Arvo Pärt tu le met là le tréma. En fait pour ce que j'en sais, ça se prononce "Arvo Pèrt"MJ a écrit :l'usage du Miserere de Ärvo Part
Habemus papam (Nanni Moretti - 2011)
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Re: Habemus papam (Nanni Moretti - 2011)

"Toutes les raisons évoquées qui t'ont paru peu convaincantes sont, pour ma part, les parties d'une remarquable richesse." Watki.
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Re: Habemus papam (Nanni Moretti - 2011)
Je dirais même "arvo perte" pour la prononciation (mais ça reste à confirmer).
Belle musique, d'ailleurs.
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Re: Habemus papam (Nanni Moretti - 2011)
Et en cyrillique ça s'écrit comme ça : Арво Пярт
ici t'as un site intéressant où tu peux entendre la prononciation du nom des compositeurs dans leur langue d'origine. En même temps c'est dit avec l'accent anglais alors bon c'est moyennement fiable.
ici t'as un site intéressant où tu peux entendre la prononciation du nom des compositeurs dans leur langue d'origine. En même temps c'est dit avec l'accent anglais alors bon c'est moyennement fiable.

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Re: Habemus papam (Nanni Moretti - 2011)
J'ai trouvé le film intéressant mais un peu décevant aussi...
U peu décevant sur certains passages un peu long (l'errance du Pape dans Rome, les parties de volley) et sur la confrontation limitée entre la psychanalyse et la religion, ainsi que sur le comique qui est plus souriant attendri que drôle. Parfois on aimerait plus de mordant.
Intéressant, très intéressant même sur la représentation de tous les pouvoirs, dans l'envers de leur mise en scène et leur impossibilité, qu'il s'agisse du pouvoir religieux (scène du balcon assimilée à ce qu'on peut imaginer du trac d'un acteur avant d'entrer en scène, prière intérieure et cacophonique des cardinaux qui prient pour ne pas être élus, ombre chinoise du garde suisse dans les appartements pontificaux), du pouvoir de la psychanalyse (1e séance impossible par les interdits et le public, impossibilité du psy qui erre et finit organisateur de tournois), de celui de la télé (les fumées) ou des vaticanistes ou de celui du théâtre (l'acteur fou est meilleur à l'hôtel que sur scène, la pièce est perturbée...). Bref une belle interrogation sur le pouvoir, sa possibilité et sa vacance.
Intéressante aussi la représentation de l'élection (grande séquence) et du Vatican comme une sorte de grande maison de retraite...
Très intéressant Piccoli parlant du théâtre et de l'acteur qui n'y arrive plus, belle interprétation (Moretti aussi, en psy désoeuvré). L'appeler Melville sûrement en référence à Bartleby ("Je préfère ne pas.") donne une piste d'interprétation explicitée à la fin.
La fin ouvre un champ de questions, des brebis perdues sans guide à l'homme qui affirme son libre-arbitre face à Dieu... ou la réflexion sur l'Église : pompe et decorum figé ou aller vers les fidèles ?
Je suis curieux de savoir, s'il l'a vu, ce que Wontolla en a pensé.
Note : finalement j'ai trouvé l'avis de Wontolla dans, ses cinitinéraires
U peu décevant sur certains passages un peu long (l'errance du Pape dans Rome, les parties de volley) et sur la confrontation limitée entre la psychanalyse et la religion, ainsi que sur le comique qui est plus souriant attendri que drôle. Parfois on aimerait plus de mordant.
Intéressant, très intéressant même sur la représentation de tous les pouvoirs, dans l'envers de leur mise en scène et leur impossibilité, qu'il s'agisse du pouvoir religieux (scène du balcon assimilée à ce qu'on peut imaginer du trac d'un acteur avant d'entrer en scène, prière intérieure et cacophonique des cardinaux qui prient pour ne pas être élus, ombre chinoise du garde suisse dans les appartements pontificaux), du pouvoir de la psychanalyse (1e séance impossible par les interdits et le public, impossibilité du psy qui erre et finit organisateur de tournois), de celui de la télé (les fumées) ou des vaticanistes ou de celui du théâtre (l'acteur fou est meilleur à l'hôtel que sur scène, la pièce est perturbée...). Bref une belle interrogation sur le pouvoir, sa possibilité et sa vacance.
Intéressante aussi la représentation de l'élection (grande séquence) et du Vatican comme une sorte de grande maison de retraite...
Très intéressant Piccoli parlant du théâtre et de l'acteur qui n'y arrive plus, belle interprétation (Moretti aussi, en psy désoeuvré). L'appeler Melville sûrement en référence à Bartleby ("Je préfère ne pas.") donne une piste d'interprétation explicitée à la fin.
