Premier prétendant du mois, le solaire et émouvant Lucia y el sexo. Mon premier Medem également. Rarement vu un film traitant de l'amour avec une telle fraîcheur érotique ; du coup je vais m'empresser de trouver Room in Rome
Brody a écrit :Premier prétendant du mois, le solaire et émouvant Lucia y el sexo. Mon premier Medem également. Rarement vu un film traitant de l'amour avec une telle fraîcheur érotique ; du coup je vais m'empresser de trouver Room in Rome
Bravo Brody. Tu vas rejoindre le clan des adorateurs de Medem très prochainement si tu explores plus sa filmo.
Room in Rome est plus mineur par contre mais reste assez appréciable. Une friandise dans la filmo du réalisateur.
Brody a écrit :Premier prétendant du mois, le solaire et émouvant Lucia y el sexo. Mon premier Medem également. Rarement vu un film traitant de l'amour avec une telle fraîcheur érotique ; du coup je vais m'empresser de trouver Room in Rome
Bravo Brody. Tu vas rejoindre le clan des adorateurs de Medem très prochainement si tu explores plus sa filmo.
Room in Rome est plus mineur par contre mais reste assez appréciable. Une friandise dans la filmo du réalisateur.
C'est paskeu j'ai fait une petite recherche rapide sur Helena Anaya qui est...
Il existait un forumeur ayant réalisé pour son avatar un gif de ce Room in Rome (qui a dû tenir un quart d'heure). Je crois que c'était Major Tom et c'était...
Why don't you play in hell (Jigoku de naze warui) de Sono Sion
Une magnifique farce aussi frénétique que jouissive ! Avec un talent et une folie qui n'appartient qu'à lui, Sono Sion maîtrise à la perfection les ruptures de tons dans un récit à la ligne narrative complètement imprévisible, tout en parvenant à retomber sur ses pattes. L'énergie qui découle de ce film est ahurissante : sa scénographie déjantée est follement jubilatoire et je ne me souviens pas m'être autant marré et avoir autant halluciné devant un film cette année. Alors c'est pour un public fan des délires japonais et fan du cinéaste, mais le spectacle vaut vraiment le coup pour ceux à qui ce genre de spectacle parle ! De plus, on retrouve en filigrane la touche subversive du cinéaste qui, en même temps de rendre un hommage au septième art et au yakuza-eiga, scrute encore et toujours la société japonaise (ici la jeunesse autosatisfaite et fainéante rêvant de gloire sans se donner les moyens de réussir) avec son style ravageur et acidulé que j'affectionne particulièrement.
Je commence doucement à me faire au cinéma de Rohmer mais alors là j'ai trouvé mon maître en terme d'imperméabilité.
Si toute sa filmo est de cette acabit, je ne suis pas prêt d'y remettre les pieds.
"Il y a des gens qui parlent, qui parlent - jusqu'à ce qu'ils aient enfin trouvé quelque chose à dire." Sacha Guitry (Mon père avait raison, 1936)
"Il y a des gens qui cherchent, qui cherchent - jusqu'à ce qu'ils aient enfin trouvé la capture." Rick Blaine
Malgré quelques baisses de régime j'ai trouvé l'ensemble jubilatoire. Une excellente découverte 2013 en ce qui me concerne
"Il faut vouloir saisir plus qu'on ne peut étreindre." Robert Browning.
" - De mon temps, on pouvait cracher où on voulait. On n'avait pas encore inventé les microbes." Goupi
Mains Rouges.