C'est Dickie Moore, le gamin jouant Gary Cooper dans le prologue enfantin de Peter Ibbetson où il m'avait déjà bien scotché. C'est vrai que c'est un des enfants acteur les plus touchant et naturel de cette période limite si je ne préférai pas son passage dans le film d'Hathaway.Jeremy Fox a écrit :Venus Blonde - 1932
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Josef Von Sternberg (1894-1969)
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Re: Josef Von Sternberg (1894-1969)
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Re: Josef Von Sternberg (1894-1969)
Ah oui exact ; je n'avais même pas recherché mais son visage me disait quelquechose.Profondo Rosso a écrit :C'est Dickie Moore, le gamin jouant Gary Cooper dans le prologue enfantin de Peter Ibbetson où il m'avait déjà bien scotché. C'est vrai que c'est un des enfants acteur les plus touchant et naturel de cette période limite si je ne préférai son passage dans le film d'Hathaway.Jeremy Fox a écrit :Venus Blonde - 1932
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Re: Josef Von Sternberg (1894-1969)
JET PILOT - Josef von Sternberg (1957) découverte
Tour de contrôle, ici Tango Charlie, on nous signale un Josef von Sternberg complétement débridé qui survole une production Universal colorée. Il parait en perdition mais sa tenue de vol est plus que convenable. Sa première demi-heure est un déchainement erotico-mique, le film parait suer le sex par tous les pores, aidé en cela par une Janet Leigh oh la la mes enfants. John Wayne en perd le Nord et la péloche tire la langue sans retenue. Si la suite vole à une attitude disons plus convenable, on ne perd par l'érotisme de vue et les deux personnages parlent, parlent, parlent mais ne pensent qu'à la chose. Seules les séquences purement aériennes (surement imposées par le mono maniaque Howard Hughes) sont gonflantes mais pour le reste, Jet Pilot c'est un énorme bonbon, doux sur la langue, bon pour le moral. Over.
Tour de contrôle, ici Tango Charlie, on nous signale un Josef von Sternberg complétement débridé qui survole une production Universal colorée. Il parait en perdition mais sa tenue de vol est plus que convenable. Sa première demi-heure est un déchainement erotico-mique, le film parait suer le sex par tous les pores, aidé en cela par une Janet Leigh oh la la mes enfants. John Wayne en perd le Nord et la péloche tire la langue sans retenue. Si la suite vole à une attitude disons plus convenable, on ne perd par l'érotisme de vue et les deux personnages parlent, parlent, parlent mais ne pensent qu'à la chose. Seules les séquences purement aériennes (surement imposées par le mono maniaque Howard Hughes) sont gonflantes mais pour le reste, Jet Pilot c'est un énorme bonbon, doux sur la langue, bon pour le moral. Over.
Dernière modification par Kevin95 le 3 mai 17, 14:54, modifié 1 fois.
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Re: Josef Von Sternberg (1894-1969)
Kevin95 a écrit :JET PILOT - Josef von Sternberg (1957) découverte
Tour de contrôle, ici Tango Charlie, on nous signale un Josef von Sternberg complétement débridé qui survole une production Universal colorée. Il parait en perdition mais sa tenue de vol est plus que convenable. Sa première demi-heure est un déchainement erotico-mique, le film parait suer le sex par tous les pores, aidé en cela par une Janet Leigh oh la la mes enfants. John Wayne en perd le Nord et la péloche tire la langue sans retenue. Si la suite vole à une attitude disons plus convenable, on ne perd par l'érotisme de vue et les deux personnages parlent, parlent, parlent mais ne pensent qu'à la chose. Seules les séquences purement aériennes (surement imposées par le mono maniaque Howard Hughes) sont gonflantes mais pour le reste, Jet Pilot c'est un énorme bonbon, doux sur la langue, bon pour le morale. Over.


