Dvdclassik : cinéma et DVD

VERS UN AVENIR RADIEUX : 6,5/10

MISSION : IMPOSSIBLE - DEAD RECKONING 1ÈRE PARTIE : 4/10

MASTER GARDENER : 6/10

Les Herbes sèches, Nuri Bilge Ceylan : 9/10.

Alexandre Angel a écrit : ↑18 juil. 23, 22:39 C'est aussi que baiser avec un mec qui a des croix gammées et des têtes de mort comme tatouages de part et d'autres du torse, faut beaucoup d'abnégation.

C'est justement tout l'intérêt du film : ce dilemme moral qui fait que, malgré ce passé disons "trouble" et ce corps portant encore les stigmates d'une idéologie disons "pas ouf" (c'est juste pour faire marrer tenia que je dis ça, rassurez-vous ), elle puisse être attirée par un type pareil...qui reste tout de même un bon gars, dans le fond (avant de découvrir ce qu'il cache, je me suis immédiatement attaché à lui...et c'est pile ce qui est arrivé aussi au personnage de Maya). Il cherche à s'en sortir, lui jure que ce n'est plus le même homme, et j'ai bien envie de le croire.

Mais parlons un peu de cinéma. De VRAI cinéma :

The Flash : 4/10

Spoiler (cliquez pour afficher)

Si ce n’est pas la catastrophe industrielle annoncée un peu partout (on est tout de même loin du Justice League version Whedon…voire du Justice League de Snyder, tout aussi mal branlée), on est quand même face à un foutoir pas possible qui semble ne pas très bien savoir ce qu’il fait ni ce qu’il raconte.

Pourtant, je me suis surpris a plutôt apprécier les 45 premières minutes, particulièrement ludiques en terme de complexes spatio-temporels faisant de gros clins d’œil à Retour vers le Futur (plus qu’un simple clin d’œil au bout d’un moment, le film de Zemeckis étant littéralement cité à plusieurs reprises…mais avec un twist que j’avoue avoir trouvé assez marrant).
Et puis il y a l’apparition du Batman version 1989, et là j’avoue : revoir la Batmobile et la Batwing de l’époque, et bien sûr mon Michael Keaton adoré réendosser le costume (à ce jour toujours le plus classe de tous), avec le thème original d’Elfman qui se déploie en fond sonore…ben ouais, ça m’a foutu une légère banane (mon Dieu : serais-je un geek nostalgique ?!).
Après, ça se corse un peu. Avec encore et toujours ces scènes de fights beaucoup trop longues dont je n’ai que foutre, et surtout ces vannes omniprésentes qui font mouche à peu près 1 fois 8. Parce que déjà que se taper un seul Ezra Miller, c’est compliqué ; mais alors DEUX Ezra Miller, dont une version encore plus teubé et bavarde que l’autre, c’est au-delà de compliqué. Quasi de la torture guantanamesque, à ce niveau-là.

Mais il va évidemment falloir parler de "The Elephant in the Room" (non je ne parle pas de Jason Momoa qui a l’air encore plus gros que d’habitude) : les effets spéciaux.
Je crois sans exagérer qu’il s’agit là des CGI les plus atroces que j’ai vus de ma vie dans n’importe quel blockbuster de n’importe quelle décennie. C’est invraisemblable d’en arriver à un point pareil, de mettre tranquillou ce produit fini en circulation, alors que clairement, il n’est pas fini.

Muschietti aurait apparemment tenté d’expliquer que les designs immondes des personnages apparaissant dans la boule multiverse (incapable de me rappeler comment il est supposé s’appeler, ce machin-là) étaient fait exprès. Ok soit. Mais tout le reste est aussi immonde ! Comment tu l’expliques ça, Andy ? Hein ?
Que ce soit les fonds verts, les doublures numériques, les deepfakes, les incrustations, il n’y a absolument rien qui va. Tout est foireux. À un tel point que c’en devient presque fascinant, d’assister à un tel déluge d’horreurs visuelles qui enfonce définitivement l’univers DC dans les abysses de la laideur.
Les cameos finaux ne sont alors qu’une sorte de feux d’artifices orgasmiques de mauvais goût, où plus personne n’en a quoique ce soit à branler. J’ai eu peur de vérifier sur le moment, mais je crois bien avoir eu les yeux qui saignaient en mode Lucio Fulci.
Donc ce serait mentir de dire que j’ai trouvé ça nul ; en revanche ce qui est sûr, c’est que c’est l’un (le ?) des films à gros budgets les plus authentiquement moches que j’ai vus de ma vie. Belle perf !

