frédéric a écrit :C'est délirant certes, mais y 'a quand même des trucs hard !
Dans le trailer ? on ne voit jamais rien mais c'était pour vous montrer à quel point tous les genres de cinéma ( ici le ciné X ) vont de plus en plus loin en adoptant un style très série B ( et c'était ca qui m'intéressait dans le trailer pas le reste).
Lorsqu’il s’agit de relooker les chefs d’œuvre du Septième Art en provenance des quatre coins du globe (à commencer par leur propre patrimoine), Hollywood est le champion toute catégorie. Mais lorsqu’il s’agit du recyclage d’ordures, les producteurs de la cité des anges sont tout aussi forts. Dernier exemple en date : Banlieue 13 dont la société Magnolia Pictures vient d’acquérir les droits… en vue d’un remake US donc. De quoi remplir un peu plus le compte en banque de Luc Besson après le remake de Taxi.
source ecranlarge
Un commentaire peut être ?
There is something very important that we need to do as soon as possible.
What's that?
Fuck !
Moi j'aurais dit ça à propos du chroniqueur d'écranlarge : "Mais lorsqu’il s’agit du recyclage d’ordures, les producteurs de la cité des anges sont tout aussi forts. Dernier exemple en date : Banlieue 13"
Pas très fin...
En effet, je trouve répugnant ce genre de langage qui manque totalement de respect à une oeuvre qui, même si elle est ratée ou de peu d'ambition, est tout de même le fruit du travail d'un paquet de monde.
Manquer à ce point de respect du travail des autres me parait inacceptable. Insulter à ce point le gout de ceux qui ont apprécié le film me semble détestable.
Certes, Banlieue 13 ne vole sans doute pas haut. Mais la médiocrité d'un spectacle autorise-t-il un discours aussi violent ? Le critique fait-il son métier lorsqu'il est aussi radical, et sans justification aucune ?
Face à un spectacle de rue, un homme qui prendrait la parole pour s'exclamer "c'est de la merde" serait considéré comme un rustre et un grossier personnage. Le faire par écrit semble dispenser notre critique (il n'est malheureusement pas le seul) de toute bienséance.
Ca me fout en l'air, ce genre de comportement.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell