Oui Seance aka Kourei date de 2000.Cinetudes a écrit :Dis moi Requiem le Séance de K Kurosawa c'est pas plutot un film plus ancien qui connait les honneurs d'une ressortie?
J'ai vu Doppelganger a Sitges et celui la à priori c'est son dernier film mais je peux me gauffrer. J'attends donc ton arbitrage
Stef
Kiki la petite sorcière (Hayao Miyazaki - 1989)
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- Francis Lalanne
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Comme je te le disais dans l'autre topic (que j'ai relu mon cher BillJeremy Fox a écrit :Ca va être une découverte, espérons un choc émotionnel et poétique équivalent à celui de Laputa en ce qui me concerne

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Mais j'adore TotoroMajordome a écrit :Comme je te le disais dans l'autre topic (que j'ai relu mon cher BillJeremy Fox a écrit :Ca va être une découverte, espérons un choc émotionnel et poétique équivalent à celui de Laputa en ce qui me concerne) il faut plutôt le comparer à Totoro qu'à Laputa... sinon tu seras déçu mon cher Jeremy. Et surtout vas-y avec les filles !!!

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Kiki est un très beau dessin animé, avec un coté moins merveilleux que Chihiro mais plus tendre, on s'amuse suivre, les joies, les peurs, les doutes de cette aprentie sorcère, jusqu'à l'apothéose du final. Et une fois de plus, les machines volantes tiennent une place importante.
Effectivement, une ressortie dvd de Porco Rosso serait la bienvenue (ma K7 commençant à avoir triste mine), espérons que l'on est pas à attendre une ressortie en salle avant.NUTELLA a écrit : Comme tout Miyazaki,j'attendrais le dvd avec impatience.a quand une réedition de Poco Rosso et une sortie dvd de Mon voisin Totoro![]()
oui,surtout que la version de Studio canal est épuisée depuis longtemps,et le zone 1 Jap est vraiment trop prohibitifglobule a écrit :
Effectivement, une ressortie dvd de Porco Rosso serait la bienvenue (ma K7 commençant à avoir triste mine), espérons que l'on est pas à attendre une ressortie en salle avant.

ma cassette commence aussi à etre fatiguée

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Normalement Porco Rosso est déjà sortie en salle en 95 je crois donc a priori pas besoin d'attendre les délais de 6 mois si jamais il se décide à le ressortir.globule a écrit :Kiki est un très beau dessin animé, avec un coté moins merveilleux que Chihiro mais plus tendre, on s'amuse suivre, les joies, les peurs, les doutes de cette aprentie sorcère, jusqu'à l'apothéose du final. Et une fois de plus, les machines volantes tiennent une place importante.
Effectivement, une ressortie dvd de Porco Rosso serait la bienvenue (ma K7 commençant à avoir triste mine), espérons que l'on est pas à attendre une ressortie en salle avant.NUTELLA a écrit : Comme tout Miyazaki,j'attendrais le dvd avec impatience.a quand une réedition de Poco Rosso et une sortie dvd de Mon voisin Totoro![]()
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Il est pourtant prévu de repasser par la case sortie en salle avant de voir Porco réédité en DVD.Ryo_Saeba a écrit :Normalement Porco Rosso est déjà sortie en salle en 95 je crois donc a priori pas besoin d'attendre les délais de 6 mois si jamais il se décide à le ressortir.globule a écrit :Kiki est un très beau dessin animé, avec un coté moins merveilleux que Chihiro mais plus tendre, on s'amuse suivre, les joies, les peurs, les doutes de cette aprentie sorcère, jusqu'à l'apothéose du final. Et une fois de plus, les machines volantes tiennent une place importante.
Effectivement, une ressortie dvd de Porco Rosso serait la bienvenue (ma K7 commençant à avoir triste mine), espérons que l'on est pas à attendre une ressortie en salle avant.
