Ça ne m'a jamais vraiment amusé, désolé. Même Marty Feldman devient pénible à la longue. Pas de rythme, gags convenus. C'est pas ma came, quoi.
Je préfère encore l'inégal Spaceballs qui a au moins quelques trouvailles qui tiennent du génie.
Demi-Lune a écrit :Ça ne m'a jamais vraiment amusé, désolé. Même Marty Feldman devient pénible à la longue. Pas de rythme, gags convenus. C'est pas ma came, quoi.
Je préfère encore l'inégal Spaceballs qui a au moins quelques trouvailles qui tiennent du génie.
Demi-Lune a écrit :Ça ne m'a jamais vraiment amusé, désolé. Même Marty Feldman devient pénible à la longue. Pas de rythme, gags convenus. C'est pas ma came, quoi.
Je préfère encore l'inégal Spaceballs qui a au moins quelques trouvailles qui tiennent du génie.
Je ne participe plus à ce topic mais toutes les raisons sont bonnes pour évoquer la rétro Kinji Fukasaku qui offre des (re)découvertes inouïes.
Après Sous les drapeaux, l'enfer qui rafleraient la palme d'or et le prix du scénario, je fileraient sans problème le prix de la mise à l'hallucinant Chantage. On parle beaucoup de Seconds de Frankenheimer en ce moment, mais ce film de Fukasaku, sorti la même année, mériterait le même coup de projecteur avec sa réalisation tendue et d'une inventivité permanente - par moment avant-gardiste - pour un des meilleurs thriller que je connaisse (grâce aussi à un excellent scénario).
Courez voir sa deuxième diffusion le 3 aout.
"celui qui n'est pas occupé à naître est occupé à mourir"
Si Persona, La Source, Les Fraises sauvages et Sonate d'automne ne sont toujours pas très bien passés ce mois-ci, un Bergman risque néanmoins de finir tout en haut du classement mais je n'en suis qu'à la moitié pour l'instant. Il s'agit de la version longue de Scènes de la vie conjugale dont les 3 premiers épisodes sont déjà d'une force exceptionnelle. Et puis je dois avouer avoir beaucoup d'affinités avec ce style de mise en scène, beaucoup moins formaliste, très proche de celui d'un Pialat par exemple.
Jeremy Fox a écrit :Si Persona, La Source, Les Fraises sauvages et Sonate d'automne ne sont toujours pas très bien passés ce mois-ci, un Bergman risque néanmoins de finir tout en haut du classement mais je n'en suis qu'à la moitié pour l'instant. Il s'agit de la version longue de Scènes de la vie conjugale dont les 3 premiers épisodes sont déjà d'une force exceptionnelle. Et puis je dois avouer avoir beaucoup d'affinités avec ce style de mise en scène, beaucoup moins formaliste, très proche de celui d'un Pialat par exemple.