Dvdclassik : cinéma et DVD

T’as cassé la tirelire là !

A force de ne suivre quasiment que les promos, j'avais laissé trop de films de côtés dans ma liste. J'ai donc décidé de rattraper un peu tout ça.
Et comme il va falloir que j'investisse dans les UHD pour faire plaisir au nouveau projecteur 4K, je me suis dit que le banquier ne verrait pas la différence avec quelques titres en plus.

Bon quitte à craquer, autant y aller franchement, je rajoute donc ceux-ci :

Attention au phénomène "gueule de bois", demain.

Ils étaient prévus de longue date et budgétés (déformation professionnelle), donc ça devrait bien se passer pour la gueule de bois.
Et j'ai l'avantage d'être à jour dans mes visionnages donc je devrais aussi éviter le phénomène d'accumulation. C'est d'ailleurs mon garde-fou : si j'ai trop de retard dans le visionnage, je stoppe les achats.

Prolls a écrit : ↑14 mai 22, 20:38 si j'ai trop de retard dans le visionnage, je stoppe les achats.

Vu le système actuel, c'est une méthode que je ne me vois pas appliquer sans le regretter amèrement, avec tout ce qui sort et qui est tellement limité que dépasser la fenêtre de tir équivaut à payer le triple 2 mois après, mais j'aimerais être capable de faire comme toi.

Ca marche surtout parce que le confinement m'a permis de rattraper mon retard et d'être maintenant à jour.
Je suis assez d'accord avec toi sur le système actuel mais il y a généralement moins de nouveautés qui m'intéressent que ma quantité de visionnages hebdomadaires.
Et j'essaie de faire le tri entre ce qui devrait se retrouver dans les promos et le reste qui a des chances d'être en rupture, même si bien sûr j'ai des loupés car je m'intéresse à certains films un peu tard.

pat'

Enfin une belle édition pour The Hireling/La Méprise d'Alan Bridges.
Robert Shaw amoureux ?? Ben si, ça existe, même si évidemment sa position de chauffeur de la lady (Sarah Miles dans l'un de ses premiers rôles) ne va pas l'aider à se crédibiliser, surtout qu'elle, très consciente de sa position sociale, va se confier lors d'un moment de détresse, mais ...il ne faut pas abuser quand même.
C'est adapté d'un bouquin de L.P Hartley, auteur également du Messager adapté par Losey.
Merci ESC, Frédéric Albert Lévy pour l'analyse de séquence ...et à l'indéboulonnable Marc Toulec pour le livret.

Ce film a remporté la palme d'or à Cannes en 1973, ex æquo avec L'Epouvantail de Schatzberg, mais a vite été oublié ensuite. Il y avait aussi La Grande Bouffe en compétition cette année là mais .... le film avait provoqué des "haut-le-coeur" (dixit) à cette pauvre Ingrid Bergman, alors présidente du jury.
Il y avait aussi, hors compétition et à la quinzaine: La Nuit Américaine et Aguirre...

On ne l’arrêtera plus !