Le DVD Canal est d'excellente facture... Je suis bien content de l'avoir

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Alors bon, comme j'avais tapé ça, dans mon jeune temps de cinémasien section visiteur, je vous le recolle, intouché, fautes grossière et syntaxe aléatoire inchangées, parceque je n'ai pas le courage de retaper le tout...
"Parfois, les cinéphiles m'énervent...On en croise de vieux qui ont tout vu, et du bon, infoutus d'aller au cinéma pour voir Mononoke ou Chihiro, parce que, hein, les dessins animés, c'est pour les enfants, on râle, on peste, on maudit intérieurement, et l'on excommunie...pas croyable...autant de préjugés...de vieux snob... la sclérose, c'est ça, voilà tout ... Puis, deux jours après, on se retrouve chez Musica, appâtés par le fumet, devant de beaux DVD zone trois tout chauds, pressés le matin même, et l'on hésite : Nausicaa....Porco Rosso...mmm non, plutôt Nausica...mmm ou les deux? Plus loin, derrière juste un peu, une tite sorcière sur un balai ne nous fait pas de l'oeuil sur une couverture toute rose...Mais, celui là, de toute façon, on risque pas de le prendre, hein, vu la gueule que ça a, c'est sûrement pour les gamins....
Ben voilà, c'est une critique expiatoire, ce film, sans une jolie brune qui aura craquée, elle, ce jour là, je ne l'aurais jamais vu, ou en dernier...Mea Culpa Cretina Maxima...
Parce que, figurez-vous, c'est drôlement bien.
Pouvez couper, en haut, en bas, ne lire que ça et courir l'acheter, si vous me faites confiance. Mais comme, après tout, on ne se connait pas, développons, tachons de convaincre, puisque la cause est noble, l'éloquence en sera peut être supportable....
On connait tous, ces livres qui brûlent les mains, qu'on offre dix, vingt fois, pour que tout le monde ait la chance de partager l'espèce d'expérience qu'on ne saurait décrire que par : lis le, tu verras bien... Kiki, c'est un peu ça, pour les fans de Miyazaki, il suffira d'une promesse : essayes, c'est aussi bien que ceux que tu connais...pour les autres....
Non, il n'y a pas vraiment d'aventure, dans celui là, au sens Laputesque du mot, il faut même éviter de lire le quatrième de couverture du DVD, il révèle le seul "ressort dramatique" du film, qui n'intervient qu'à sa toute fin, et qu'il vaut mieux ne pas connaître, faute de quoi, on passe une partie du métrage à se demander quand "ça" va enfin arriver...
En attendant que "ça" arrive, qu'a t-on? Une petite fille en robe noire, avec un neud rouge dans les cheveux et un petit chat noir qui parle, genre mascotte craquante, tentant de voleter de ci de là, montrant ses dessous blancs (oui, je sais, je ratisse large), essayant de monter une PMU, un "Delivery Service" magique, en balai, dans une grande ville qu'elle découvre, ainsi que ses habitants. Et ça suffit... La caractérisation des personnages en quelques "traits" visuels et psychologiques suffit à nous les rendre instantanément humain, d'une humanité à la fois extraordinairement proche (un personnage de Miyazaki, ça s'aime très vite comme un nouveau né, une petite soeur, une vieille peluche retrouvée par hasard) et parfaitement utopique : ces personnages, on les aime comme on aimerait aimer nos contemporains, comme on sait ne le pouvoir qu'en rêve, en parole,au cinéma (a t'on assez noté comme on est ici proche de Kurosawa, nous faisant savourer la triste déséspérance du Shimura sous la pluie, du Mifume en Barberousse christique, aimant l'humanité à notre place, mieux que nous...et tout ceci ne va pas sans la misanthropie, la mélancholie qui font les humanistes sans bon sentiments qui peuvent me toucher).
