Liste des BLU devenus illisibles (index page 1)

[Torrente]

En faire une sauvegarde (autrement dit le "ripper") tant qu'il est "frais".

J'étais sûr que quelqu'un dirait ça.

[Xav83]

En faire une sauvegarde (autrement dit le "ripper") tant qu'il est "frais".

Autant le télécharger sur le net dans ce cas-là.

ça va plus vite de le ripper (du moins dans mon cas) et on est sûr de ce que l'on a la sortie.

[Torrente]

Ça reste une grosse arnaque vraiment honteuse.
Et le commun des mortels n'a pas forcément le matos pour faire ça. C'est n'importe quoi depuis le début ce programme d'échange.
Si je pouvais tenir un responsable entre 4 yeux, rhaaaa je m'en donnerais à cœur joie à la flamme bien moyenâgeuse

[Driv3n]

(mon BR est l’édition simple avec fourreau de chez Pathée...

En boîte bleue ? (c'est pour trouver la date)

Mon bluray provient du coffret

[Commissaire Juve]

Mon bluray provient du coffret

Ouiii, mais encore ? J'ai un peu de mal à suivre (j'ai l'impression que cela remonte à quelque temps tout ça).

De quel film parles-tu ? Est-il arrivé un malheur au disque ? (que je voie ce que je dois indexer) Merci.

[Driv3n]

Mon bluray provient du coffret

Ouiii, mais encore ? J'ai un peu de mal à suivre (j'ai l'impression que cela remonte à quelque temps tout ça).
De quel film parles-tu ? Est-il arrivé un malheur au disque ? (que je voie ce que je dois indexer) Merci.

J'en sais rien moi !!

J'ai reçu la notif, j'ai répondu.
Non mon disque va très bien en plus...

[Torrente]

Le Blu-ray de quel film ???? Il y en a 3 dans ce coffret !!!

On parle de quoi ? Je ne suis plus du tout

[Bressonien]

Potiche (QOL) commence à faire un sale bruit sur mes deux lecteurs et de jaunir en son centre. Il passe encore mais ça sent pas bon pour lui non plus.

Est ce que quelqu'un a réussi à joindre Media logistique ? Tous mes mails restent sans réponse depuis 2 mois et pas possible de les joindre par tel, je commence à en avoir marre

[tenia]

J'avais du insister pour les avoir au téléphone. J'ai essayé 2 fois le matin, sans réussir, et puis ai réessayé dans l'après midi et ai réussi à les avoir du 2e coup.

Je me dis que toutes ces mésaventures devraient être compilées et envoyées chez 60M de consommateurs.

[Bressonien]

J'avais du insister pour les avoir au téléphone. J'ai essayé 2 fois le matin, sans réussir, et puis ai réessayé dans l'après midi et ai réussi à les avoir du 2e coup.

Je me dis que toutes ces mésaventures devraient être compilées et envoyées chez 60M de consommateurs.

Tout à fait d'accord, il faudrait faire une action groupée, sachant que les surprises ne vont pas s'arrêter là. La personne que j'ai eu au téléphone m'a dit que ce n'était pas son service qui gérait ça et que le seul moyen de les joindre était par mail.

[tenia]

La personne que j'ai eu au téléphone m'a dit que ce n'était pas son service qui gérait ça et que le seul moyen de les joindre était par mail.

Quel bordel. Moi, j'ai eu le standard au téléphone qui m'a renvoyé vers la personne s'occupant des "disques défectueux", et mon interlocutrice, même si on imagine qu'elle ne s'en occupait pas directement, semblait parfaitement au fait.

[Xav83]

60 Millions est déjà au courant (du moins au début du problème, mais bon on a réussi à faire croire que c'était une petite liste de 20 titres uniquement)

https://www.60millions-mag.com/2015/02/ ... ourir-7981

je publie à nouveau le lien de notre avant dernier article. Vous comprendrez pourquoi ça devient compliqué:

http://bluraydefectueux.com/2019/02/20/ ... rocedures/

(je reçois de temps à autre la Newsletter de ML, ils sont concentrés actuellement sur le pressage de vinyles...)

[vivaldi21]

Je profite du post de Xav pour préciser certains points en prenant du recul.

1. Pour 60 millions, c'est votre serviteur qui les avait alertés en 2015, et l'article est basé sur une conversation tél. que j'avais eue avec le rédac. chef adjoint. Je l'avais recontacté un an après pour lui dire que ça ne s'arrangeait pas, mais il m'avait (gentiment) fait comprendre qu'ils avaient plein d'autres dossiers à traiter et que le BD n'était pas une priorité.