La fin ouvre un champ de questions, des brebis perdues sans guide à l'homme qui affirme son libre-arbitre face à Dieu... ou la réflexion sur l'Église : pompe et decorum figé ou aller vers les fidèles ?
Je suis curieux de savoir, s'il l'a vu, ce que Wontolla en a pensé.
Note : finalement j'ai trouvé l'avis de Wontolla dans, ses cinitinéraires

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Re: Habemus papam (Nanni Moretti - 2011)
Un acteur qui n'y arrive plus et qui finit par renoncer, c'était aussi en partie le thème de Je rentre à la maison (Manoel De Oliveira) interprété par Piccoli.
Ce thème est effectivement présent dans le film de Moretti. Mais l'essentiel est bien la réflexion sur le pouvoir, ou plus exactement la peur du pouvoir et des responsabilités qu'il faut endosser. Le Vatican fournit surtout un cadre (très cinégénique) à cette réflexion. Il n'est pas vraiment question de religion et très peu de psychanalyse, finalement, dans le film.
Ce thème est effectivement présent dans le film de Moretti. Mais l'essentiel est bien la réflexion sur le pouvoir, ou plus exactement la peur du pouvoir et des responsabilités qu'il faut endosser. Le Vatican fournit surtout un cadre (très cinégénique) à cette réflexion. Il n'est pas vraiment question de religion et très peu de psychanalyse, finalement, dans le film.
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Re: Habemus papam (Nanni Moretti - 2011)

http://alligatographe.blogspot.com/2011 ... papam.html
Joli film de Nanni Moretti. Excusez la redondance tant il est rare qu'un film de Moretti ne soit pas "joli".
Alors soyons précis et explicitons ce qualificatif. Il ne s'agit sans doute pas de "joliesse" formelle. Le film ne dégage pas une esthétique spécialement capable de susciter chez le commentateur lambda ce terme là. Disons que le style est comme toujours très simple, plutôt direct, totalement focalisé sur les acteurs, plus que sur les décors ou les effets de lumières. La caméra reste discrète, ne joue pas la comédie, ne se prend pas pour une virtuose du mouvement. Souvent fixe, elle scrute les visages, reste très près des comédiens, attentive aux ruptures de tons dans les expressions et qui produisent le rire.
Ce rire n'est jamais méchant, on le notera, ni agressif. Bien au contraire, grâce à la proximité de la caméra, le jeu très doux des acteurs, le débit calme des dialogues et la solennité du lieu comme du sujet, le film reste marqué par une sorte de délicatesse, pleine de tendresse pour les personnages, même si le propos est volontiers taquin à leur encontre.
Il ne s'agit pas ici de fustiger l'organe politique ou idéologique que représente l'État pontifical. Dès le départ, le gauchiste Moretti accompagne la grosse machine ecclésiastique, dans son cérémonial, dans son organisation, mais également dans son désarroi, avec beaucoup de bienveillance et de respect. Pas de jugement. Pas d'attaque grossière, frontale.
Bien entendu la critique existe, mais elle vient de façon beaucoup plus fine et intelligente. Par ailleurs, elle ne peut être taxée d'unilatéralisme. Le personnage du psy que joue Moretti est tout aussi paumé que les cardinaux, tout aussi imbu de sa personne, de sa fonction, de son savoir, tout aussi incapable de résoudre le problème du pape.
Tous unis dans la perplexité et la faiblesse humaine, tous sont troublés, apeurés, interrogatifs, tous sont des hommes, confrontés à la peur et l'incertitude, l'égocentrisme et l'hypocrisie, mais également l'espoir et l'amour, l'écoute et l'entraide. Vous ne déplorerez aucun cassus belli à l'encontre de l'Église donc, mais un regard plutôt attendri du cinéaste à l'égard de ces cardinaux un peu puérils, qui se chamaillent comme des gosses. Mais le psy, la caution scientifique, n'est pas en reste. Son enthousiasme à organiser un tournoi de volley entre les cardinaux est aussi réjouissant que les vaines tentatives des cardinaux australiens de se barrer du conclave pour aller voir une exposition du Caravage avant de plier les gaules et retrouver leurs pénates. C'est toujours pareil avec Moretti : on rit de la mauvaise foi et des enfantillages des êtres humains tout en gardant un regard très affectueux sur eux. Savant et délicat dosage d'humour et de compréhension, un cinéma de l'empathie.
