scènes d'action et ne fait rien du génial Ron Silver (hormis l'affubler d'une coupe de cheveux ridicule). Pas nul, mais inodore. Next ! 5,5/10

Re: Notez les films d'aujourd'hui

Publié : 13 déc. 15, 16:39
par Kevin95
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THE SNIPER (Dante Lam, 2009) Découverte

Allons-y Alonzo carrément, c'est une merde. Esthétique de clip de RnB (genre petit blanc pas certain de sa sexualité, choisissez qui vous voulez), apologie de la masculinité (hum hum) et de l'armée, comédiens invisibles, caméra trop visible, Michael Bay en référence... je m’arrête là sinon je vais devenir méchant. Les poses ultra gay peuvent faire sourire trois secondes (surtout que les héros "badass" se regardent constamment le boule, torse poil, en sueur, bon appétit) mais à la quatrième seconde on demande remboursement. C'est gentil d'importer des films venus d'Asie, mais faut-il vraiment TOUT importer ? Ce n'est pas comme si on manquait de purges. 1/10

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HURLYBURLY (Anthony Drazan, 1998) Découverte

Private joke the movie. C'est bien gentil de rentrer dans le lard de la haute société hollywoodienne, s'il n'y a quelle pour comprendre les allusions c'est comme qui dirait pisser dans un violon (c'est très haute société ça d'ailleurs). Que raconte le film ? C'est The Player en arty, l'humour est crypté pour qui n'a jamais bossé dans une boite de production US ou vécu dans cet Hollywood Babylone tandis que la caméra à la tremblotte pour illustrer "l'instabilité des modes de vie et des sentiments dans un univers capitaliste et froid" (traduction : pour faire le malin). Quel gâchis de voir Sean Penn se donner à fond et faire en sorte qu'on ne quitte pas le film avant la fin. 4/10

Re: Notez les films d'aujourd'hui

Publié : 13 déc. 15, 16:47
par Rockatansky
Kevin95 a écrit :Image

THE SNIPER (Dante Lam, 2009) Découverte

Allons-y Alonzo carrément, c'est une merde. Esthétique de clip de RnB (genre petit blanc pas certain de sa sexualité, choisissez qui vous voulez), apologie de la masculinité (hum hum) et de l'armée, comédiens invisibles, caméra trop visible, Michael Bay en référence... je m’arrête là sinon je vais devenir méchant. Les poses ultra gay peuvent faire sourire trois secondes (surtout que les héros "badass" se regardent constamment le boule, torse poil, en sueur, bon appétit) mais à la quatrième seconde on demande remboursement. C'est gentil d'importer des films venus d'Asie, mais faut-il vraiment TOUT importer ? Ce n'est pas comme si on manquait de purges. 1/10
un film batard totalement remonté à la suite du scandale Edison Chen, le challenge était quand même balaise, faire quasiment disparaitre Edison alors qu'il avait le rôle principal, Dante Lam y arrive presque, mais le film est totalement décousu, notamment dans les 20 premières minutes, où l'on ne sait pas vraiment ce qu'on regarde, après ça va mieux les personnage se mette en place, mais c'est assez marrant de voir réapparaitre EC à la toute fin en héros alors qu'on ne l'a quasi pas vu du film C'est clairement pas son meilleur film.

Re: Notez les films d'aujourd'hui

Publié : 13 déc. 15, 16:51
par Kevin95
Pour être honnête, j'ai stoppé les frais au bout d'une heure de métrage. On a qu'une vie.

Re: Notez les films d'aujourd'hui

Publié : 14 déc. 15, 01:09
par Kevin95
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PAST MIDNIGHT (Jan Eliasberg, 1991) Découverte

Thriller classique de la donzelle qui ne sait pas si son bonhomme est mignon tout plein ou le pire des enflures. La téléaste Jan Eliasberg ne dépasse jamais le cadre de la mise en scène fonctionnelle, pro mais sans relief. Les comédiens sont de leur coté tous excellents, Rutger Hauer évidemment en personnage flippant ou Natasha Richardson, convaincante en clone de Clarice Starling. L'ambiance (lourde et pluvieuse) est palpable, malgré quelques coups de mou le film tient sur la longueur. Dommage que tout ceci se termine sur une résolution grossière avec retournement de situation foireuse et coups de poing dans la gueule. Sage mais pas désagréable, le plus étonnant est la présence au titre de co-producteur d'un certain Quentin Tarantino. 6/10

Re: Notez les films d'aujourd'hui

Publié : 14 déc. 15, 13:58
par Anorya
Space adventure Cobra (Cobra, le film - Osamu Dezaki - 1982)

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Au fin fond de l’univers, alors que des gouvernements corrompus opèrent pour le compte de syndicats du crime, la Fédération de la justice des galaxies unies met à prix la tête des criminels les plus endurcis. Supposé mort depuis deux ans, Cobra, un pirate insaisissable dont le bras gauche cache un incroyable psycho-pistolet, décide de revenir à l’action, une décision qui le met en conflit direct avec la Guilde galactique, une organisation criminelle menée par Lord Nekron. Cobra devra utiliser toutes ses ressources et toute son habileté pour délivrer les deux soeurs de la magnifique June, une chasseuse de prime, et sauver la planète Myras. Mais Nekron n’est jamais loin derrière notre héros…

