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Re: Pulp Fiction (Quentin Tarantino - 1994)

Publié : 25 nov. 24, 19:53
par EliWallou
tchi-tcha a écrit : 25 nov. 24, 17:48 Mention spéciale à Once Upon a Time... qui passe de justesse à côté du chef d'œuvre pour cause de dernier acte immature, irresponsable et idéologiquement puant car salement réac
Tu peux développer ?

Re: Pulp Fiction (Quentin Tarantino - 1994)

Publié : 25 nov. 24, 20:22
par tchi-tcha
EliWallou a écrit : 25 nov. 24, 19:53 Tu peux développer ?
Oui, mais pas dans ce topic et pas maintenant (pas de Quiz(z) Naphta donc j'en profite, ce soir c'est ciné).

N'empêche, les chiffres sont sans appel :

- The Island (Michael Orson) : 39 pages
- Pulp Fiction : seulement 17 pages de topic

Les classikiens ne s'y trompent pas !

(quelqu'un peut prendre des nouvelles de Watkinssien ? je crois qu'il a fait un malaise...)

Re: Pulp Fiction (Quentin Tarantino - 1994)

Publié : 25 nov. 24, 20:53
par Demi-Lune
tchi-tcha a écrit : 25 nov. 24, 20:22
EliWallou a écrit : 25 nov. 24, 19:53 Tu peux développer ?
Oui, mais pas dans ce topic et pas maintenant (pas de Quiz(z) Naphta donc j'en profite, ce soir c'est ciné).
Attention tchi-tcha...
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Crois-en mon expérience. :mrgreen:

Re: Pulp Fiction (Quentin Tarantino - 1994)

Publié : 25 nov. 24, 20:59
par Thaddeus
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Re: Pulp Fiction (Quentin Tarantino - 1994)

Publié : 25 nov. 24, 23:10
par EliWallou
Demi-Lune a écrit : 25 nov. 24, 20:53
tchi-tcha a écrit : 25 nov. 24, 20:22
Oui, mais pas dans ce topic et pas maintenant (pas de Quiz(z) Naphta donc j'en profite, ce soir c'est ciné).
Attention tchi-tcha...
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Crois-en mon expérience. :mrgreen:
Nan, j'suis vraiment juste curieux de lire un développement plus poussé... réac par rapport à un positionement sur les hippies? Ou une vision du conéma?
J'ai aussi du mal avec la fin en violence cathartique qui donne l'impression que Tarantino sait pas terminer ses films autrement et tourne en rond, un peu dommage parce qu'autrement le film a une très belle ambiance.

Re: Pulp Fiction (Quentin Tarantino - 1994)

Publié : 25 nov. 24, 23:43
par bocina
La fin justifie les moyens. Elle est juste fabuleuse !

Re: Pulp Fiction (Quentin Tarantino - 1994)

Publié : 26 nov. 24, 00:22
par Watkinssien
bocina a écrit : 25 nov. 24, 23:43 La fin justifie les moyens. Elle est juste fabuleuse !
Et le tout dernier plan du film n'aurait pas été si émouvant avec l'apparition du titre, à mes yeux, sans cette sauvagerie!

Re: Pulp Fiction (Quentin Tarantino - 1994)

Publié : 26 nov. 24, 01:21
par tchi-tcha
Je commence à comprendre les mises en garde de Demi-Lune et Thaddeus... :mrgreen:

Re: Pulp Fiction (Quentin Tarantino - 1994)

Publié : 8 févr. 25, 22:37
par Fire walk with me
La vérité sur l’intérieur de la fameuse mallette
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Re: Pulp Fiction (Quentin Tarantino - 1994)

Publié : 28 mars 25, 09:18
par Papus
tchi-tcha a écrit : 25 nov. 24, 17:48 quand il te vend une jeune femme attachée au capot de sa voiture dans Boulevard de la mort (alors qu'elle s'y est attachée toute seule après une heure de blabla)
So what?

Re: Pulp Fiction (Quentin Tarantino - 1994)

Publié : 28 mars 25, 09:21
par tchi-tcha
Papus a écrit : 28 mars 25, 09:18
tchi-tcha a écrit : 25 nov. 24, 17:48 quand il te vend une jeune femme attachée au capot de sa voiture dans Boulevard de la mort (alors qu'elle s'y est attachée toute seule après une heure de blabla)
So what?
Bah pendant la promo on se demande comment une fille arrive à se retrouver attachée au capot de la bagnole. C'est une image qui en jette, c'est vendeur. Mais en fait c'est une comédienne qui s'amuse, qui s'est attachée toute seule et qui ne risque rien. Bonjour la justification de la situation, Quentin ne s'est vraiment pas foulé. Et tout le film est comme ça : quelques idées visuelles qui claquent au milieu d'un grand néant paresseux.

Re: Pulp Fiction (Quentin Tarantino - 1994)

Publié : 28 mars 25, 09:41
par Papus
Roh que t'es expéditif.
Certes elle s'y attache d'elle même, avec ses coupines, mais ne rien risquer que nenni, perso j'y vais pas.
D'où tout ce dialogue précédent l' action, où l'une veut convaincre l'autre, l'autre ne voulant pas parcequ'il y a bel et bien un danger. Et outre l'hommage aux gens de la cascade du cinéma, il s'agit de dire je pense "elles se mettent en danger d'elle même parce qu'elles le veulent" et quand le gros relou psychopathe croit s'être fait des amies aussi tarées que lui, bah il se fait éclater la tronche.