
Le Western américain : Parcours chronologique I 1930-1949
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- Duke forever
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Re: Le Western Américain : Parcours chronologique
Virginia city est donc zone all, si j'ose dire. Et bien c'est une bonne nouvelle ! Je ne peux pas le prendre pour le moment (because mon portefeuille n'en peut plus depuis quelques semaines), mais je le mets sur ma wish-list. Les captures font effectivement bonne figure. 


- Jeremy Fox
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Re: Le Western Américain : Parcours chronologique
Oui d'ailleurs on le trouve dans un coffret Errol Flynn comprenant aussi les deux westerns que tu viens de chroniquer pour le site. Dommage que Warner France n'ait pas pensé à éditer en zone 2 le meilleur film du coffret.Julien Léonard a écrit :Virginia city est donc zone all, si j'ose dire. Et bien c'est une bonne nouvelle ! Je ne peux pas le prendre pour le moment (because mon portefeuille n'en peut plus depuis quelques semaines), mais je le mets sur ma wish-list. Les captures font effectivement bonne figure.

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- Duke forever
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Re: Le Western Américain : Parcours chronologique
Sur ce coup-là, merci la Fnac. Quant à Warner France, il aura au moins sorti San Antonio récemment.
D'ailleurs Jeremy, quand tu as cité ce coffret, j'ai été revoir la critique de DVDBeaver, histoire de bien comparer avec la chronique que j'avais faite pour Montana et La révolte des dieux rouges (techniquement parlant). Mais je ne trouve pas de trace de la chronique sur Classik, ni dans la liste alphabétique, ni dans la liste des films chroniqués "dernièrement"... Je suis désolé de demander cela (c'est un peu présomptueux, je m'en rends bien compte
), mais elle n'y est plus ? Désolé aussi de polluer le topic du coup...
D'ailleurs Jeremy, quand tu as cité ce coffret, j'ai été revoir la critique de DVDBeaver, histoire de bien comparer avec la chronique que j'avais faite pour Montana et La révolte des dieux rouges (techniquement parlant). Mais je ne trouve pas de trace de la chronique sur Classik, ni dans la liste alphabétique, ni dans la liste des films chroniqués "dernièrement"... Je suis désolé de demander cela (c'est un peu présomptueux, je m'en rends bien compte


- Jeremy Fox
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Re: Le Western Américain : Parcours chronologique
Petit retour en 1938 grâce à un sympathique forumeur(euse) qui m'a permis de voir La Bataille de l'or de Michael Curtiz : C'est par ici
- Jeremy Fox
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Dark Command

L'Escadron Noir (Dark Command, 1940) de Raoul Walsh
REPUBLIC
Sortie USA : 15 avril 1940
Après King Vidor et Michael Curtiz, c'est au tour de Raoul Walsh de nous proposer son western de l'année. Après Stagecoach et Allegheny Uprising, la couple John Wayne/Claire Trevor se reforme mais alors que dans le précédent les deux acteurs semblaient complètement perdus, on les retrouve à nouveau en pleine forme, John Wayne nous dévoilant même une facette humoristique sous laquelle on ne l'attendait pas.
1859. Le Kansas est en proie aux prémices de la guerre civile. Bob Seton (John Wayne), simple cow-boy bagarreur, devient shérif de Lawrence au détriment de l’instituteur Will Cantrell (Walter Pidgeon). Dépité, ce dernier se jette dans le trafic d’armes avant de tirer profit du début des hostilités entre le Nord et le Sud, se plaçant à la tête d’une bande de mercenaires sans foi ni loi pour mettre la région à feu et à sang en prétendant lutter pour la cause de la Fédération. Le shérif n’aura alors de cesse de le traquer, d’autant plus qu’ils sont amoureux tous deux de la même femme (Claire Trevor).




- Jeremy Fox
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Re: Le Western Américain : Parcours chronologique
Dites moi si vous pensez que j'insère trop d'images au milieu de mes avis. Perso, j'aime bien (surtout les images des titres aux génériques). J'essaie désormais de faire des captures à partir des DVD et de les laisser en format assez grand afin que ça donne un bref aperçu de la qualité du DVD justement (en plus des tests techniques sur le site) pour ceux que ça intéresseraient.
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Re: Le Western Américain : Parcours chronologique
Perso, les images ne me dérangent pas, au contraire j'aime beaucoup.
Et au passage, (puisque je peux rarement commenter à leur sujet), merci pour tes critiques, toujours passionnantes.

