Errol Flynn (1909-1959)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Cathy
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Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Cathy »

Footsteps in the Dark, Des pas dans la nuit (1941) - Lloyd Bacon

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Un conseiller financier écrit sous un pseudonyme un roman policier à succès. Un de ses clients meurt mystérieusement, il décide de mener l'enquête.

Lloyd Bacon réalise une fort sympathique comédie policière. Curieusement le film commence par un générique qui semble annoncer quelque film policier bien noir, mais très vite l'ambiance se détend et on découvre qui sont réellement ces deux mystérieux hommes. Le film est donc un policier très typique de cette époque avec cette ambiance noire de crime, de night club, de chanteuse légère mais aussi de comédie avec ce mari qui devient un texan ridicule qui additionne les "yep", porte son stetson ou un enquêteur plein de flair. Il y a tous les ingrédients réunis aux deux genres policiers et comédie comme les retours nocturnes du mari, les déjeuners avec sa femme et sa belle-mère. Errol Flynn est magistral dans ce registre de la comédie où il est plus méconnu, l'aventurier de tout genre est plus son genre de prédilection, il y aussi Ralph Bellamy en dentiste inquiétant ou Brenda Marshall charmante épouse, sans oublier Lucile Watson délicieuse belle-mère. Ce film méconnu est vraiment agréable et mérite le coup d'oeil !
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Julien Léonard
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Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Julien Léonard »

J’hésitais, mais avec ton avis, j'ai tranché : je le regarde demain soir ! :D
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Julien Léonard
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Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Julien Léonard »

Footsteps in the dark (Des pas dans la nuit) - Réalisé par Lloyd Bacon / 1941 :

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La Warner offre un rôle différent à Errol Flynn. Il ne sera pas ici un valeureux cow-boy, un officier de l'armée, un capitaine de navire, bref, un aventurier dans l'âme (ce qu'il incarne à la perfection)... Il sera un homme d'affaire ayant une double vie. D'un côté, business-man respecté, membre d'un club de riches, marié à la plus aimante des femmes. De l'autre, un romancier spécialisé en polars à succès, détective privé à ses heures. Pour ne pas troubler sa femme qu'il aime éperdument et faire fuir sa belle mère envahissante, Flynn doit constamment déployer des trésors d'inventivité pour ne rien révéler. Dans la haute société, on ne badine pas avec les bas fonds et l'on n'écrit pas des inepties policières...

Lloyd Bacon, en bon stakhanoviste de la Warner, réalise solidement le tout, avec montage typique de la firme (encore une fois) et intrigue à tiroirs dont il faudra bien s'extirper dans les dernières minutes afin de désigner le meurtrier. Footsteps in the dark prétend sans doute également concurrencer la série The thin man, produite par la MGM, avec en vedettes William Powell et Myrna Loy. L'avantage est largement au second, même en ne gardant qu'un seul des six films. Bien simple, d'abord parce que William Powell est le meilleur dans son genre (détective canaille, politiquement incorrect), ensuite parce que Myrna Loy est tellement séduisante et fraîche dans son jeu qu'elle est aussi la meilleure, puis parce que le romantisme du couple l'est bien plus que celui de Flynn et Marshall, et enfin parce que techniquement on ne joue pas dans la même cour non plus (la plupart du temps). Cependant, ce "Flynn" très original est une réussite. L'acteur confirme son grand talent pour la comédie (après l'excellent Four's a crowd de Curtiz), à la réplique souple et à l'allure fière. Dommage qu'il n'ait pas eu davantage d'opportunités avec ce style de films. Après L'aigle des mers, Brenda Marshall revient à ses côtés. Une bien jolie actrice, au jeu solide, mais finalement assez discrète pour permettre à Flynn de dévoiler tout son abattage. On regrette encore une fois l'absence de Olivia De Havilland. La distribution est dans l'ensemble très bonne, notamment avec un Alan Hale dont c'est un euphémisme de dire qu'il est formidable de le retrouver à chaque fois. Ralph Bellamy fait du remplissage, sous exploité. On le voit, c'est l'essentiel.