Mais il faut garder à l'esprit que tout ce que je viens d'évoquer n'est que l'enveloppe du fruit, la chair est d'autre nature. Là encore, sa consistance a déjà été explorée par Moretti. Il ne vous échappera pas en effet que le film parle de cette liberté qu'un individu s'octroie, celle de prendre le temps de la réflexion, de se comprendre.
Comme dans le très "joli" "Caos Calmo", un certain Melville (hommage à Jean-Pierre ou Herman?) joué par Michel Piccoli, qui vient d'être élu pape, s'échappe du Vatican, fuit l'évènement parce qu'il lui faut réfléchir. Seul personnage un tant soit peu mature, il se trouve de suite accablé par les responsabilités que les autres lui mettent sur le dos. Juste avant son élection il faut entendre les supplications intérieures et honteuses des cardinaux implorant : "pas moi, Seigneur, je t'en supplie, pas moi!" C'est donc à lui qu'on refile la patate chaude. C'est lui qui endosse le rôle du père, et il se demande à juste titre s'il s'en sent capable. La réponse négative a priori l'oblige à fuir.
Peser la question nécessite du temps, beaucoup plus que de maigres secondes. Comme le papa veuf de "Caos calmo", le temps se doit d'être suspendu. A durée indéterminée, et ce, pour des raisons inconnues. Que ce soit pour des "carences de soins" dans l'enfance ou des ambitions théâtrales déçues, cela n'a pas bien grande importance finalement.
Le film respire la liberté, celle du pape qui ne veut pas être pape, celle du garde suisse qui danse en se goinfrant dans la chambre du pape, celle des cardinaux qui veulent faire l'école buissonnière. Qu'elle soit refusée ou accomplie, la liberté est partout présente dans les histoires de ce film, comme dans cette caméra détachée des injonctions et des tendances esthétiques du cinéma actuel. Et c'est une très grande fenêtre qui s'ouvre sur le Vatican, sur l'Italie, sur le théâtre, un peu aussi sur la psychanalyse, un grand bol d'air frais, un cinéma formidablement vivant, sain, ouvert.
En fin de compte, cette attitude très respectueuse, très proche est d'une fraicheur tout à fait réjouissante. Ma femme et moi avons passé un très agréable moment de cinéma.
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Re: Habemus papam (Nanni Moretti - 2011)
Strum a écrit :J'ai beaucoup aimé Habemus Papam, davantage que ce à quoi je m'attendais.
Du point de vue de la construction et de la mise en scène, c'est une belle réussite. Le film trouve un équilibre typique de la comédie italienne entre la tragédie et le comique. Contrairement à Joe, j'ai trouvé que les scènes de comédie avec Moretti et les cardinaux faisaient respirer le récit, qu'elles lui donnaient ce charme un peu ironique et désabusé que j'affectionne dans le cinéma italien.
L'autre réussite du film tient à ses thèmes. Je dois avouer que le sujet du film (l'élection d'un pape qui ne veut pas être pape) ne m'intéressait guère. Mais Moretti, comme son personnage de psychanalyste censé redonner au pape la joie de vivre, est absolument athée. Non pas un de ces athées qui ont le goût du sacrée et qui tentent, peut-être par désir de croire, de filmer la foi ou la spiritualité au cinéma. Mais un athée qu'amuse suffisamment la liturgie religieuse pour s'en moquer gentiment, et dont il se sent en même temps suffisamment détaché pour ne pas non plus la mépriser. Lorsque Moretti visite le Vatican comme s'il s'agissait d'un parc d'attractions ou d'un supermarché de la foi, commentaires à l'appui, on rit de bon coeur, mais on ne sent chez lui nulle aigreur. D'ailleurs, la psychanalyse en prend aussi pour son grade.
Le sujet d'Habemus Papam n'est donc qu'un prétexte pour Moretti, qui poursuit ici sa réflexion sur le pouvoir et la comédie, dont il explorait déjà un versant dans le Caïman. Dans la relation de pouvoir corrompue dont parle Moretti, l'homme de pouvoir est un acteur, et les sujets ou citoyens, des spectateurs. En tant qu'acteur, l'homme de pouvoir perverti de Moretti prend au lieu de donner. Il attend des spectateurs-citoyens qu'ils lui donnent leur affection, ne le quittent jamais des yeux, comblent un manque. Ce que dit en creux Habemus Papam, c'est que ce devrait être l'inverse. L'homme de pouvoir, celui qui commande, devrait donner et guider et non prendre. Il devrait lui-même combler les vides des citoyens car lui-même n'est en manque de rien ; au contraire, il a un trop plein qu'il doit partager avec d'autres. Le cardinal Melville, choisi par ses pairs pour devenir Pape, comprend qu'il ne peut devenir Pape car au fond de lui, il est resté cet acteur qu'il aurait aimé être (au lieu de faire semblant toute sa vie d'être un cardinal), qui recouvre la joie de vivre quand il entend du Tchekov dans un hôtel, et qui n'est heureux que dans un théâtre ou au milieu d'une troupe de comédiens.