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Re: Josef Von Sternberg (1894-1969)
JE viens de jeter un oeil sur le test du bluray d'Anatahan sorti chez Kino sur DVDBeaver: Il faut 1) que je m'achete ce bluray 2) le lecteur Zone A pour le lire.
Le premier snapshot extrait est simplement incroyable.
Je ne me souvenais pas qu'il y avait des scenes de nu. Je n'ai du voir que la version de 1953 (au cine club ou en salle parisienne?) ou alors je perd la memoire...
Le premier snapshot extrait est simplement incroyable.
Je ne me souvenais pas qu'il y avait des scenes de nu. Je n'ai du voir que la version de 1953 (au cine club ou en salle parisienne?) ou alors je perd la memoire...
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Re: Josef Von Sternberg (1894-1969)
Si mon anglais ne me trahit pas, les images avec nudité présentes dans le test sont tirées de scènes coupées au montage ("outtakes")...The Eye Of Doom a écrit :Je ne me souvenais pas qu'il y avait des scenes de nu. Je n'ai du voir que la version de 1953 (au cine club ou en salle parisienne?) ou alors je perd la memoire...
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Re: Josef Von Sternberg (1894-1969)
J'ai regardé Anatahan récemment et j'ai trouvé que c'était une vraie purge. Le commentaire redondant, les décors de studio et l'immobilisme de l'histoire ont été rédhibitoires pour moi. Par contre Jet Pilot m'a beaucoup amusée. De toutes façons, les Sternberg que je préfère sont les muets. 

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Re: Josef Von Sternberg (1894-1969)
Ann Harding a écrit :J'ai regardé Anatahan récemment et j'ai trouvé que c'était une vraie purge.

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Re: Josef Von Sternberg (1894-1969)
je plussoie.Ann Harding a écrit :J'ai regardé Anatahan récemment et j'ai trouvé que c'était une vraie purge.
Meilleur topic de l'univers
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 13&t=39694
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Re: Josef Von Sternberg (1894-1969)
AtCloseRange a écrit :je plussoie.Ann Harding a écrit :J'ai regardé Anatahan récemment et j'ai trouvé que c'était une vraie purge.

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Re: Josef Von Sternberg (1894-1969)
Je te rejoins Watkissien. C'est un film particulier mais tellement beau, tellement unique, je le trouve formidable.
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Re: Josef Von Sternberg (1894-1969)
Sans aller jusqu'à parler de purge, j'ai du mal moi aussi à adhérer à la réputation assez répandue de joyau tardif et hors-norme, de chef-d'oeuvre testamentaire dont jouit le film. Bref, je le trouve largement surestimé. 

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Re: Josef Von Sternberg (1894-1969)
A noter quelques pages sur le film dans le numéro de sep des cahiers sorti cet semaine (pas encore lu).
Sur le fond, c'est clairement un film expérimental.
J'avais adoré quand je l'ai découvert il y a 30 ans. De mémoire, la revoyure il y a 20 ans m'a moins enthousiasmé.
Le bluray Us attends sur mon étagère pour une revisite un jour ou l'autre.
En comparaison des muets dont chaque vision me confirme le génie du cinéaste, je peux comprendre les réserves sur ce film testamentaire.
Sur le fond, c'est clairement un film expérimental.
J'avais adoré quand je l'ai découvert il y a 30 ans. De mémoire, la revoyure il y a 20 ans m'a moins enthousiasmé.
Le bluray Us attends sur mon étagère pour une revisite un jour ou l'autre.
En comparaison des muets dont chaque vision me confirme le génie du cinéaste, je peux comprendre les réserves sur ce film testamentaire.
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Re: Josef Von Sternberg (1894-1969)
Je trouve aussi. A chaque vision (dont aucune ne fut avec une copie réellement digne de ce nom), j'ai été happé par la singularité de ton et la beauté de la mise en scène.Rick Blaine a écrit :Je te rejoins Watkissien. C'est un film particulier mais tellement beau, tellement unique, je le trouve formidable.

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Re: Josef Von Sternberg (1894-1969)
Lobster va le sortir d'içi la fin d'année en blurayThe Eye Of Doom a écrit :JE viens de jeter un oeil sur le test du bluray d'Anatahan sorti chez Kino sur DVDBeaver: Il faut 1) que je m'achete ce bluray 2) le lecteur Zone A pour le lire.

Veneno para las hadas (Carlos Enrique Taboada, 1986)