Devant ce film, attendez vous à ressentir ce gonflement du coeur qui prend aux tripes et qui se résout généralement en rire, qui fait la substance de films comme Chihiro, que Miyazaki obtient souvent, ce que je remarque sans me l'expliquer, par des moyens cinématographiques qui sont ceux du cinéma muet : un comique visuel et immédiatement expressif, plus, expressioniste, qui assure à son cinéma universalité et plongée dans le monde de l'enfance, qui rapelle pourquoi les Mélos tire-larmes de Charlot nous "tiennent" toujours, pourquoi "Le dernier Homme" ou "L'Aurore" sont à un sommet que les parlants mettront longtemps à requonquérir, et pourquoi, oui, ça plait aux enfants et, non, c'est pas que pour eux... Comment résister au boulanger mutique qui héberge Kiki et veille sur sa petite maisonnée (femme enceinte, Kiki) l'air de rien, aux petites vieilles enemies de l'électricités, incarnation dans la vie réelle des gentilles sorcières de Miyazaki, au jeune homme fou de machines volantes qui incarne à l'état brut ce qu'il y a de magique dans la fascination pour ces machines, pas encore gachée par la réalité, qui est le petit garçon qui fait des maquettes d'avion dans l'ingénieur qui finira plasturgiste...
Par le biais d'un univers "réaliste", déréalisé par son traitement de conte de fées (la ville, sorte de mélange de tous les clichés qu'aurait un japonais imaginant l'europe comme un tout, mélant dans ses fantasmes Paris, Londres, la Bavière (si si) l'italie, et la mer, pour faire bonne mesure) Miyazaki nous met au coeur de ce qui, dans la vie réelle, décevante, nourrit le merveilleux de ses autres oeuvres....On contemple ici de reflet de l'univers Miyazakien.Tout (thèmes, visages, voix, scènes, humour etc...) fait écho aux autres films et tente de désigner la source qui les nourrit.... En ce sens, c'est aussi un film passionnant sur la création cinématographique, sur un "merveilleux phréatique" qui pousse à avancer, à tenter l'oeuvre suivante...je renvoie bien sur à l'épisode sombre du film, au malheur qui touche Kiki et la cloue au sol... comment réenchanter le monde lorsque, ben , à treize ans, on perd la clé des songes?
Ce qu'un écrivain comme Lovecraft ne peut fantasmer que dans le malheur et l'impuissance qui lui sont propres (c'est tout sauf un écrivain heureux, et c'est toute la force morbide de son écriture que d'avoir manifesté ce malheur dans un univers qui se tient), ce refus horrifié du monde réel (Randolf Carter est celui qui s'échappe, qui retrouve son enfance, mais à quel prix....), cette histoire universelle du devoir grandir, de la perte du soi en même temps que d'un monde qu'on aimerait enchanté qui nous fonde comme individu , Miyazaki nous la raconte par le biais d'une touchante historiette, qu'il ne s'agirait pas de mettre plus bas que Mononoke ou Chihiro, sous prétexte qu'elle manque du souffle épique qui font souvent la séduction des Ghiblis. D'autant plus que la qualité technique est comme d'habitude au rendez vous, et les "morceaux de bravoure" impressionnants...
La "clé des songes", c'est ici un pseudo-Chagal, que Kiki aura inspiré à une savoureuse peintre qui, comme un diamant, enclot tout ce qui nous touche dans le film en le représentant métaphoriquement, picturalement, au son d'une mélodie bellement Hisaichienne... inutile d'épiloguer sur le procédé, propice aux délires critiques...chacun aura compris...je tape, ici comme ailleurs, juste pour vous inciter à ne pas "passer à coté" d' un tel film et vous dire comme, tout de même, au cinéma, il est parfois difficile, de ne pas être bouleversé."
...et parceque le principal y est : ne ratez pas ce film...
