L'Étudiante (Claude Pinoteau, 1988)
Comme les deux Boum, j'aime bien. Petit plaisir coupable. Je ne sais pas si je devrais avoir honte mais j'aime bien, même si je suis conscient que ce n'est pas extraordinaire. Les 80's, la beauté juvénile de Sophie Marceau, la chanson guimauve de Karoline Kruger, la Sorbonne, la drôlerie inoffensive de l'ensemble, et le truc en plus par rapport à mes précédentes révisions : le fait que je sois maintenant dans la même situation que le personnage féminin ! Sauf que contrairement à elle, je me tôlerai à l'agreg', je n'aurai même pas l'insigne honneur de composer à l'oral dans un amphi de la Sorbonne, et je resterai désespérément célibataire à la fin de l'année. (j'écris comme tenia, moi, maintenant ).
Demi-Lune a écrit :L'Étudiante (Claude Pinoteau, 1988)
Comme les deux Boum, j'aime bien. Petit plaisir coupable. Je ne sais pas si je devrais avoir honte mais j'aime bien, même si je suis conscient que ce n'est pas extraordinaire. Les 80's, la beauté juvénile de Sophie Marceau, la chanson guimauve de Karoline Kruger, la Sorbonne, la drôlerie inoffensive de l'ensemble, et le truc en plus par rapport à mes précédentes révisions : le fait que je sois maintenant dans la même situation que le personnage féminin ! Sauf que contrairement à elle, je me tôlerai à l'agreg', je n'aurai même pas l'insigne honneur de composer à l'oral dans un amphi de la Sorbonne, et je resterai désespérément célibataire à la fin de l'année. (j'écris comme tenia, moi, maintenant ).
Le gros plus de ce film, c'est sa musique!
Du grand Vladimir Cosma
Je me demande si le film du mois de Ratatouille n'est pas un meilleur film
Demi-Lune a écrit :L'Étudiante (Claude Pinoteau, 1988)
Comme les deux Boum, j'aime bien. Petit plaisir coupable. Je ne sais pas si je devrais avoir honte mais j'aime bien, même si je suis conscient que ce n'est pas extraordinaire. Les 80's, la beauté juvénile de Sophie Marceau, la chanson guimauve de Karoline Kruger, la Sorbonne, la drôlerie inoffensive de l'ensemble, et le truc en plus par rapport à mes précédentes révisions : le fait que je sois maintenant dans la même situation que le personnage féminin ! Sauf que contrairement à elle, je me tôlerai à l'agreg', je n'aurai même pas l'insigne honneur de composer à l'oral dans un amphi de la Sorbonne, et je resterai désespérément célibataire à la fin de l'année. (j'écris comme tenia, moi, maintenant ).
Le gros plus de ce film, c'est sa musique!
Du grand Vladimir Cosma
Je me demande si le film du mois de Ratatouille n'est pas un meilleur film
Ah oui mais là c'est pas du jeu, c'est le "thème" composé par le personnage de Lindon qu'on entend.
Demi-Lune a écrit :L'Étudiante (Claude Pinoteau, 1988)
Sauf que contrairement à elle, je me tôlerai à l'agreg', je n'aurai même pas l'insigne honneur de composer à l'oral dans un amphi de la Sorbonne, et je resterai désespérément célibataire à la fin de l'année. (j'écris comme tenia, moi, maintenant ).
Vincent Lindon traine toujours du côté de la Sorbonne, tu peux tenter ta chance !
Harry Potter à l'école des sorciers (Chris Colombus, 2001)
Bien que n'étant pas grand amateur de la saga, je trouve que ce premier épisode n'est pas désagréable, et est même l'un des plus réussis. Il a l'avantage d'introduire les différents personnages et l'univers avec une fraîcheur, une légèreté naïve et un esprit familial qui iront décroissants par la suite. Bien que l'histoire ne ménage finalement que peu de rebondissements et soit même assez plate, cette introduction permet en toute logique de poser tranquillement les bases de l'édifice à venir, d'explorer les beaux décors, de découvrir les personnalités des héros, avec une tonalité insouciante qui va de paire avec l'âge des comédiens. On sent que le film est clairement appréhendé comme un divertissement familial féérique - bien avant les teintes verdâtres dégueulasses et les prises de tête adolescentes insipides à venir -, et le choix de Chris Colombus pour diriger la chose n'est peut-être pas idiot dans la mesure où, même s'il n'est pas un grand cinéaste, son apprentissage dans l'écurie Spielberg durant les années 1980 lui a fait acquérir une forme de savoir-faire modeste et efficace, qu'il met à l'œuvre ici. J'ai souvent eu l'impression de regarder une sorte de production Amblin' échouée sur les berges des années 2000, impression sans doute confortée par la partition de John Williams. Le résultat ne se révèle pas aussi satisfaisant que la comparaison, mais demeure encore relativement distrayant.
Demi-Lune a écrit :L'Étudiante (Claude Pinoteau, 1988)
Sauf que contrairement à elle, je me tôlerai à l'agreg', je n'aurai même pas l'insigne honneur de composer à l'oral dans un amphi de la Sorbonne, et je resterai désespérément célibataire à la fin de l'année. (j'écris comme tenia, moi, maintenant ).
Vincent Lindon traine toujours du côté de la Sorbonne, tu peux tenter ta chance !
Désolé pour Vincent, moi je suis plus branché pour Sophie.