Une très agréable comédie policière, aux relents de film noir (on croise un peu les influences de films comme Le faucon Maltais), bien dosée, avec quelques séquences d'anthologie (Flynn imitant un texan, avec un gros accent à mourir de rire) et un acteur au top niveau, comme d'habitude à cette époque.
Dernière modification par Julien Léonard le 2 nov. 10, 21:11, modifié 1 fois.
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Cathy
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Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Cathy »

Ceci étant la parenté avec l'introuvable est quand même limitée. Peut-être la fin laisse envisager que
Spoiler (cliquez pour afficher)
la femme se joigne à son mari pour mener l'enquête
mais dans l'ensemble c'est plus une enquête solitaire, avec une forme de détective "à la Agatha Christie" quelque part, qu'à la William Chandler :) !
Julien Léonard
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Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Julien Léonard »

Cathy a écrit :Ceci étant la parenté avec l'introuvable est quand même limitée. Peut-être la fin laisse envisager que
Spoiler (cliquez pour afficher)
la femme se joigne à son mari pour mener l'enquête
mais dans l'ensemble c'est plus une enquête solitaire, avec une forme de détective "à la Agatha Christie" quelque part, qu'à la William Chandler :) !
Le film brasse plusieurs influences, mais il reste de toute évidence assez doux. Ce n'est absolument pas hard boiled, effectivement Chandler et son Grand sommeil sont loin. Mais le côté humoristique, avec un détective capable de jouer un rôle auprès d'une suspecte m'a rappelé The thin man. Dommage que Brenda Marshall soit aussi sous-exploitée. J'aurais aimé que le couple soit davantage au premier plan. Mais en l'état, cela reste vraiment sympathique et très honnête.

Merci encore Cathy ! :wink:
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Cathy
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Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Cathy »

Ne dites jamais adieu, Never say Goodbye (1946) - James V Kern

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Un peintre et sa femme ont divorcé, ils ont la garde conjointe de leur fille Flip qui rêve de les voir à nouveau réunis.


Charmante comédie, agréable, drôle voila tous les mots qui viennent à l'esprit après la vision de ce film. Totalement méconnu, nous sommes dans une comédie américaine typique, avec ces personnages stéreotypés et que l'on peut retrouver dans maints films du genre. Toutefois, il émane de ce film un charme évident sans doute du en grande partie à ses interprètes, Errol Flynn en premier qui campe un séduisant mari père d'une petite fille avec qui il joue à faire semblant d'être un héros notamment avec un gros clin d'oeil à Robin des bois, Eleanor Parker absolument craquante en femme du monde qui ne rêve que d'une chose retrouver son ex-mari, et puis SZ Sakall qui comme Edward Everett Horton fait partie de ces seconds rôles incontournables, qui en font souvent des tonnes mais qui suscitent l'adhésion et font rire avec leurs mimiques habituelles. Voir Errol Flynn parodier Humphrey Bogart est quand même inédit, une fois encore on voit à quel point c'était un grand acteur et pas seulement un héros bondissant et virevoltant, sauvant sa belle. Il savait aussi pratiquer l'autodérision. On retrouve encore une fois Lucile Watson en belle-mère d'Errol Flynn (rôle qu'elle avait déjà dans Footsteps in the dark). Hattie McDaniel endosse également son rôle habituel de gouvernante, bien que ses apparitions soient assez brèves. Il ne faut pas oublier de mentionner Patti Bradi dans le rôle de cette petite fille un rien chipie mais quand même charmante. Il faut voir aussi Errol Flynn confronté à Forrest Tucler marine géant qui lui fait faire de la gymnastique suédoise. Certes les situations sont assez convenues, la fin évidente,ce film remplit totalement son objectif, à savoir faire sourire, rire devant un héros qui ose se prendre les pieds dans le tapis pour reconquérir sa belle. Un divertissement agréable

copie TCM
Julien Léonard
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Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Julien Léonard »

Errol Flynn en duo avec Eleanor Parker, ce doit être bien sympa ! Le pitch fait envie en tout cas.

Comme quoi, on aurait tendance à oublier notre cher Errol dans ce genre de films... alors qu'il en a tourné quelques-uns.
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Jeremy Fox
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Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Jeremy Fox »

Julien Léonard a écrit :Errol Flynn en duo avec Eleanor Parker, ce doit être bien sympa .

Le rêve d'autant que Cathy parle "d'absolument craquante"ce que je m'empresse de croire les yeux fermés !
Julien Léonard
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Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Julien Léonard »

Un très court passage de Mes 400 coups (vers la fin), autobiographie d'Errol Flynn :

Rome, 19 octobre 1953

J'ai l'impression que maintenant, comme acteur, je suis hors circuit, mais je m'en fiche. Comment peut-on ainsi perdre tout désir de travailler, en arriver à tout remettre au lendemain ? L'alcool ? C'est sûrement une raison, mais pas suffisante. Cette inertie est le début d'une sorte de désintégration intérieure. Je perçois un grand danger. Une espèce de gangrène morale. C'est une erreur de croire que l'indifférence rend invulnérable. On peut parfaitement être atteint, même si on se fiche de tout.



