Lohmann a écrit : ↑20 sept. 21, 19:35Les Amours d’Anais 2
Mince, j’ai raté le premier.
J'ai failli la faire
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
poet77 a écrit : ↑22 sept. 21, 11:37Le Sommet des dieux: 8,5/10
J'ai lu le manga mais j'ai un peu oublié s'il y avait de la violence... Rien de trop notable à ce sujet ? Je voudrais y emmener mon fils de 9 ans.
Il n'y a pas de violence à proprement parler, mais quelques scènes impressionnantes, en particulier lorsqu'un alpiniste se retrouve en situation périlleuse avec danger de mort. Selon moi, le film est visible par un enfant de 9 ans et pourrait même engendrer des échanges intéressants sur des sujets disons moraux.
J'ai lu le manga mais j'ai un peu oublié s'il y avait de la violence... Rien de trop notable à ce sujet ? Je voudrais y emmener mon fils de 9 ans.
Il n'y a pas de violence à proprement parler, mais quelques scènes impressionnantes, en particulier lorsqu'un alpiniste se retrouve en situation périlleuse avec danger de mort. Selon moi, le film est visible par un enfant de 9 ans et pourrait même engendrer des échanges intéressants sur des sujets disons moraux.
C'est quand même un film qui ne démarre jamais et qu'on a vendu comme un "film de genre" / animal attack...ce qu'il n'est que dans ses 5 dernières minutes.
Je pensais avoir touché le fond ce mois-ci avec Malignant mais autant le film de Wan s'est révélé assommant sur la longueur que le nouveau long-métrage de David Bruckner (responsable auparavant du plutôt chouette The Ritual) m'a assez rapidement plongé dans un ennui profond. La faute à un script prenant à mon goût un peu trop son temps pour développer son atmosphère dramatique et distiller son pseudo mystère (s'il n'y avait pas eu quelques jumpscares bon marché pour me sortir de ma léthargie, je crois que je me serais d'ailleurs endormi). Alors certes, la recette concoctée par Bruckner est exécutée avec une certaine élégance (le décor principal donne lieu dans le dernier tiers à quelques jolis plans) et je n'ai pas grand chose à redire concernant la prestation de Rebecca Hall, sur les épaules de laquelle repose presque entièrement le film, mais j'ai trouvé que cette histoire d'esprit es-tu là ? sentait au final quand même pas mal le réchauffé (enfin si c'est bien ce dont il s'agit, diverses interprétations sont possibles je pense).
hellrick a écrit : ↑22 sept. 21, 16:47
La nuée = 5/10
C'est quand même un film qui ne démarre jamais et qu'on a vendu comme un "film de genre" / animal attack...ce qu'il n'est que dans ses 5 dernières minutes.
Je ne pense pas que la réalisatrice l'ai vendu ainsi