Et au passage, (puisque je peux rarement commenter à leur sujet), merci pour tes critiques, toujours passionnantes.
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- Jeremy Fox
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Re: Le Western Américain : Parcours chronologique
Pour t'éviter des dépenses inconsidérées pour des DVD que tu trouverais trop limites ?Wagner a écrit :Il vaut mieux mettre des images

Merci Sybille

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- Duke forever
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Re: Le Western Américain : Parcours chronologique
Ah, je suis ravi de lire ta critique Jeremy (je l'avais déjà lu sur le site lui-même il y a quelques années) ! Mille bravos en tout cas, tu fais décidément très bien passer tes ressentis, c'est vraiment agréable à lire, une fois de plus. En effet, cet Escadron noir est tout ce qu'il y a de plus divertissant. A côté des chefs-d'œuvre de Walsh, celui-ci ne tient pas la distance, mais la qualité est bien là, et Republic parvient enfin à sortir un film des sentiers battus, tout en conservant son créneau habituel (l'inventivité, le budget et les talents en plus).
Il faut dire que leur catalogue n'est guère enthousiasmant pour le cinéphile un peu trop pointilleux, mis à part quelques films budgétairements plus importants, tels que Three faces west, Alertes aux marines, ou encore La ruée sanglante, d'honnêtes films populaires, sans plus. On peut toutefois leur accorder le crédit de films ambitieux et désormais devenus des classiques indéboulonables du cinéma hollywoodien : L'homme tranquille, Johnny Guitar, Rio Grande, Le réveil de la sorcière rouge, ou dans une moindre mesure L'ange et le mauvais garçon (petit bijou largement oublié aujourd'hui, mais qui commence à retrouver un peu d'aura). En bref, quelques grands films, quelques films populaires importants qui avaient bien marché à leur sortie, et surtout une grande quantité de séries B d'honnêtes factures. John Wayne était la star privilégiée du studio : en effet, lors de sa fin de contrat chez Monogram en 1935, il accepta de tourner sous contrat avec Republic Pictures, qui n'était qu'un conglomérat de petites firmes de production (dont la Monogram), mis en chantier afin de concurrencer les Majors, en faisant ainsi cause commune et en bénéficiant dès lors de plus gros budgets. Quand Wayne est définitivement parti de la Republic, après moult mécontentements (dont un projet Alamo très personnel, que personne, et surtout pas Republic, ne voulait lui octroyer), mais aussi après un dernier film très onéreux qui a obtenu un très gros succès en salles (L'homme tranquille), la firme a très vite chuté, pour ensuite disparaitre des cinémas. Pour l'anecdote, John Ford avait très envie depuis un moment de faire L'homme tranquille, mais personne ne voulait financer un film que l'on jugeait alors peu fiable en termes de recettes (surtout que Ford était autant connu pour ses triomphes commerciaux que pour ses échecs). C'est alors que Wayne a "obligé" Republic à financer le projet, faisant pression sur le studio, arguant qu'il avait suffisamment rapporté d'argent à cette société pour que l'on puisse accepter cette requête de sa part. C'est comme cela que le film vit le jour, et inutile de préciser que Republic ne l'a pas regretté.
Curieusement, quand on regarde un film de cette société de production, c'est toujours l'aspect un peu suranné qui prédomine. Par exemple, comparé à n'importe quel western Warner, MGM, Fox, Paramount, Universal, ou même RKO (plus modernes, plus importants, indéniablement plus puissants), de l'époque, L'ange et le mauvais garçon possède cette patte un peu "passée", d'un autre temps. La trogne des acteurs, le grain de l'image, la façon de filmer (concrétisée la plupart du temps par les artisans de la maison), le rythme global, et les pures idées de série B (Wayne éteignant les lampes à toute vitesse et s'asseyant sur un siège, dans l'ombre, un revolver non chargé dans la main, bluffant devant ses mortels ennemis)... Même dans Tykoon, en dépit de son très important budget, on peut voir les transparences, les décors de studios ou encore les maquettes utilisées, que l'on voyait en général bien moins dans les films produits collatéralement par des firmes prestigieuses. Cela ne veut pas dire que les films sont mauvais, bien sûr que non, d'autant que j'adore certains d'entre eux, louant leurs qualités artistiques, surtout pour les films de Ford, mais simplement que la firme, même en utilisant des budgets ambitieux, laissait légèrement passer son identité première : celle d'une association de petites maisons de production qui fonctionnaient avec les moyens du bord. Curieux, charmant et sincère.
Enfin, à noter qu'en France, on ne doit la sortie en DVD de L'escadron noir qu'aux éditions Atlas en 2002, qui nous ont proposé une jolie copie, propre, relativement contrastée, évidemment nantie de sous-titres français, mais néanmoins aujourd'hui épuisée. Dans la même collection, ils nous ont également offert d'autres titres tout aussi difficiles à trouver aujourd'hui : La ruée sanglante (très jolie copie), Sacramento (idem), La belle de San Francisco (copie correcte, mais extrêmement granuleuse, trop d'ailleurs) et Le bagarreur du Kentucky (dans une ignoble colorisation, mais convertible en noir & blanc sur une TV, grâce à la télécommande, pour une copie au final assez propre). Jadis, Montparnasse avait pour sa part sorti plusieurs films Republic, encore une fois épuisés actuellement, et bien souvent proposés à des prix scandaleux sur le Net : L'homme tranquille (copie honnête et joliment saturée, mais le film mériterait bien mieux), Le réveil de la sorcière rouge (jolie copie aux tons noir & blanc très soignés), et Alerte aux marines (bonne copie). Sachant cela, je peux vous dire que j'ai jalousement gardé ces DVD toutes ces années, en en prenant grand soin.