Ps : Le dvd dont je parle est l'édition HK, à priori non pirate, puisque vendue chez Musica, mais chère (27 €) . Porco Rosso, Totoro, Nausicaa existent aussi dans la même collection (zone 3, double dvd, image superbe)
"Parfois, les cinéphiles m'énervent...On en croise de vieux qui ont tout vu, et du bon, infoutus d'aller au cinéma pour voir Mononoke ou Chihiro, parce que, hein, les dessins animés, c'est pour les enfants, on râle, on peste, on maudit intérieurement, et l'on excommunie...pas croyable...autant de préjugés...de vieux snob... la sclérose, c'est ça, voilà tout ... Puis, deux jours après, on se retrouve chez Musica, appâtés par le fumet, devant de beaux DVD zone trois tout chauds, pressés le matin même, et l'on hésite : Nausicaa....Porco Rosso...mmm non, plutôt Nausica...mmm ou les deux? Plus loin, derrière juste un peu, une tite sorcière sur un balai ne nous fait pas de l'oeuil sur une couverture toute rose...Mais, celui là, de toute façon, on risque pas de le prendre, hein, vu la gueule que ça a, c'est sûrement pour les gamins....
Ben voilà, c'est une critique expiatoire, ce film, sans une jolie brune qui aura craquée, elle, ce jour là, je ne l'aurais jamais vu, ou en dernier...Mea Culpa Cretina Maxima...
Parce que, figurez-vous, c'est drôlement bien.
Pouvez couper, en haut, en bas, ne lire que ça et courir l'acheter, si vous me faites confiance. Mais comme, après tout, on ne se connait pas, développons, tachons de convaincre, puisque la cause est noble, l'éloquence en sera peut être supportable....
On connait tous, ces livres qui brûlent les mains, qu'on offre dix, vingt fois, pour que tout le monde ait la chance de partager l'espèce d'expérience qu'on ne saurait décrire que par : lis le, tu verras bien... Kiki, c'est un peu ça, pour les fans de Miyazaki, il suffira d'une promesse : essayes, c'est aussi bien que ceux que tu connais...pour les autres....
Non, il n'y a pas vraiment d'aventure, dans celui là, au sens Laputesque du mot, il faut même éviter de lire le quatrième de couverture du DVD, il révèle le seul "ressort dramatique" du film, qui n'intervient qu'à sa toute fin, et qu'il vaut mieux ne pas connaître, faute de quoi, on passe une partie du métrage à se demander quand "ça" va enfin arriver...
En attendant que "ça" arrive, qu'a t-on? Une petite fille en robe noire, avec un neud rouge dans les cheveux et un petit chat noir qui parle, genre mascotte craquante, tentant de voleter de ci de là, montrant ses dessous blancs (oui, je sais, je ratisse large), essayant de monter une PMU, un "Delivery Service" magique, en balai, dans une grande ville qu'elle découvre, ainsi que ses habitants. Et ça suffit... La caractérisation des personnages en quelques "traits" visuels et psychologiques suffit à nous les rendre instantanément humain, d'une humanité à la fois extraordinairement proche (un personnage de Miyazaki, ça s'aime très vite comme un nouveau né, une petite soeur, une vieille peluche retrouvée par hasard) et parfaitement utopique : ces personnages, on les aime comme on aimerait aimer nos contemporains, comme on sait ne le pouvoir qu'en rêve, en parole,au cinéma (a t'on assez noté comme on est ici proche de Kurosawa, nous faisant savourer la triste déséspérance du Shimura sous la pluie, du Mifume en Barberousse christique, aimant l'humanité à notre place, mieux que nous...et tout ceci ne va pas sans la misanthropie, la mélancholie qui font les humanistes sans bon sentiments qui peuvent me toucher).