Ce que montre le film également, c'est que le Pape laisse des fidèles désemparés. Là aussi, le propos du film doit se comprendre comme dépassant la seule liturgie catholique. Ce ne sont pas seulement des fidèles sans Pape qui sont désemparés, c'est un doute général qui s'est emparé des italiens et des italiennes, qui ressentent davantage que de coutume le besoin d'être guidés et accompagnés par des hommes de pouvoir probes et à la hauteur de leur tâche. Si ces derniers ne le sont pas, alors ils doivent renoncer, tant leur tâche est immense. Cela, Melville l'a bien senti, il comprend qu'il est un acteur avant tout, et c'est tout à son honneur de renoncer. D'autres feraient mieux d'en faire autant. Suivez le regard de Moretti. En cela, le film de Moretti s'inscrit dans le présent et le réel, comme tous ses films.
Mais je ne voudrais pas donner du film une impression de trop grand sérieux. Tout cela est dit avec beaucoup de légèreté et de chaleur, et on rit souvent. Comme le dit Stark, il y a effectivement quelque chose de rassurant à se dire que l'on peut encore compter sur certains cinéastes pour faire, à chacun de leurs films, de l'excellent cinéma.
Un film que j'ai découvert hier soir, et je me retrouve bien dans ton texte. Habemus Papam est une vraie belle surprise, on y retrouve les grandes qualités de la comédie italienne, un équilibre entre légèreté comique. Et fond d'une grande intelligence. Grâce à cet équilibre, le film n'est jamais lourd, ne donne jamais de leçon, ne semble jamais imposer un point de vue. Et puis au delà des réflexions sur le pouvoir, il y a une grande humanité, Moretti aime ses personnages et nous les rends attachants.
Je ne connaissais pas ce cinéaste, c'ést une agréable découverte.
- Père Jules
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Re: Habemus papam (Nanni Moretti - 2011)
Le tournoi de volley entre cardinaux est un grand moment de cinéma. Un vrai bon film.
- Demi-Lune
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Re: Habemus papam (Nanni Moretti - 2011)
Père Jules a écrit :Le tournoi de volley entre cardinaux est un grand moment de cinéma.
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Re: Habemus papam (Nanni Moretti - 2011)
Père Jules a écrit :Le tournoi de volley entre cardinaux est un grand moment de cinéma. Un vrai bon film.
Cette scène est effectivement superbe!
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Re: Habemus papam (Nanni Moretti - 2011)
Mais un peu longue quand même.
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- Machino
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Re: Habemus papam (Nanni Moretti - 2011)
Drôle et longue, oui. L'idée de départ est vraiment marrante et les passages sur la composition des équipes au moins autant, mais le tournoi tire en quand même en longueur.
Dans l'ensemble, j'ai l'impression que le film trouve un meilleur équilibre entre le drame personnel et le comique dans sa première partie ; l'élection du pape est vraiment épique avec ses magouilles à n'en plus finir pour... ne pas être élu
Dans l'ensemble, j'ai l'impression que le film trouve un meilleur équilibre entre le drame personnel et le comique dans sa première partie ; l'élection du pape est vraiment épique avec ses magouilles à n'en plus finir pour... ne pas être élu

- odelay
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Re: Habemus papam (Nanni Moretti - 2011)
A y est!
Bon, lui au moins, il ne s'est pas barré dans un bus pour errer dans la ville.
Par contre ça va faire bizarre d'avoir des news de François 1er au JT. Ca doit faire 500 ans que ça n'était pas arrivé.
Bon, lui au moins, il ne s'est pas barré dans un bus pour errer dans la ville.
Par contre ça va faire bizarre d'avoir des news de François 1er au JT. Ca doit faire 500 ans que ça n'était pas arrivé.
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- subMarine
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Re: Habemus papam (Nanni Moretti - 2011)
Sur RTL à l'instant ils disaient qu'il (François 1er) avait pour habitude de prendre les transports en commun pour se déplacer.odelay a écrit : Bon, lui au moins, il ne s'est pas barré dans un bus pour errer dans la ville.
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Re: Habemus papam (Nanni Moretti - 2011)
L'actualité me donne une furieuse envie de voir ce film.
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