PS : j’ai tout de même oublier de parler du score de Benjamin Wallfish, qui est à peu près le seul à s’en tirer avec les honneurs grâce à un score symphonique à l’ancienne et super punchy.

Flol a écrit : ↑19 juil. 23, 11:43

Alexandre Angel a écrit : ↑18 juil. 23, 22:39 C'est aussi que baiser avec un mec qui a des croix gammées et des têtes de mort comme tatouages de part et d'autres du torse, faut beaucoup d'abnégation.

C'est justement tout l'intérêt du film : ce dilemme moral qui fait que, malgré ce passé disons "trouble" et ce corps portant encore les stigmates d'une idéologie disons "pas ouf" (c'est juste pour faire marrer tenia que je dis ça, rassurez-vous ), elle puisse être attirée par un type pareil...qui reste tout de même un bon gars, dans le fond (avant de découvrir ce qu'il cache, je me suis immédiatement attaché à lui...et c'est pile ce qui est arrivé aussi au personnage de Maya). Il cherche à s'en sortir, lui jure que ce n'est plus le même homme, et j'ai bien envie de le croire.

On a bien envie de le croire mais le procédé est un tantinet malhonnête : les flash-backs sur le passé criminel de Narvel à l'époque où il s'appelait Navrel sont un peu légers : a la limite, il aurait fallu ne rien montrer et suggérer des trucs terribles par le dialogue.
On a un peu trop envie de croire que c'est un bon gars.

Mais bon, j'ai mis une note encore meilleure que la tienne donc je crois bien que j'ai ce film à la bonne.

Hop hop hop !
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Je m'en occupe!

MISSION IMPOSSIBLE : DEAD RECKONING - Partie 1 : 7,5/10
Je pensais aller le voir le WE prochain au retour des vacances, mais finalement je n’ai pas pu résister à une séance en VO dinardaise !
Beaucoup aimé le scénario qui paraît tellement d’actualité (même si on dira que l’IA en tant que bad guy est du déjà vu), les scènes de dialogues m’ont paru extrêmement tendues et donc très réussies.
L’afflux féminin notable dans le casting est un délice, que ce soit Hayley Atwell que je ne crois jamais avoir vu aussi impressionnante, ou Pom Klementieff qui est parfaite en henchwoman.
La durée de 2h43 n’est franchement pas un souci, on n’a pas vu le temps passer.
Pour ce qui concerne les scènes d’action, ma préférence va à la partie romaine, l’humour fonctionnant parfaitement sur ce segment.
Le dernier segment dans le train est également impressionnant et réussi, même si un peu gêné par le nombre de fonds verts (sur les fenêtres du train et dans le fond des wagons à la verticale) que la saga tente d’éviter à tout prix.
In fine un excellent volet, peut-être même le meilleur avec le 4ème (pour rappel je n’ai jamais accroché au 1er malgré le nombre de chances que j’ai pu lui donner), à confirmer après un nouveau visionnage.

Sous le tapis : 6/10

La tête dans les étoiles :3/10

En plein feu / Quentin Reynaud _ 6

La maison du mal 5/10

Oppenheimer 6/10 Il faut s'accrocher,la 1ère heure est confuse inintéressante au possible,ça s'améliore assez nettement par la suite,un film trop long et trop déséquilibré cependant c'est ce que Nolan a fait de mieux pour moi après l'insurpassable"Interstellar".

Barbie : 7/10

Sabotage (6/10)