Dvdclassik : cinéma et DVD

nobody smith a écrit : ↑2 août 22, 22:02 Dog (Amazon Prime) 6/10
La moitié de la note est pour la chienne

Quelle est l'actrice en question ? Ooops

As Bestas : 5,5/10
The innocents : 5,5/10

Morbius : 3/10

Ah ouais ? le manque total d'incarnation et de direction d'acteur ne vous a pas fait lâché le film, tant mieux.

Des feux dans la nuit : 6,5/10

Alibabass a écrit : ↑3 août 22, 13:20 Ah ouais ? le manque total d'incarnation et de direction d'acteur ne vous a pas fait lache le film, tant mieux.

Jamais entendu parler de ce film. Mais après un rapide coup d'œil sur son casting, j'ai étrangement envie de tenter le coup.

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Curieux aussi de la voir dans un rôle habillé. Le seul problème c’est que le film est quasi invisible alors qu’il vient de sortir.

Ahah so... Ophelie Bau genre on la voit 10min, elle doit quitter l'ile de force et elle revient pour une renaissance. Elle est perdu par une direction en une mise en scene telefilm de luxe époque ortf mais la photo est belle, parce-que la Corse tu peux la filmer meme avec un 3310 des années 2000 ca restera beau.

Bon jsuis pas apte a le défendre correctement et en plus je viens de sortir du cine avec Medee de Pasolini donc tout film de l'été est moche après ça.

Clara Sola (6/10) : film sensoriel et mystique qui laisse un peu sur sa faim.S
Suis-moi, je te fuis (5,5/10)
Fuis-moi, je te suis (5/10)

Magdala (Damien Manivel) : 8/10
- Le film le plus radical de l'été, et de son auteur. Quand le cinéaste ose des principes de cinéma ou l'imagination est la clé (ici, prendre une partie de la Bible ou Marie Magdala, après la mort de Jesus, part dans une foret, ivre de tristesse et de désolation), il utilise deux temporalité sur le récit : celui d'un personnage résolument morte de tristesse, qui fait un tout entre la foret, l'organique et l'espace (la voir marcher comme une bossue tel une pierre est une performance assez inédite). Vers la fin, dans la grotte, le temps est étiré au maximum, il y a un petit ennuie qui arrive, mais la photographie est à tomber par terre. La final est un miracle. En fait, quand il y a cette croyance au cinéma de cette façon, tout comme Pasolini l'avait avec ses contes et légendes, c'est bon, tu peux mourir tranquille.

Sundown 3/10

La nuit du 12 6/10

Sundown 3/10

Ceci amène toujours à rien de regarder par le trou de la serrure un être antipathique par un cinéaste nihiliste ^^. Le 3 c'est pour le cadre ? ahah

As bestas 7/10
Sans être le chef-d'œuvre annoncé, il confirme le talent de Sorogoyen, dont j'ai cependant préféré les précédents films.