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Sortis pratiquement en même temps que la série éponyme, le film de Cobra peut très bien se présenter comme un digest de celle-ci à faire grincer les dents des fans, je m'en contrefous comme pas possible au vu du résultat où la forme dépasse clairement le fond. Mes souvenirs de la série restent parcellaires et vagues, je l'avais empruntée en intégrale à un ami en VHS en même temps que Cowboy Bebop et Twin Peaks. C'était le collège et toutefois l'admiration pour l'aventurier qu'est Cobra, gouailleur comme un Belmondo blond, mâtiné d'un indispensable cigare que, coolitude aidant, on allume même sous l'eau, éclatait au grand jour. Vu la date de création du manga de Buichi Terasawa puis de la série et du film --le film est de Osamu Dezuki au passage, merci la vieille jaquette trompeuse--, on peut clairement affirmer que depuis, le personnage, intrépide mais jouant fréquemment la carte de l'inconscience, s'est élevé en archétype et donné naissance depuis à des frères éloignés en animation qui vont du fabuleux (Spike de Cowboy Bebop) au passable. Et du coup le rapport avec la série la même année ?

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Le film reprend une poignée de personnages étalés sur les 32 épisodes de la série originale dont Lord Nekron (alias L'homme de verre, voire L'homme doré), remixe le tout en une histoire où fleure bon une certaine mystique spatiale à travers une quête romantique et volontiers tragique sans épiloguer plus sur les mystères qui tournent autour de Cobra (Pourquoi s'être fait passer pour mort ? Pourquoi un changement de visage ?) et lancer le tout comme un cheval fou. Et clairement au vu de l'esthétique générale du film, on se fiche finalement bien de l'histoire tellement l'oeil se nourrit de chaque plan ou idée folle qui vient constamment nourrir l'écran.

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Clairement, Space adventure Cobra navigue constamment entre le kitsch et le sublime et assume totalement le tout sur tous les tableaux ce qui ne fait que renforcer la classe de ce qu'on peut pratiquement nommer un grand film malade. Les plans ? Composé souvent comme des tableaux, quitte à s'écarter complètement de l'histoire (le générique d'ouverture du film) et délivrer quelques moments et visions presque anthologiques (l'hibernation de Cobra, le combat au lever du soleil sur la glace, la rencontre entre June et Catherine, l'ouverture avec le cinglé qui rit comme s'il allait bouffer des planètes...). Les vaisseaux ? On dirait que Chris Foss a bossé sur le film. La musique ? Signée Yello donc oscillant entre la soupe ignoble pas possible au synthé et parfois quelques moments de grâce, curieusement. Les personnages ? Des personnages féminins superbes avec toujours une pointe d'érotisme et un méchant aux yeux rouge qui, s'il écrase d'un coup par sa prestance un certain démon venu de chez Michael Mann et se rapproche de l'implacabilité indestructible d'un terminator, s'en trouve pourtant honteusement sacrifié dans l'histoire (visuellement, il est donc entre le ridicule et le malsain, curieuse impression).

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Au final le film de Cobra s'impose comme une curiosité, une gourmandise dont peuvent raffoler les fanas de SF, les mordus d'animation et les curieux de flashs visuels. C'est au fond réjouissant de voir une oeuvre aussi "autre" qui s'en fiche de plaire à tout prix sauf pour les fans. La première édition DVD chez Pathé est, à l'instar d'autres éditions DVD de cette époque, complètement sacrifiée (image terne ici, dégueulasse sur l'ancienne édition des Ailes d'Honneamise par exemple. Ici c'est le générique d'ouverture qui s'en trouve masqué par d'énormes cartons casse-couilles, VF avec doubleurs originels de la série certes mais parfois noyée dans les effets --je me suis demandé si je devais pas passer à la version anglaise avec sous-titres français à plusieurs moments). Le film est ressorti remastérisé en mai 2015 chez Kaze (alias l'éditeur "On va vous bouffer tout votre poignon avec des éditions ultra onéreuses si ça vous dérange pas"), je ne sais pas ce que ça donne mais déjà que là, même avec des couleurs ternes ça envoie le pâté, j'ose penser que ça doit être encore mieux : donc encore plus sublime... et plus kitsch. :mrgreen: :D

Re: Notez les films d'aujourd'hui

Publié : 15 déc. 15, 16:00
par Kevin95
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BRONSON (Nicolas Winding Refn, 2008) Découverte