L'un des nombreux passages bouleversants de l'autobiographie de ce grand acteur. Je viens de relire ce très beau livre et il est assez étonnant de noter le ton employé par son auteur. Un roman vrai, qui se lit parfois comme une fiction picaresque, un récit d'aventure tropical ou un drame quotidien étouffant et intenable pour Flynn. Des situations parfois un peu ampoulées par son auteur, certainement, mais l'ensemble sonne tellement vrai et l'on y trouve tant de sincérité que l'on ne peut qu'y accorder crédit (d'autant que les bonnes biographies officielles parues sur lui donnent raison à la plupart des grands traits qu'il trace sur sa vie). J'ai souvent ris à la lecture de ces 400 coups, j'ai parfois été désappointé par la nature de Flynn, mais je crois que ce qui domine, c'est surtout le ton qu'il donne à son récit personnel à partir d'une certaine période. L'arrivée à Hollywood sonne le glas d'une vie simple, aventureuse, et l'enferme dans une spirale qu'il ne pourra jamais contrôler. Plus émouvant encore, à partir du milieu des années 1940, on sent un homme qui se désagrège progressivement, qui se mutile intérieurement et qui commence un long suicide, douloureux et à moitié conscient, et qui prendra son ampleur définitive en 1959. Il faut croire qu'il a finit d'écrire l'ensemble peu avant sa mort, si l'on en juge par les dernière pages citant Les racines du ciel, son dernier film.

Une lecture que je conseille aux fans comme aux réfractaires, à chacun pour des raisons bien précises. On suit Flynn... devant son procès pour "viol statutaire" (un tournant qui va le briser définitivement pour le restant de ses jours), devant la presse et les spectateurs qui en font leurs choux gras, devant l’ineptie d'une série de mésaventures sans queue ni tête, mais aussi sous l'eau en Jamaïque (dans l'ivresse des profondeurs), sur les tournages qui l'ennuient, auprès d'un Jack Warner que Flynn ne détestait pas forcément... Bref, on le suit, jusqu'au-bout, à la dernière page, où l'on y lit une dernière vision paradisiaque comme prélude à la fin de quelque-chose et au début d'une autre. Au travers de ses dernières remarques, on sent davantage l'envie de faire la paix avec soi-même plutôt que la croyance en une perspective d'avenir... A vrai dire, même quand il en parle, il nous prouve quasiment qu'il n'y croit pas une seule seconde.

Une autobiographie qui vaut bien celle de Walsh, Minnelli, etc etc (de plus, on y découvre aussi l'atmosphère "people" et journalistique d'une époque)... mais qui apporte également cette humanité littéralement à nue qu'on ne croirait pas trouver chez ce personnage. En fin de compte, Errol Flynn, c'est une marque, un produit, une époque, une vision des choses, une fabrication partielle de la part de la presse, et qui a finit par broyer le plus important : l'homme.
Dernière modification par Julien Léonard le 28 sept. 10, 22:51, modifié 1 fois.
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Sybille
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Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Sybille »

J'avais lu cette autobiographie il y a deux ans à peu près, et j'avais bien aimé. Je n'ai pas vu beaucoup de films avec Flynn, mais je le trouve bon acteur effectivement. Sa vie avant Hollywood est assez impressionannte. Apparemment c'était aussi un homme plus 'cultivé' que son image ne le laissait paraître.
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Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Julien Léonard »

Sybille a écrit :J'avais lu cette autobiographie il y a deux ans à peu près, et j'avais bien aimé. Je n'ai pas vu beaucoup de films avec Flynn, mais je le trouve bon acteur effectivement. Sa vie avant Hollywood est assez impressionannte. Apparemment c'était aussi un homme plus 'cultivé' que son image ne le laissait paraître.
Effectivement. :)

