Dvdclassik : cinéma et DVD

nunu a écrit : ↑20 oct. 23, 10:26

Jack Carter a écrit : ↑20 oct. 23, 09:19 La Zone d’intérêt (Jonathan Glazer) : 8.5
sortie 2024

Il devait pas sortir en novembre ? Il a été répoussé a quand ?

31 Janvier 2024

Jack Carter a écrit : ↑20 oct. 23, 09:19 La Zone d’intérêt (Jonathan Glazer) : 8.5
sortie 2024

Avant-première du festival Lumière ?

Flol a écrit : ↑20 oct. 23, 10:27

nunu a écrit : ↑20 oct. 23, 10:26
Il devait pas sortir en novembre ? Il a été répoussé a quand ?

31 Janvier 2024

Oui ça fait un moment qu'il est prévu à cette date, depuis juin-juillet je dirais.

Youssef Salem a du succès : 6,5/10

Dark Harvest : 5/10

Spoiler (cliquez pour afficher)

Oh tiens coucou David Slade ! Lui qui avait fait un peu sensation avec Hard Candy (bof) puis 30 Days of Night (moui ça va), avant de se perdre dans la saga Twilight et de signer des épisodes impersonnels pour Black Mirror, le revoilà donc avec un nouveau film d'horreur...balancé n'importe comment sur Prime Video.

Et au début, on comprend assez vite pour quelles raisons il a eu droit à ce traitement : la narration est hyper confuse, le contexte des années 60 a l'air tout en polystyrène tellement on n'y croit pas une seconde, on ne comprend pas bien les tenants et les aboutissants du machin...et puis petit à petit se dégage un petit côté Stephen King pas désagréable, avec son traitement d'une communauté visiblement assez dégénérée, camouflant une sorte de rituel secret et ancestral dont on découvrira bien sûr les origines au cours du film (et ne surprendront à peu près personne).
Le problème, c'est que ce côté King est mixé avec de fortes influences qu'on sent provenir de la saga The Purge, et là c'est tout de suite moins bien. Donc on voit de jeunes ados se foutre sur la gueule dans des élans gentiment gorasses, avec l'aval de leurs parents complices mais...à quoi bon ?
C'est un peu le sentiment global que j'ai eu à la vision de ce film que j'aurai oublié dans environ 12 minutes : "à quoi bon ?".
J'ai tout de même envie de sauver un sens du visuel pas dégueu (certains plans nocturnes sont de toute beauté), des tentatives de mise en scène qui ont un peu plus de gueule et un goût pour du charclage de têtes bien sanglant.

Mais encore une fois : "à quoi bon ?"...

Boubakar a écrit : ↑20 oct. 23, 12:50 Youssef Salem a du succès : 6,5/10

Ah c'est cool pour lui

-Kaonashi Yupa- a écrit : ↑20 oct. 23, 12:49

Flol a écrit : ↑20 oct. 23, 10:27
31 Janvier 2024

Oui ça fait un moment qu'il est prévu à cette date, depuis juin-juillet je dirais.

De ce que j’ai lu, c’est dû au fait qu’A24 ait exigé de le sortir en premier aux US (15/12).

Vus au Festival Lumière :

LE CERCLE DES NEIGES : 6.5/10 (sortie le 4/01/2024 sur Netflix)
Nouvelle adaptation de l’histoire de cette équipe de joueurs de rugby dont l’avion s’écrase en pleine Cordillère des Andes. En 1993 j’avais vu « Les Survivants » dont la promo tournait principalement autour du cannibalisme pratiqué par les survivants.
Cette version m’a paru bien plus réussie, naturelle et moins grandiloquente. La séquence du crash est extrêmement efficace (des personnes ont même applaudi lorsqu’elle s’est achevée), l’interprétation m’a paru juste, la photographie est globalement belle et le final émouvant.
Bon, l’ensemble m’a paru un brin longuet par contre, peut-être à cause de la fatigue…