2. J'ai eu il y a 2 ans un autre contact avec une personne "haut placée" et connaissant bien le problème. J'en retiens:
- qu'ils ne savent pas vraiment d'où vient le problème.
- que pour le circonscrire, et probablement de bonne foi, ils ont pensé à la résine et proposé des échanges, QOL servant de bouc émissaire pour la profession. D'autant que Laurent VILLAUME, ex patron de QOL et actuel dirigeant de Media Industry, est aussi Président de blu ray Partners France. Disons que QOL est monté au créneau pour la profession et que ça arrangeait tout le monde.
- qu'ils pensaient que ça s'éteindrait rapidement.

Je pense donc que les professionnels ne se sont jamais organisés sur le long terme et sont un peu pris de court. Dès lors, il ses dégage plusieurs attitudes:

- les employés QOL-MI font ce qu'il peuvent, sans avoir d'instructions précises.
-les autres presseurs et beaucoup d'éditeurs font le mort (ne répondent pas ou"voyez avec QOL-MI")
-quelques éditeurs consciencieux (Wild Side, Arte, ..) pensent plus au client et essaient de résoudre les cas qui leurs sont soumis.

3. Sachez aussi que la profession s'est renseignée auprès de la DGCCRF (direction de la concurrence, de la consommation, etc …) qui leur aurait confirmé que le BD est un bien de consommation courante, et que par là même, et par nature, il n'est pas durable dans le temps. Eh oui … On pourra toujours penser que la DGCCRF répond en fonction de ce que lui demande son interlocuteur, et qu'en les questionnant de notre point de vue, la réponse pourrait être différente, il n'empêche que … C'est d'ailleurs l'argument qu'a employé Pathé par au moins 2 fois en répondant à des consommateurs qu'il existait une "usure naturelle" du produit.

4. Ne soyons pas naïfs. Nous raisonnons d'homme à homme ( "à qui m'adresser pour échanger mon BD?"), mais n'oublions pas que nous avons face à nous une profession et des intérêts financiers (Blu ray Partners = une trentaine d'éditeurs, presseurs, fabricants de matériel électronique) qui jamais ne reconnaîtront qu'il peut y avoir un problème plus global avec les BD. Et ils on bien d'autres choses à faire pour faire fructifier leurs industries. Je serais le premier à signer sur une action de groupe. Mais sur quelles bases, avec quels arguments ? Juridiquement, nous ne pesons pas lourd …

En souhaitant vous avoir un peu éclairés sur le contexte, à suivre !

[Torrente]

ils sont concentrés actuellement sur le pressage de vinyles...

A quand la production de Laserdisc ? Ils devraient aimer ça... c'est un format qui ROT aussi

Spoiler (cliquez pour afficher)

Je profite du post de Xav pour préciser certains points en prenant du recul.

1. Pour 60 millions, c'est votre serviteur qui les avait alertés en 2015, et l'article est basé sur une conversation tél. que j'avais eue avec le rédac. chef adjoint. Je l'avais recontacté un an après pour lui dire que ça ne s'arrangeait pas, mais il m'avait (gentiment) fait comprendre qu'ils avaient plein d'autres dossiers à traiter et que le BD n'était pas une priorité.

2. J'ai eu il y a 2 ans un autre contact avec une personne "haut placée" et connaissant bien le problème. J'en retiens:
- qu'ils ne savent pas vraiment d'où vient le problème.
- que pour le circonscrire, et probablement de bonne foi, ils ont pensé à la résine et proposé des échanges, QOL servant de bouc émissaire pour la profession. D'autant que Laurent VILLAUME, ex patron de QOL et actuel dirigeant de Media Industry, est aussi Président de blu ray Partners France. Disons que QOL est monté au créneau pour la profession et que ça arrangeait tout le monde.
- qu'ils pensaient que ça s'éteindrait rapidement.

Je pense donc que les professionnels ne se sont jamais organisés sur le long terme et sont un peu pris de court. Dès lors, il ses dégage plusieurs attitudes:

- les employés QOL-MI font ce qu'il peuvent, sans avoir d'instructions précises.
-les autres presseurs et beaucoup d'éditeurs font le mort (ne répondent pas ou"voyez avec QOL-MI")
-quelques éditeurs consciencieux (Wild Side, Arte, ..) pensent plus au client et essaient de résoudre les cas qui leurs sont soumis.

