Dvdclassik : cinéma et DVD

Sauf que justement, il est préférable de voir un film dont il est discuté ici même n’est-il pas ?

Ah bah oui grave, je vais le regarder et on en parlera sur le topic Biennale de Venise.

Everything Everywhere All at Once 2/10
Peu en parlent mais c'est Jamie Lee Curtis que j'ai préféré dans ce film, elle m'a plusieurs fois fait rire. Sinon : beurk.

Ouistreham 6,5/10
Le bouquin laisse tellement plus de place au message politique tout en le distillant avec finesse. Tout l'inverse du film, je trouve.
Du coup la fin est ratée, à mon sens.

Ennio: 6,5/10

Doctor Strange in the Multiverse of Madness : 6.5/10

Trois mille ans à t'attendre (George Miller, 2022) : 6/10

Everything Everywhere All at Once : 0,5/10

Ennui abyssal

Trois mille ans à t’attendre : 7/10

Jurassic World : le monde d’après : 5/10

l'Horizon : 3/10
- Soit le degré presque zéro d'un horizon perdu dans les limbes de faire politiquement un film. C'est vraiment dommage, parce-que le sujet est légitime.

Kompromat : 6/10

Un thriller français plutôt efficace dans sa seconde partie (l'évasion et la chasse à l'homme), mais non dénué de maladresses et invraissemblances scénaristiques dans sa mise en place et sa narration. Gilles Lellouche et Joanna Kulig (déjà vue dans Cold War notamment) sont convaincants, ce qui n'est pas forcément le cas des seconds rôles français, le reste du casting étant majoritairement russe. Dommage : avec un scénario en béton, moins caricatural et simpliste (Poutine va adorer...), le film aurait pu vraiment être palpitant, sans tomber dans les habituelles ficelles et facilités du genre.

-Le samaritain:

Un film un peu old school plutôt sympathique, malgré quelques vfx bien laid et un méchant Johan Philip Pilou Asbæk sans originalité.
Mais faut pas se le cacher le gros intérêt du film (presque le seul ?) reste Sylvester Stallone, qui à 76 ans à toujours autant de charisme, il traine sa "vieille" carcasse avec sa démarche inimitable, il transcende ce rôle, la classe .

5/10

Leila et ses frères : 7

Pour la nuit du 12 ce sera 8.5 car le film est tenu de bout en bout sans pour autant me sembler atteindre une excellence absolue, de celle qui font crier au chef d'oeuvre.
Avec le recul, je me prends à voir de plus en plus dans le film l'influence du Lynch de Twin Peaks que ce soit par le thème principal (qui a tué cette jeune fille? pourquoi a t'elle croisé tellement d'hommes ordinairement horribles?) ou par des motifs visuels divers ( le squatter a de nettes allures de Bob, le ralenti sur Clara en flammes, le jeu de surimpressions schizoides où le capitaine Y Vives se confond avec les suspects rencontrés, ces espaces vides et menaçants).
Moll est depuis le début influencé par Lynch et je pense que cela m'avait un peu gêné pour Harry ou Lemming même si je trouvais un vrai talent.
L'air de rien, Twin peaks a fait de nombreux petits depuis Top of the lake jusqu'à cette Nuit du 12 en passant par Lost river de Gosling, P'tit Quinquin, Simon Werner a disparu etc... beaucoup ont essayé , peu ont réussi à se démarquer du chef d'oeuvre hybride de Lynch. Moll y réussit assez bien.
Avec Seules les bêtes et cette Nuit du 12, il trouve un dosage bien plus fluide entre influence et dépassement de l'admiration pour mener à bien un projet personnel. Du coup il navigue entre naturalisme et "expressionnisme" lynchien.
Et le point-clé: dans ces deux cas, il a puisé sa matière première dans deux livres très accomplis.