http://www.1kult.com/2013/12/09/des-fem ... -molinaro/

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
J'ai laissé un commentaire.1kult a écrit :je viens de mettre en ligne la critique de Des femmes disparaissent de Edouard Molinaro (mise en ligne précipitée par le décès du cinéaste ce week end). J'ai mis des extraits de la critique d'époque des Cahiers du Cinema, signée Luc Moullet, juste improbable !
http://www.1kult.com/2013/12/09/des-fem ... -molinaro/
Rhooo lala, les mecs ! Cela dit, "à chaud", avec la mentalité de l'époque, pourquoi pas.... Un Témoin dans la ville qui n’est que nul...
ou :Quel daim !
Je vous prie de ne plus m'importuner de vos visites, vilain moineau !
Ce qui est étonnant c'est que le premier film du cinéaste a apparemment été salué par les Cahiers, qui y voyaient un nouveau camarade de la Nouvelle Vague (source : Dictionnaire du cinéma français, mais pas retrouvé de visu dans les Cahiers). Ensuite il y a cette déclaration de Molinaro dans les Cahiers (je ne suis pas un auteur), et enfin la critique ultra-violente (finalement assez rare, généralement dans les Cahiers jaunes, c'est 3 lignes max à la fin du numero si ils n'aiment pas ou si ça n'appuie pas une théorie critique... Là avec ces éléments, je penche pour un petit règlement de compte... Mais je ne sais pas comment en savoir plus (surtout que l'intéressé est mort).Commissaire Juve a écrit :J'ai laissé un commentaire.1kult a écrit :je viens de mettre en ligne la critique de Des femmes disparaissent de Edouard Molinaro (mise en ligne précipitée par le décès du cinéaste ce week end). J'ai mis des extraits de la critique d'époque des Cahiers du Cinema, signée Luc Moullet, juste improbable !
http://www.1kult.com/2013/12/09/des-fem ... -molinaro/
Sinon :
Rhooo lala, les mecs ! Cela dit, "à chaud", avec la mentalité de l'époque, pourquoi pas.... Un Témoin dans la ville qui n’est que nul...
Luc Moullet c'est quand même le mec qui a sorti dans les Cahiers du cinéma n°68 (février 1957) :1kult a écrit :je viens de mettre en ligne la critique de Des femmes disparaissent de Edouard Molinaro (mise en ligne précipitée par le décès du cinéaste ce week end). J'ai mis des extraits de la critique d'époque des Cahiers du Cinema, signée Luc Moullet, juste improbable !
http://www.1kult.com/2013/12/09/des-fem ... -molinaro/
Ne pas aimer c'est une chose, mais un critique de cinéma qui me sort que Vivre bat tous les records du ridicule perd pour moi, de façon irrémédiable, toute crédibilité.Luc Moullet a écrit :L'ange Ivre reste constamment au niveau de la médiocrité et n'a aucun intérêt : les recherches esthétiques, notamment dans les séquences du rêve et de la mort du héros, sont d'un grotesque inconnu même au cinéma européen. Mais Vivre bat tous les records du ridicule.
Le Bordeaux de Couzinet, on le trouve (cinémato)photographié ici , disponible chez René Château:Commissaire Juve a écrit :Oué, Bourg-sur-Gironde, tout ça... C'est pour ça que mon paternel me l'a fait acheter trois fois (il a connu ces coins et il y connaît encore du monde).Lino a écrit :... les films étaient tournés à (et autour de) Bordeaux...
Moi, c'est le Contrôleur des wagons-lits... mais l'heure était déjà bien avancée et j'ai préféré ne pas louper le Morphée-Express.1kult a écrit :... Le film, je ne suis pas encore arrivé au bout (commencé trop tard, c'est marrant ... je ne tiens plus autant le soir...
Ah mais je ne dis pas que Les Cahiers c'est tout pourri : j'y suis abonné depuis des années et j'ai un paquet de bouquins d'interviews de la collection La petite bibliothèque.1kult a écrit :Si vous avez l'occasion de tomber sur un ou deux numéros de cette période jaune, même si vous n'êtes pas fans, soyez curieux : c'est vraiment impressionnant ! Alors forcément il y a des conneries (le Molinaro, donc), certainement dû à la frénésie de l'époque, grisé par cette envie de tout changer, mais dans l'ensemble ça reste passionnant. D'ailleurs, même si les premiers numéros sont plus anecdotiques, je ne pense pas avoir feuilleté un de ces numéros sans avoir les yeux écarquillés au moins une fois.
C'étaient les mecs de la Nouvelle vague qui défendaient Alfred ? L'homme qui usait et abusait des scènes tournées en transparence ? l'homme qui filmait des comédiens faisant semblant de marcher dans la rue ? 'tain, je rêve !1kult a écrit :Tiens je n'avais pas fait le rapprochement entre le dénigrement du ciné anglais et Hitch... mais c'est pertinent... Mon précédent post était un "vous" générique, qui s'adressait à tout le monde...
Très bon, celui-là, trouvable un peu partout, et vraiment passionnant... Le Hitchcock Truffaut est considéré comme un monument, et je dois avouer que je lui préfère d'autres interviews du même style (Leone et sa manière de nous raconter quelques histoires que l'on sent pas trop juste, Melville, et surtout le Kubrick-Ciment)... Celui de Truffaut est un peu trop hagiographique je trouve...Lino a écrit :
(Celui là, je ne pense pas l'avoir lu un jour.)