LA PASSION DE DODIN BOUFFANT : 7.5/10
Je ne peux pas vraiment dire que j’étais très motivé pour découvrir ce film et l’ai choisi un peu par dépit pour rester dans le coin de l’Institut. Et ce fut finalement une très bonne surprise !
C’est littéralement du « food porn » : des séquences entières sont consacrées à la préparation de plats du terroir plus ou moins raffinés, sans le moindre dialogue, suivant pas à pas l’évolution de la recette. On pourrait donc s’attendre à un résultat pénible mais la magie a admirablement opéré.
Visuellement c’est littéralement splendide, avec notamment un gros travail sur la lumière qui parait si naturelle, que ce soit de façon diurne ou nocturne. Le reste de la direction artistique est du même acabit.
Le scénario est simplifié au maximum, tout est dédié au plaisir de la nourriture et rien n’est consacré aux contextes historique et dramatique. Encore une fois ce n’est généralement pas ma tasse de thé mais en l’espèce c’est le premier film découvert lors de ce festival où je ne trouve pas le temps long.
Pour finir l’interprétation était toute en nuances, Magimel est bien parti pour un 3ème César.


LE GARÇON ET LE HÉRON : 6/10
Voici un film que j’aurais voulu adorer mais auquel je n’ai pas du tout accroché… Après une introduction tonitruante l’histoire marque le pas et l’arrivée du monde fantastique propre à Miyazaki n’a pas réussi à rattraper mon intérêt.
Visuellement c’est toujours aussi splendide, mais sur le fond j’ai eu du mal à m’intéresser aux personnages…
Note aux parents de jeunes enfants, pas sûr que le film leur soit destiné même si on est loin de la violence de Princesse Mononoke.

Une année difficile : 6/10

Sympathique, comme toujours chez Toledano/Nakache, mais c'est surtout grâce aux acteurs. Le scénario patine beaucoup, et passe surtout a côté de son sujet (ou de ses sujets, il y avait du potentiel). Loin de Hors normes, qui reste mon préféré du duo.

Le règne animal : 5,5/10
D'accord c'est un film de genre qui réunit tout le potentiel de son scénario, un sujet pourtant pas facile avec ces humains-animaux.
Les acteurs, les dialogues, la direction artistique notamment des bons sfx, sont plutôt très bon. Mais il manque pour moi une vraie histoire. Hormis de suivre la toute petite évolution de l'ado, il n'y a rien dans ce film qui m'a agrippé durant 2h08. Je ne comprends pas que le réalisateur n'en a pas fait un vrai thriller survival (recherche de la mère dans la forêt, tout en étant poursuivit eux mêmes par les gendarmes) car il n'y a aucun suspense et on voit arrivé les séquences à des kms. Et je ne vois aucun mélange de genre à la coréenne comme le souligne Flol. Pour le coup, "la dernière vie de Simon" était bien plus réussit mais il est passé inaperçu malheureusement. Donc grosse déception alors que j'avais aimé "les combattants".

Magnificat (6/10)
Petit Jesus (5/10)
Sexygenaires (5/10)

Dernière nuit à Milan - Andrea Di Stefano : 8/10
Un scénario très bien rythmé autour d'une trame simple sur une seule nuit, avec une superbe musique envoutante de Santi Pulvirenti. Le générique d'ouverture électrisant nous offre un thème très Morricone avec un survol nocturne de Milan. Incroyable Pierfrancesco qui, après Nostalgia (sans oublier Suburra et Le Traître) nous gratifie d'une belle performance dans son rôle de flic un peu couard, professionnel qui tombe dans une histoire de corruption. Un jeu d'équilibriste qui joue avec nos nerfs, un polar qui prend la forme d'une fable morale, très belle photo par ailleurs qui sublime Milan et participe à l'immersion. Avec peu, Andrea Di Stefano fait beaucoup de cinéma, sa scène centrale autour de laquelle s'articule le récit est impressionnante, simple et efficace.

Les Trolls 3 6.5/10

Dernière nuit à Milan : 6/10

Super Mario Bros. le film - Aaron Horvath & Michael Jelenic - 6/10
Drone Games - Olivier Abbou - 7/10