Devant ce film, attendez vous à ressentir ce gonflement du coeur qui prend aux tripes et qui se résout généralement en rire, qui fait la substance de films comme Chihiro, que Miyazaki obtient souvent, ce que je remarque sans me l'expliquer, par des moyens cinématographiques qui sont ceux du cinéma muet : un comique visuel et immédiatement expressif, plus, expressioniste, qui assure à son cinéma universalité et plongée dans le monde de l'enfance, qui rapelle pourquoi les Mélos tire-larmes de Charlot nous "tiennent" toujours, pourquoi "Le dernier Homme" ou "L'Aurore" sont à un sommet que les parlants mettront longtemps à requonquérir, et pourquoi, oui, ça plait aux enfants et, non, c'est pas que pour eux... Comment résister au boulanger mutique qui héberge Kiki et veille sur sa petite maisonnée (femme enceinte, Kiki) l'air de rien, aux petites vieilles enemies de l'électricités, incarnation dans la vie réelle des gentilles sorcières de Miyazaki, au jeune homme fou de machines volantes qui incarne à l'état brut ce qu'il y a de magique dans la fascination pour ces machines, pas encore gachée par la réalité, qui est le petit garçon qui fait des maquettes d'avion dans l'ingénieur qui finira plasturgiste...
Par le biais d'un univers "réaliste", déréalisé par son traitement de conte de fées (la ville, sorte de mélange de tous les clichés qu'aurait un japonais imaginant l'europe comme un tout, mélant dans ses fantasmes Paris, Londres, la Bavière (si si) l'italie, et la mer, pour faire bonne mesure) Miyazaki nous met au coeur de ce qui, dans la vie réelle, décevante, nourrit le merveilleux de ses autres oeuvres....On contemple ici de reflet de l'univers Miyazakien.Tout (thèmes, visages, voix, scènes, humour etc...) fait écho aux autres films et tente de désigner la source qui les nourrit.... En ce sens, c'est aussi un film passionnant sur la création cinématographique, sur un "merveilleux phréatique" qui pousse à avancer, à tenter l'oeuvre suivante...je renvoie bien sur à l'épisode sombre du film, au malheur qui touche Kiki et la cloue au sol... comment réenchanter le monde lorsque, ben , à treize ans, on perd la clé des songes?
Ce qu'un écrivain comme Lovecraft ne peut fantasmer que dans le malheur et l'impuissance qui lui sont propres (c'est tout sauf un écrivain heureux, et c'est toute la force morbide de son écriture que d'avoir manifesté ce malheur dans un univers qui se tient), ce refus horrifié du monde réel (Randolf Carter est celui qui s'échappe, qui retrouve son enfance, mais à quel prix....), cette histoire universelle du devoir grandir, de la perte du soi en même temps que d'un monde qu'on aimerait enchanté qui nous fonde comme individu , Miyazaki nous la raconte par le biais d'une touchante historiette, qu'il ne s'agirait pas de mettre plus bas que Mononoke ou Chihiro, sous prétexte qu'elle manque du souffle épique qui font souvent la séduction des Ghiblis. D'autant plus que la qualité technique est comme d'habitude au rendez vous, et les "morceaux de bravoure" impressionnants...
La "clé des songes", c'est ici un pseudo-Chagal, que Kiki aura inspiré à une savoureuse peintre qui, comme un diamant, enclot tout ce qui nous touche dans le film en le représentant métaphoriquement, picturalement, au son d'une mélodie bellement Hisaichienne... inutile d'épiloguer sur le procédé, propice aux délires critiques...chacun aura compris...je tape, ici comme ailleurs, juste pour vous inciter à ne pas "passer à coté" d' un tel film et vous dire comme, tout de même, au cinéma, il est parfois difficile, de ne pas être bouleversé."
...et parceque le principal y est : ne ratez pas ce film...
Ps : Le dvd dont je parle est l'édition HK, à priori non pirate, puisque vendue chez Musica, mais chère (27 €) . Porco Rosso, Totoro, Nausicaa existent aussi dans la même collection (zone 3, double dvd, image superbe)
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Rien de méprisant dans ma remarque et il me semble avoir lu la même chose un peu plus haut.Mezhia a écrit :Je trouve ça même méprisant...tewoz a écrit :
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C'est un peu brut comme remarque...
Masi bon, chacun ses goûts on va dire...

Mezhia ne prend pas la mouche pour si peu