Navré pour cette digression, mais je n'ai pas pu résisté à l'envie de le faire. Jeremy, j'espère que tu ne m'en voudras pas d'avoir un peu pollué ton topic.
Il faut dire que leur catalogue n'est guère enthousiasmant pour le cinéphile un peu trop pointilleux, mis à part quelques films budgétairements plus importants, tels que Three faces west, Alertes aux marines, ou encore La ruée sanglante, d'honnêtes films populaires, sans plus. On peut toutefois leur accorder le crédit de films ambitieux et désormais devenus des classiques indéboulonables du cinéma hollywoodien : L'homme tranquille, Johnny Guitar, Rio Grande, Le réveil de la sorcière rouge, ou dans une moindre mesure L'ange et le mauvais garçon (petit bijou largement oublié aujourd'hui, mais qui commence à retrouver un peu d'aura). En bref, quelques grands films, quelques films populaires importants qui avaient bien marché à leur sortie, et surtout une grande quantité de séries B d'honnêtes factures. John Wayne était la star privilégiée du studio : en effet, lors de sa fin de contrat chez Monogram en 1935, il accepta de tourner sous contrat avec Republic Pictures, qui n'était qu'un conglomérat de petites firmes de production (dont la Monogram), mis en chantier afin de concurrencer les Majors, en faisant ainsi cause commune et en bénéficiant dès lors de plus gros budgets. Quand Wayne est définitivement parti de la Republic, après moult mécontentements (dont un projet Alamo très personnel, que personne, et surtout pas Republic, ne voulait lui octroyer), mais aussi après un dernier film très onéreux qui a obtenu un très gros succès en salles (L'homme tranquille), la firme a très vite chuté, pour ensuite disparaitre des cinémas. Pour l'anecdote, John Ford avait très envie depuis un moment de faire L'homme tranquille, mais personne ne voulait financer un film que l'on jugeait alors peu fiable en termes de recettes (surtout que Ford était autant connu pour ses triomphes commerciaux que pour ses échecs). C'est alors que Wayne a "obligé" Republic à financer le projet, faisant pression sur le studio, arguant qu'il avait suffisamment rapporté d'argent à cette société pour que l'on puisse accepter cette requête de sa part. C'est comme cela que le film vit le jour, et inutile de préciser que Republic ne l'a pas regretté.
Curieusement, quand on regarde un film de cette société de production, c'est toujours l'aspect un peu suranné qui prédomine. Par exemple, comparé à n'importe quel western Warner, MGM, Fox, Paramount, Universal, ou même RKO (plus modernes, plus importants, indéniablement plus puissants), de l'époque, L'ange et le mauvais garçon possède cette patte un peu "passée", d'un autre temps. La trogne des acteurs, le grain de l'image, la façon de filmer (concrétisée la plupart du temps par les artisans de la maison), le rythme global, et les pures idées de série B (Wayne éteignant les lampes à toute vitesse et s'asseyant sur un siège, dans l'ombre, un revolver non chargé dans la main, bluffant devant ses mortels ennemis)... Même dans Tykoon, en dépit de son très important budget, on peut voir les transparences, les décors de studios ou encore les maquettes utilisées, que l'on voyait en général bien moins dans les films produits collatéralement par des firmes prestigieuses. Cela ne veut pas dire que les films sont mauvais, bien sûr que non, d'autant que j'adore certains d'entre eux, louant leurs qualités artistiques, surtout pour les films de Ford, mais simplement que la firme, même en utilisant des budgets ambitieux, laissait légèrement passer son identité première : celle d'une association de petites maisons de production qui fonctionnaient avec les moyens du bord. Curieux, charmant et sincère.
Enfin, à noter qu'en France, on ne doit la sortie en DVD de L'escadron noir qu'aux éditions Atlas en 2002, qui nous ont proposé une jolie copie, propre, relativement contrastée, évidemment nantie de sous-titres français, mais néanmoins aujourd'hui épuisée. Dans la même collection, ils nous ont également offert d'autres titres tout aussi difficiles à trouver aujourd'hui : La ruée sanglante (très jolie copie), Sacramento (idem), La belle de San Francisco (copie correcte, mais extrêmement granuleuse, trop d'ailleurs) et Le bagarreur du Kentucky (dans une ignoble colorisation, mais convertible en noir & blanc sur une TV, grâce à la télécommande, pour une copie au final assez propre). Jadis, Montparnasse avait pour sa part sorti plusieurs films Republic, encore une fois épuisés actuellement, et bien souvent proposés à des prix scandaleux sur le Net : L'homme tranquille (copie honnête et joliment saturée, mais le film mériterait bien mieux), Le réveil de la sorcière rouge (jolie copie aux tons noir & blanc très soignés), et Alerte aux marines (bonne copie). Sachant cela, je peux vous dire que j'ai jalousement gardé ces DVD toutes ces années, en en prenant grand soin.
Navré pour cette digression, mais je n'ai pas pu résisté à l'envie de le faire. Jeremy, j'espère que tu ne m'en voudras pas d'avoir un peu pollué ton topic.