Concernant son image, il s'agit de celle qu'il a donné, mais pas totalement. Encore une fois, c'est Hollywood, et surtout (je dis bien "surtout") la presse qui lui a donné son image établie de "je m'en-foutiste pervers et garnement incontrôlable". Un peu à la manière d'un Bela Lugosi prisonnier de son image grandiloquente de Dracula (là aussi, par la presse), qu'il n'a cessé de cultiver pour gagner sa vie, Errol Flynn a finit par laisser libre cours à son image publique, ne la contrôlant plus, créant une distorsion importante avec sa vie privée (elle aussi chaotique, quoique parfois poétique, mais dans un autre genre), le tout l'amenant progressivement à perdre pied. On sent un homme paumé, incapable de se reconnaître lui-même, fuyant l'Amérique dès qu'il le pouvait (relation amour-haine assez étrange), lecteur invétéré et se lançant dans les aventures les plus grotesques. Je ne fais que me répéter, mais Flynn, au final, c'est d'abord un produit qui a bouffé l'humain. Un destin vraiment passionnant vécu par un type qui a traversé 15 vies, parcouru le monde entier, et qui a un regard très sensible, très vrai, vis-à-vis de ce qui l'entoure.
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Julien Léonard
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Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Julien Léonard »

Never say goodbye (Ne dites jamais adieu) - Réalisé par James V. Kern / 1946 :

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On ne va pas tourner autour du pot bien longtemps : ce film est une totale surprise ! On savait bien qu'Errol Flynn était également un acteur de comédie très doué (le très bon Four's a crowd, le mi-policier mi-comédie Footsteps in the dark...), mais à ce point là... Pour ma part, je pense qu'il aurait pu être l'égal des acteurs spécialisés en comédie de l'époque (Cary Grant, William Powell...) s'il avait continué dans cette voie. Décidément, l'acteur touche à tout avec un sens inné de la justesse de ton. On pensait vraiment l'avoir vu se lâcher dans Four's a crowd de Michael Curtiz (et franchement il y était excellent, osant des choses inattendues), mais la comédie où il donne tout, c'est bien Never say goodbye. Le film de Curtiz est certes techniquement plus abouti (mais on parle tout de même de Curtiz), plus élégant et légèrement mieux écrit, mais le film de James V. Kern (obscur réalisateur sans réel don) est incontestablement plus drôle encore !

Ainsi, les situations grotesques s’enchaînent-elles avec maestria, faisant monter la sauce toutes les cinq minutes. Il n'est rien que n'ose essayer Flynn, pas même de se déguiser en père noël et de se faire courser par un autre père noël dans toute la maison ! Avec un tel recul sur lui-même, la star peut se permettre n'importe quoi, et force est d'avouer que le réalisateur ne lui épargne rien. On ne s'ennuie pas une seule seconde, le rythme est très soutenu, les scènes d'anthologie sont nombreuses, et on se surprend à rire très souvent (et de bon coeur). L'arrivée du marine dans la vie du couple divorcé, avec tout ce que cela contient, est un grand moment. En outre, l'imitation d'Humphrey Bogart par Flynn est énorme ! Il a tout compris de sa gestuelle (sourire en lame de rasoir, dents de devant légèrement proéminentes, gestes de bad guy...) et de son apparat (habillé dans un imperméable, dans une entrée en scène tout droit sortie du Grand sommeil -sorti la même année-). A noter que Bogart lui-même double vocalement Flynn pour cette courte mais euphorisante séquence.

Entre bons mots et répliques littéralement mitraillées sur l'auditoire (en parlant de la grand-mère, en cherchant un cadeau : "Et maintenant, pour le vieux sac... euh, dans le vieux sac, pour grand-mère..."), la Warner nous offre en prime la très séduisante Eleanor Parker, ici assez discrète (c'est encore le début de carrière), mais vraiment rayonnante ! S. Z. Sakall interprète quant à lui un vieux restaurateur plein de bonne volonté mais totalement largué... Lui aussi est hilarant. Reste la petite fille du couple, toute mimi, même si l'on décèle un peu le "texte récité". Un excellent moment, à revoir bientôt avec grand plaisir.


Merci Cathy ! Et pour Jeremy : Fonce, regarde-le !
Dernière modification par Julien Léonard le 28 janv. 11, 22:38, modifié 1 fois.
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Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Jeremy Fox »

Julien Léonard a écrit : Et pour Jeremy : Fonce, regarde-le !
Pas de soucis, vos avis ont fini de me convaincre de ne pas trop attendre :wink:
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hansolo
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Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par hansolo »

Julien Léonard a écrit :Mes 400 coups (vers la fin), autobiographie d'Errol Flynn :
...

Une lecture que je conseille aux fans comme aux réfractaires, à chacun pour des raisons bien précises.
J'ai lu ce livre il y a quelques années alors que je ne connaissais de sa filmographie que Robin des Bois :!: ... ça se lit comme un roman ... simplement passionnant!
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Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par someone1600 »

Et bien il me reste plus qu'a le regarder aussi lol... je dois bien en avoir un enregistrement TCM.
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