Dvdclassik : cinéma et DVD

Gégé, quel film de ta carrière préfères-tu ? (Si tu me dis Maîtresse tu gagnes toute mon estime - et je saurai que tu es le vrai, l'unique Gégé).

Dale Cooper a écrit : • Casablanca (Casablanca, Michael Curtiz, 1942)

Dites moi monsieur l'agent du FBI, qu'est-ce que c'est que cette note ?

Rick Blaine a écrit :

Dale Cooper a écrit : • Casablanca (Casablanca, Michael Curtiz, 1942)

Dites moi monsieur l'agent du FBI, qu'est-ce que c'est que cette note ?

Il avait certainement fait une indigestion de doanuts juste auparavant et son état ne lui a pas permis d'apprécier le film à sa juste valeur.

bronski a écrit :Gégé, quel film de ta carrière préfères-tu ? (Si tu me dis Maîtresse tu gagnes toute mon estime - et je saurai que tu es le vrai, l'unique Gégé).

Non, c'est Boudu.

Rick Blaine a écrit :

Dale Cooper a écrit : • Casablanca (Casablanca, Michael Curtiz, 1942)

Dites moi monsieur l'agent du FBI, qu'est-ce que c'est que cette note ?

Elle est anormalement élevée, en effet.

Rick Blaine a écrit :

Dale Cooper a écrit : • Casablanca (Casablanca, Michael Curtiz, 1942)

Dites moi monsieur l'agent du FBI, qu'est-ce que c'est que cette note ?

C'est une très bonne note. Mais je ne l'ai peut-être pas revu dans de bonnes conditions (je me souviens très bien de ce jour du samedi 6 décembre où la cafetière était en panne, et où le shérif Jeremy Fox avait pris la dernière part de tarte aux cerises, sale journée).

Dale Cooper a écrit :où le shérif Jeremy Fox avait pris la dernière part de tarte aux cerises, sale journée).

Excuse valable.

Dale Cooper a écrit :

Rick Blaine a écrit :
Dites moi monsieur l'agent du FBI, qu'est-ce que c'est que cette note ?

C'est une très bonne note. Mais je ne l'ai peut-être pas revu dans de bonnes conditions (je me souviens très bien de ce jour du samedi 6 décembre où la cafetière était en panne, et où le shérif Jeremy Fox avait pris la dernière part de tarte aux cerises, sale journée).

Mouais... Je passe pour cette fois.

Pour l'instant, ce qui tient la corde :

Rick Blaine a écrit :
Deux Jours, une nuit, de Jean-Pierre & Luc Dardenne (2014) : 4/10

Oui.
Grosse déception, beaucoup d'ennui et impossible d'accrocher au personnage principal, qui manque pour moi d'aspérités et n'existe "que" par sa situation. Du coup son chemin m'a paru fort long, et a eu bien du mal à m'emouvoir, l'empathie n'étant pas là. Quelques personnages secondaires sont touchants, pour le reste... C'était mon premier Dardenne, je ne vais pas y retourner de suite.
Ça m'attriste car c'est un film que j'aurais eu envie d'aimer.

Rick Blaine a écrit :Oui.
Grosse déception, beaucoup d'ennui et impossible d'accrocher au personnage principal, qui manque pour moi d'aspérités et n'existe "que" par sa situation. Du coup son chemin m'a paru fort long, et a eu bien du mal à m'emouvoir, l'empathie n'étant pas là. Quelques personnages secondaires sont touchants, pour le reste... C'était mon premier Dardenne, je ne vais pas y retourner de suite.
Ça m'attriste car c'est un film que j'aurais eu envie d'aimer.

C'est clair que lorsque l'on arrive pas à ressentir de l'empathie pour les personnages le temps semble long. Ca m'arrive tellement souvent que je ne peux rien rétorquer à ça. Pour ma part, j'ai été ému voire bouleversé durant toute la durée du film.

Pour être ému (j'ai eu le temps d'y réfléchir...), je suis convaincu qu'il m'aurait fallu une autre introduction au personnage principal que la présentation de ses difficultés. Quelques défauts, quelques moments de bonheurs m'auraient aidés.

Rick Blaine a écrit :Pour être ému (j'ai eu le temps d'y réfléchir...), je suis convaincu qu'il m'aurait fallu une autre introduction au personnage principal que la présentation de ses difficultés. Quelques défauts, quelques moments de bonheurs m'auraient aidés.

Je comprends. Alors que j'ai au contraire apprécié que les frangins plongent directement la tête la première au cœur de leur sujet avec une espèce de hargne et d'urgence sans jamais lâcher le morceau. Un peu comme Mann avec La Porte du diable pour prendre un exemple similaire dans un genre et une époque totalement différents.

Intéressant comme parallèle, d'autant qu'à l'inverse j'aime beaucoup le film de Mann. Il doit y avoir d'autres éléments qui influent sur mon ressenti.

L'année se conclura certainement par ce chef-d’œuvre de Guitry :