3. Sachez aussi que la profession s'est renseignée auprès de la DGCCRF (direction de la concurrence, de la consommation, etc …) qui leur aurait confirmé que le BD est un bien de consommation courante, et que par là même, et par nature, il n'est pas durable dans le temps. Eh oui … On pourra toujours penser que la DGCCRF répond en fonction de ce que lui demande son interlocuteur, et qu'en les questionnant de notre point de vue, la réponse pourrait être différente, il n'empêche que … C'est d'ailleurs l'argument qu'a employé Pathé par au moins 2 fois en répondant à des consommateurs qu'il existait une "usure naturelle" du produit.

4. Ne soyons pas naïfs. Nous raisonnons d'homme à homme ( "à qui m'adresser pour échanger mon BD?"), mais n'oublions pas que nous avons face à nous une profession et des intérêts financiers (Blu ray Partners = une trentaine d'éditeurs, presseurs, fabricants de matériel électronique) qui jamais ne reconnaîtront qu'il peut y avoir un problème plus global avec les BD. Et ils on bien d'autres choses à faire pour faire fructifier leurs industries. Je serais le premier à signer sur une action de groupe. Mais sur quelles bases, avec quels arguments ? Juridiquement, nous ne pesons pas lourd …

En souhaitant vous avoir un peu éclairés sur le contexte, à suivre !

Limpide. Merci !

[Commissaire Juve]

Spoiler (cliquez pour afficher)

Je profite du post de Xav pour préciser certains points en prenant du recul.

1. Pour 60 millions, c'est votre serviteur qui les avait alertés en 2015, et l'article est basé sur une conversation tél. que j'avais eue avec le rédac. chef adjoint. Je l'avais recontacté un an après pour lui dire que ça ne s'arrangeait pas, mais il m'avait (gentiment) fait comprendre qu'ils avaient plein d'autres dossiers à traiter et que le BD n'était pas une priorité.

2. J'ai eu il y a 2 ans un autre contact avec une personne "haut placée" et connaissant bien le problème. J'en retiens:
- qu'ils ne savent pas vraiment d'où vient le problème.
- que pour le circonscrire, et probablement de bonne foi, ils ont pensé à la résine et proposé des échanges, QOL servant de bouc émissaire pour la profession. D'autant que Laurent VILLAUME, ex patron de QOL et actuel dirigeant de Media Industry, est aussi Président de blu ray Partners France. Disons que QOL est monté au créneau pour la profession et que ça arrangeait tout le monde.
- qu'ils pensaient que ça s'éteindrait rapidement.

Je pense donc que les professionnels ne se sont jamais organisés sur le long terme et sont un peu pris de court. Dès lors, il ses dégage plusieurs attitudes:

- les employés QOL-MI font ce qu'il peuvent, sans avoir d'instructions précises.
-les autres presseurs et beaucoup d'éditeurs font le mort (ne répondent pas ou"voyez avec QOL-MI")
-quelques éditeurs consciencieux (Wild Side, Arte, ..) pensent plus au client et essaient de résoudre les cas qui leurs sont soumis.

3. Sachez aussi que la profession s'est renseignée auprès de la DGCCRF (direction de la concurrence, de la consommation, etc …) qui leur aurait confirmé que le BD est un bien de consommation courante, et que par là même, et par nature, il n'est pas durable dans le temps. Eh oui … On pourra toujours penser que la DGCCRF répond en fonction de ce que lui demande son interlocuteur, et qu'en les questionnant de notre point de vue, la réponse pourrait être différente, il n'empêche que … C'est d'ailleurs l'argument qu'a employé Pathé par au moins 2 fois en répondant à des consommateurs qu'il existait une "usure naturelle" du produit.

4. Ne soyons pas naïfs. Nous raisonnons d'homme à homme ( "à qui m'adresser pour échanger mon BD?"), mais n'oublions pas que nous avons face à nous une profession et des intérêts financiers (Blu ray Partners = une trentaine d'éditeurs, presseurs, fabricants de matériel électronique) qui jamais ne reconnaîtront qu'il peut y avoir un problème plus global avec les BD. Et ils on bien d'autres choses à faire pour faire fructifier leurs industries. Je serais le premier à signer sur une action de groupe. Mais sur quelles bases, avec quels arguments ? Juridiquement, nous ne pesons pas lourd …

En souhaitant vous avoir un peu éclairés sur le contexte, à suivre !

Limpide. Merci !

Très intéressant. Surtout les points 3 & 4. Quel panier de crabes !

On devrait tous arrêter d'acheter et retourner au cinéma.