Passeport de Nicolas Winding Refn pour un cinéma plus imposant. Du coup, il profite de ce vrai-faux biopic pour montrer ses biceps et sa matière grise. L'exercice est d'emblée parasité par des références on ne peut plus écrasantes (Kubrick et Scorsese), par un parti-pris formel cliquant, de la mise en scène très m'as-tu-vu (l'esprit Trainspotting) aux coutures apparentes du jeu de Tom Hardy. La forme lasse mais le fond revigore et donne une réelle personnalité au film. Ode aux fouteurs de merdes et autres empêcheurs de tourner en rond, le métrage trouve son intérêt dans la personnalité même de son sujet, lequel pardonne sans mal les caprices de son metteur en scène. 7,5/10

Re: Notez les films d'aujourd'hui

Publié : 16 déc. 15, 00:22
par Kevin95
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AU NOM DE TOUS LES MIENS (Robert Enrico, 1983) Découverte

Robert Enrico ressort Le Vieux Fusil. Pris d'une ambition démesurée (comme Claude Lelouch à la même époque), le réalisateur s'offre la fresque qui en impose et convoque la démesure d'un David Lean (tiens, y'a Maurice Jarre à la musique !). Le résultat est convenu, propre sur lui et destiné à plaire. La première partie sur les camps d'extermination est la plus dangereuse, Enrico ne s’embarrasse d'aucune question éthique et filme ça classiquement (avec le gros plan sur une larme, histoire de bien faire comprendre). La deuxième partie (la libération et l'après) est bien plus fréquentable, presque honorable. Reste à savoir si ce film correcte se trouve grandi dans sa version télé de près de sept heures. 7,5/10

Re: Notez les films d'aujourd'hui

Publié : 17 déc. 15, 16:01
par Kevin95
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VIVE LA SOCIALE ! (Gérard Mordillat, 1983) Découverte

Comédie nostalgique sur une enfance passée au sein d'une famille communiste français (Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des parents communistes avant l'heure) et portait doux-amer d'un trentenaire ne sachant quoi faire de sa carcasse. Pour son premier film, l'écrivain sort les bonnes cartes, axe le film sur ses souvenirs de jeunesse et prend comme référent le cinéma de François Truffaut (les films du cycle Antoine Doinel). Dommage que Mordillat en fasse un peu trop, que certaines idées soit à ce point sur-employées et/ou surlignées comme pour légitimer son passage derrière la caméra. Malgré son coffre sur-chargé et son rythme de route peu assuré, le film roule plutôt bien grâce à son énergie sans plomb. 7,5/10

Re: Notez les films d'aujourd'hui

Publié : 19 déc. 15, 22:43
par cinéfile
Jade (William Friedkin, 1995)

Ce film mal-aimé constitue pour moi une bonne surpise. Malgré un scénario tout à fait bâteau de Esterhaz (qui nous ressert ici une bonne grosse louche bien filandreuse en poils pubiens de son Basic Instinct), tout cela se suit vraiment bien grâce au savoir faire de Friedkin. Ce dernier parvient à insuffler un petit soupçon de trouble, et surtout, de belle qualité d'atmosphère à l'ensemble (ah cette fameuse patine 90's que je remets souvent sur le tapis). Point d'orgue : la séquence centrale de poursuite en voiture dans un Chinatown bondé où le cinéaste montre, une nouvelle fois, son aisance dans l'exercice. Interprétation pas mal du trio principal. Sincèrement, je trouve la prestation de David Caruso assez intéressante en dépit des nombreux commentaires négatives glanés ici et là. Il tournera en cette année 1995 deux films en tant qu'acteur principal : Jade donc, mais aussi le remake de Kiss of Death réalisé par Schroeder sans que cela lance réellement sa carrière au cinéma.

Le tout dure 90 minutes montre en main et passe comme une lettre à la poste.

6.5/10


Bonus : la très bonne chanson du générique interprétée par Lorenna McKenitt reprenant le thème principal de J. Horner.


Re: Notez les films d'aujourd'hui

Publié : 22 déc. 15, 19:30
par wontolla
Posté dans le mauvais topic !
(en réalité, je n'avais pas remarqué l'existence ce celui-ci ! :oops: )


Er ist wieder da (Il est de retour) (David Wnendt): 7,5/10

Comédie satirique et grincante sur base du livre éponyme de Timus Vermes.
(Ne semble pas annoncé en France)
Anorya a écrit :
wontolla a écrit :(Ne semble pas annoncé en France)

Er ist wieder da (Il est de retour) (David Wnendt): 7,5/10

Comédie satirique et grincante sur base du livre éponyme de Timus Vermes.
Qui sait ? Je ne m'attendais pas forcément à une adaptation du vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire et pourtant il y en eut une. Et assez proche du bouquin et de son humour absurde. Peut-être que ça passera en DTV ou VOD mais on aurait tort de se priver d'une adaptation d'un livre apparemment tout aussi fendard (sur ma PAL donc verdict prochainement).
Ratatouille a écrit : Marrant, je suis justement en train de le lire, et je me demandais si une adaptation ciné était prévue.
De mon côté, rentré de la projection presse, je me suis empressé de commander le livre (qui devrait arriver entre Noël et Nouvel-An).
A lire le descriptif du bouquin, le film semble bien respecter l'intrigue.