Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019 [clos]

[Watkinssien]

Minuscule - Les Mandibules du Bout du Monde = 7/10!

The Hate U give = 3/10...

[Teklow13]

Un grand voyage vers la nuit – Di qiu zui hou de ye wan – Bi Gan : 10/10 (ça va être très difficile de faire plus beau cette année)

Asako I & II – Netemo Sametemo – Ryusuke Hamaguchi : 7/10
L'Heure de la sortie – Sébastien Marnier : 7/10
Bienvenue à Marwen – Welcome to Marwen – Robert Zemeckis : 7/10
In My Room – Ulrich Köhler : 7/10
Glass – M. Night Shyamalan : 7/10

Green Book : Sur les routes du sud – Green Book – Peter Farrelly : 6,5/10
La Mule – The Mule – Clint Eastwood : 6,5/10

Creed II – Steven Caple Jr. : 5,5/10

Border – Gräns – Ali Abbasi : 3,5/10

[poet77]

Minuscule 2: 8/10

[santiago]

Ulysse & Mona : 6/10

[cinéfile]

Doubles vies 6/10

[Boubakar]

La mule : 7,5/10

[Best]

Si Beale Street pouvait parler (Barry Jenkins) 7,5/10
Minuscule 2 - Les Mandibules du Bout du Monde (Thomas Szabo, Hélène Giraud) 7,5/10
Les estivants (Valeria Bruni Tedeschi) 5,5/10

[Thaddeus]

J'ai vu en janvier :

Asako I&II (Ryūsuke Hamaguchi) - 8/10
Bienvenue à Marwen (Robert Zemeckis) - 7/10
Border (Ali Abbasi) - 6/10
L'heure de la sortie (Sébastien Marnier) - 6/10
La mule (Clint Eastwood) - 7/10
Green book (Peter Farrely) - 7/10
Le château de Cagliostro (Hayao Miyazaki) (1979) - 7/10

[Nestor Almendros]

Glass : 6/10

[nobody smith]

Minuscule 2 6/10

[santiago]

Si Beale Street pouvait parler : 6,5/10

[douane eddy]

Green book : 7,5/10
Un beau voyou : 3/10

[nobody smith]

Si Beale Street Pouvait Parler 7.5/10

[Piercelire]

Eric Clapton : life in 12 bars 7/10
Minuscule 2 : les mandibules au bout du monde 7/10

[Alibabass]

A Cause Des Filles ... ? (Pascal Thomas) : 5/10
- L'amour des personnages est toujours là, mais c'est un peu trop facile de prendre le même scripte que "Celles qu'on n'a pas eues" (1981). Au final, ça reste du même acabit, sauf qu'après le flop public de Valentin Valentin, son cinéma va de plus en plus visuellement vers le téléfilm. C'est assez triste, et on ressort avec le fait que le réalisateur possède toujours autant de fantaisie, mais que l'économie du cinéma le bousille. Frustrant.