Dvdclassik : cinéma et DVD

Colqhoun a écrit :

Kevin95 a écrit :Le point relou c'est que le DVD français édité à une poignée d’exemplaires (car non-vendeur) vaut aujourd'hui une petite somme.

Bah ça va.
http://www.amazon.fr/Toy-Soldiers-USA-Z ... 607&sr=1-3

Mais si tu veux je te vends mon exemplaire.
500€

Non merci, mais je parlais du zone 2.

AtCloseRange a écrit :J'avais dû lui mettre un 4 bien mérité.
Sans intérêt.

Mais t'aime pas Matthew.

Kevin95 a écrit :

Colqhoun a écrit : Bah ça va.
http://www.amazon.fr/Toy-Soldiers-USA-Z ... 607&sr=1-3

Mais si tu veux je te vends mon exemplaire.
500€

Non merci, mais je parlais du zone 2.

Je l'ai vu la semaine dernière dans mon cash converter

Vous êtes durs là, sur le net le zone 2 est vendu par des pignoufs 30e.

Addis-Abeba a écrit :

cinéfile a écrit : Assez d'accord. Souvenir d'un petit polar du samedi soir, vite vu, vite oublié ...

Pas d'accord, c'est passionnant de bout en bout , et Matthew McConaughey est une fois de plus royal.
j'aime bien justement le punch de la mise en scène qui fait que le rythme ne faiblit presque jamais.
Bon après quand je l'ai vu je n'en attendais vraiment rien, ça aide des fois à apprécier un film

c'est pas terrible, ça sent le réchauffé et McConaughey cabotine, vous pouvez passer votre chemin à moins d'aimer les procedurial drama

Rockatansky a écrit :

Addis-Abeba a écrit : Pas d'accord, c'est passionnant de bout en bout , et Matthew McConaughey est une fois de plus royal.
j'aime bien justement le punch de la mise en scène qui fait que le rythme ne faiblit presque jamais.
Bon après quand je l'ai vu je n'en attendais vraiment rien, ça aide des fois à apprécier un film

c'est pas terrible, ça sent le réchauffé et McConaughey cabotine, vous pouvez passer votre chemin à moins d'aimer les procedurial drama

Plus thriller que drama, non moi j'assume, je suis assez d'accord avec la note imdb (surtout quand ça m'arrange).
La notion de cabotinage est large, là je ne trouve pas non plus, ou alors bientôt on ne pourra plus jouer du tout sans être taxé de cabotinage et on aura plus que des Kristen Stewart.

J'aime bien McConaughey mais là il en fait des caissses

Rockatansky a écrit :J'aime bien McConaughey mais là il en fait des caissses

Mais il faut prendre en compte le personnage, quand tu joue un type charismatique avec autant de bagou, difficile de rester neutre dans son jeu.

Addis-Abeba a écrit :

Rockatansky a écrit :J'aime bien McConaughey mais là il en fait des caissses

Mais il faut prendre en compte le personnage, quand tu joue un type charismatique avec autant de bagou, difficile de rester neutre dans son jeu.

Je l'ai trouvé parfait. C'est le réalisateur qui cabotine à outrance

LA POLIZIOTTA A NEW YORK (Michele Massimo Tarantini, 1981) Découverte

Dix minutes tournées en caméra plus ou moins cachée à New York et le reste expédié à Rome (c'est visiblement assez pour mettre la ville dans le titre). C'est que le temps c'est de l'argent et qu'il faut boucler cette sexy comédie évidemment conne comme la lune. Une histoire de double identité, d'Edwige Fenech qui fait son jogging en tenue jaune poussin sous les yeux blasés des new-yorkais, d'Aldo Maccione en guest star (c'est dire le niveau), d'un méchant qui parle comme Porky ou d'Alvaro Vitali qui crache sur son boss via un talkie-walkie. Humour niveau cul, un peu raciste avec une parodie de la Mama de Gone with the Wind (ou alors c'est politique et je n'ai rien pigé) et SUPER COMBO un humour homo + raciste avec un étalon black qui en veut à la vertu de ce dieu grec de Vitali. Faut être fan, je le suis sur les bords donc ça passe mieux. Prévoir un cachet d'aspirine car ça n’arrête pas. 7/10 (Note Nanar)

MY BLUE HEAVEN (Herbert Ross, 1990) Découverte

Voir débouler dès le premier plan Rick Moranis et Steve Martin (affublé d'une imparable coupe en brosse) dans une banlieue proprette des États-Unis et l'on se frotte les mains imaginant le torrent de méchanceté gratuite qu'un tel pitch (le flic et le témoin mafieux) peut promettre. C'est oublié un peu vite le nom de la scénariste, Nora Ephron pour ne pas la citer c'est à dire celle qui donna ses lettres de mollesse à la comédie romantique, qui trouve ici l'aide du transparent Herbert Ross. Les micros-idées sympas sont égrainées au bout d'un quart d'heure avant que ne débute véritablement le récit inodore où, évidemment, tout finira par un happy-end avec match de base-ball et recréation d'un foyer (pardon, je crois que je rends mon goûter). Steve Martin a beau s'amuser dans son coin, le bougre transpire pour un naveton largement oubliable. Au passage, la musique est un crime auditif. 3/10

Kevin95 a écrit :

MY BLUE HEAVEN (Herbert Ross, 1990) Découverte

Voir débouler dès le premier plan Rick Moranis et Steve Martin (affublé d'une imparable coupe en brosse) dans une banlieue proprette des États-Unis et l'on se frotte les mains imaginant le torrent de méchanceté gratuite qu'un tel pitch (le flic et le témoin mafieux) peut promettre. C'est oublié un peu vite le nom de la scénariste, Nora Ephron pour ne pas la citer c'est à dire celle qui donna ses lettres de mollesse à la comédie romantique, qui trouve ici l'aide du transparent Herbert Ross. Les micros-idées sympas sont égrainées au bout d'un quart d'heure avant que ne débute véritablement le récit inodore où, évidemment, tout finira par un happy-end avec match de base-ball et recréation d'un foyer (pardon, je crois que je rends mon goûter). Steve Martin a beau s'amuser dans son coin, le bougre transpire pour un naveton largement oubliable. Au passage, la musique est un crime auditif. 3/10

Nora Ephron, c'est Quand Harry Rencontre Sally alors camembert!

Oui enfin surtout un film de Rob Reiner.

Kevin95 a écrit :Oui enfin surtout un film de Rob Reiner.

Mais le scénario est d'elle et il joue une grande part dans la réussite du film.

Même les cancres ont leur moment de grâce (et je sais de quoi je parle).