Dvdclassik : cinéma et DVD

-Aicha : 8/10
-The Phoenician scheme : 6/10
-La venue du futur : 7/10
-Moi, ma mère et les autres : 5,5/10
-Ce n'est qu'un au revoir : 8/10
-Black Bag : 6/10
-Little Jaffna : 4/10

A Desert : 7/10

Bernie : 6/10

Apprendre (6/10)

Mission Impossible : The Final Reckoning : 6.5/10

Malgré quelques excellentes séquences (comme celle inaugurale de l'aéroport d'Abu Dhabi, l'intense poursuite automobile dans les rues de Rome ou encore le dernier segment du chassé-croisé dans l'Orient-Express) et l'arrivée tout feu tout charme de Hayley Atwell, j'avais déjà réévalué à la baisse le précédent opus revisionné ce week-end et je dois avouer que cette pseudo conclusion se situe encore un cran en-dessous. La faute à une entrée en matière destinée à raccrocher les wagons proprement in-ter-mi-na-ble qui a bien failli avoir raison de moi. Heureusement, comme déjà évoqué par d'autres membres, la scène du sous-marin dans l'Arctique Nord permet enfin à ce 8ème épisode d'exploser tous les compteurs (je suis très curieux de savoir comment tout ça a été tourné). À partir de là, quand bien même la franchise flirte désormais de plus en plus souvent avec l'invraisemblable, le film assure correctement le show pour peu donc qu'on ne soit pas trop, trop exigeant. À titre d'exemple, je trouve entre autres que le Gabriel incarné par Esai Morales a vraiment des allures de méchant d'opérette. Rayon personnages d'ailleurs, et je crois que ça a été pointé du doigt par certains, la place accordée aux autres membres de la team IMF m'a semblé également assez réduite dans cette suite (le personnage de Pom Klementieff, qui ne se prénomme pas Paris pour rien, est juste là ça se confirme pour apporter une petite touche d'exotisme en amenant Cruise et Simon Pegg à parler français #tropbien). Reste que la toute fin, avec le message posthume enregistré par Luther à l'adresse de notre sauveur de l'humanité préféré, m'a limite ému. Après je ne sais pas ce que l'ami Tommy, qui commence à avoir les traits tirés, a en tête pour le futur de sa saga à lui et rien qu'à lui mais il va bien falloir qu'à un moment tout ne repose pas sur ses prouesses de cascadeur, même s'il en a encore dans le coffre.

shubby a écrit : ↑30 mai 25, 00:27 Sinners : 4/10 edit note revue à la baisse.

A boire et à manger. Film masala, un peu. Scenario brouillon. Passages musicaux sympas. Gros pompage d'une nuit en enfer. Les paysages en fond vert, je peux plus. Ça sent le renfermé. Façon soleil vert on me colle ça ad nauseum jusqu'à ce que mon coeur lâche j'ai l'impression.
Les claquettes irlandaises m'ont un peu sauvé le film. Le vilain vampire aussi. MB Jordan en kéké ++ return of the mac j'ai vraiment du mal. En fait, entre le kkk et le kéké, je vote suceurs de sang. Ils ont la classe ici.

La venue de l'avenir : 8,5 /10

Klapisch se distingue des autres réals français contemporains, en tout cas ce qui me concerne, par le sens du rythme qu'il arrive à donner à ses longs métrages, alors même que ses scénarios sont rarement complexes ou même denses.
Dans celui-ci, encore une fois le scénario n'est pas tourbillonnant, certes, mais on ne s'ennuie pas, et on apprécie les deux époques entrelaçées, surtout parce que le réalisateur se sert des évènements racontés au XIXème pour dire quelque chose de notre société contemporaine, que ce soit sur nos liens avec le passé, notre vision des innovations technologiques, des choix faits par tout un chacun, notre définition de l'art, etc. Et ce quelque chose est, à rebours des rengaines déprimantes, un motif d'espoir pour l'avenir, plein de cet humanisme cher à Klapisch, teinté d'humour et d'utopisme. Naïf ? Sans doute, mais sans une forme de naïveté on se laisse vite envahir par la noirceur, surtout en ce moment !

Jouer avec le feu : 6/0

Jeunes mères

Le film a bien failli me laisser sur le bord. Après 20 minutes de séance, j'en avais marre de cet empilement de difficultés sociales qui se présentaient à l'écran avec pour prénom Ariane, Perla, Jessica et les autres. Bien que sensibilisé depuis quelques années au cinéma social des frères Dardenne, je me voyais mal tenir encore 1h30 face à des difficultés sociales que j'imaginais grandissantes au fur et à mesure de l'avancée du film et qu'à cet instant je trouvais déjà gigantesques. Qu'allaient bien pouvoir dire les deux belges pendant le temps qui restait ?? Et puis, la magie a opéré petit à petit, le réalisme social des frangins a fonctionné, grâce à quelques scènes toutes en retenues qui amorcent un lent changement de cap pour certaines protagonistes, grâce surtout à ce qui est dit et de la façon dont c'est dit, et ce qu'on ne voit pas, bref grâce au professionnalisme des réalisateurs pour faire exister leurs personnages et leurs péripéties. A la fin, Jessica entre dans l'atelier de sa mère pour donner le sein à sa fille, nous (spectateurs) n'y entrons pas, mais une forme de soulagement s'installe chez moi quant au destin de la jeune mère. Rien n'est encore gagné pour Jessica dans sa lutte contre la reproduction des schémas familiaux, mais les frères Dardenne, eux, ont réussi leur pari.

8,5 / 10

-Balle Perdue 3:

Moins d'action que dans le 2, quelques cascades toujours aussi efficaces, des passages nanardesques avec la dépanneuse customisée, un Alban Lenoir ce coup-ci en roue libre avec comme seule expression la tête renfrogné d'un homme des cavernes, Lanvin qui nous fait son éternel numéro du type taciturne, un scénario toujours aussi moisi, n'en jetons plus vivement le 4.

2/10

ShadowOfAngelus a écrit : ↑4 juin 25, 00:52 Jouer avec le feu : 6/0

Jeunes mères : 7.5/10

Cloud (4/10)

Chime 7,5/10
Une réussite, et j'adore la durée moyen métrage.

Tina Quintero a écrit : ↑4 juin 25, 13:49 Cloud 7,5/10
Une réussite, et j'adore la durée moyen métrage.

Tu parles de Chime plutôt, non ?