Dernière modification par Julien Léonard le 6 mai 10, 11:19, modifié 1 fois.

- Jeremy Fox
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Re: Le Western Américain : Parcours chronologique
Mais au contraire, bien évidemment que tout le monde a le droit de s'exprimer sur ce topic comme ailleursJulien Léonard a écrit :
Navré pour cette digression, mais je n'ai pas pu résisté à l'envie de le faire. Jeremy, j'espère que tu ne m'en voudras pas d'avoir un peu pollué ton topic.

Moi aussi ai gardé ces DVD Atlas, le début de la collection ayant proposé des inédits intéressants dont surtout ce Walsh là. J'avais cependant fait l'impasse sur les Monogram libre de droit car là, c'était de la vraie arnaque.
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Re: Le Western Américain : Parcours chronologique
Une véritable arnaque, tu l'as dit ! D'autant que depuis, Alpa media a ressorti dans le commerce les six films Monogram qu'elle avait proposé en VO sous-titrée et noir & blanc : on peut aujourd'hui les trouver, neufs, pour un prix ridicule sur le Net. Quant aux cinq ou six titres qu'ils avaient proposés en version française colorisée (qui plus est, sans le choix de version originale), pour 15€ le titre, là nous pouvions carrément parler de petit scandale.

- Jeremy Fox
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The Return of Frank James

Le Retour de Frank James (The Return of Frank James, 1940) de Fritz Lang 20TH CENTURY FOX
Sortie USA : 16 Août 1940
Au vu de l’immense succès obtenu par le Jesse James d’Henry King, la Fox pensa immédiatement lui donner une suite ; comme quoi le phénomène n’est pas si récent même si à l’époque il était encore très rare. Il ne faudra aux spectateurs patienter qu’à peine un an et demi avant de pouvoir découvrir comment Frank James allait se venger des deux assassins de son frère. Chose assez inhabituelle, le film de Fritz Lang débute par la reprise de la séquence finale du précédent, à savoir celle du meurtre de Jesse.






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Re: Le Western Américain : Parcours chronologique
Effectivement, cela ne donne pas très envie... En ce moment, James Cagney est en train de devenir l'une de mes idoles les plus admirées, du coup je crois qu'il ne faudrait pas que je regarde ce film tout de suite, sous peine de prendre une mauvaise claque.Jeremy Fox a écrit :Avant d'aller retrouver les Daltons, autre petit retour en arrière sur l'année précédente avec The Oklahoma Kid qui, maintenant que je l'ai vu, peut attendre un peu avant de sortir en DVD chez Warner qui a peut-être autre chose de mieux à nous proposer


- Jeremy Fox
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Re: Le Western Américain : Parcours chronologique
Les deux acteurs ont aussi toute mon estime et mon admiration (ils m'ont épatés dans de très nombreux films) mais là, ils ont du s'être lancé le défi de rivaliser de médiocritéJulien Léonard a écrit : En ce moment, James Cagney est en train de devenir l'une de mes idoles les plus admirées, du coup je crois qu'il ne faudrait pas que je regarde ce film tout de suite, sous peine de prendre une mauvaise claque.Quant à Bogart, que j'adore tout autant, il n'était ici pas dans une période heureuse : entre ce film et The return of Dr X, on ne peut pas dire que ce soient des contre-emplois assurés avec bénéfice.

