The L Word [Saison 1]
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
- MJ
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+1Melmoth a écrit :Tout à fait, ses hésitations, ses réactions outrées, la difficulté de trouver un semblant de cohérence dans son comportement et son évolution m'ont beaucoup agacé. Aucune distance vis à vis d'elle et de ses "aventures" (c'est toujours très premier degré), les segments la concernant m'ont fortement ennuyé.Jack Bauer a écrit : Le seul aspect que je n'aime pas c'est le personnage incarné par Mia Kirshner : au début, je la comprends, même si je m'inditifie évidemment plus à Tim, mais sur la fin ses divagations m'ont agaçé.
Son personnage ne m'a pas vraiment interessé non plus et je le trouve souvent lourd. Ce n'est même plus des hésitations, j'ai l'impression qu'elle joue avec les uns et les autres pour éviter de se retrouver seule de son coté.
Il faut toujours qu'elle sorte quelque chose de philosophique qui n'a pas souvent lieu d'être dans le contexte de l'épisode.
Et son métier d'écrivain est un peu cliché ...
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Je me prosterne devant les mots de MJ !MJ a écrit :Mia Kirshner est une déesse et l'une des meilleure actrice de sa génération, bien qu'aussi la plus sous-estimée avec Sarah Polley.
Sarah Polley, sa voix racontant le Pied Piper dans Sweet Hereafter...ca ma hanté. Et Mia en strip teaseuse dans Exotica...bon sang.
bon je me calme
Deux canadiennes en-vou-tantes.
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J'ai regardé la première saison
Au départ, le pilote ne m'a pas vraiment accroché. J'ai eu très peur que ce soit un enchainement de clichés tout ça dans un univers "hype".
Mais j'ai été vraiment séduite. Il y a vraiment de très bonnes trames et j'ai dévoré les épisodes.
Je n'ai moi non plus pas vraiment accroché avec le personnage de jenny qui se pose des questions existentielles pendant les 13 épisodes: ça m'a un petit peu gonflé.
Mais, le reste des personnages est vraiment très bien. Chacune d'entre elles a sa personnalité et sa richesse.
Vivement la 2

Au départ, le pilote ne m'a pas vraiment accroché. J'ai eu très peur que ce soit un enchainement de clichés tout ça dans un univers "hype".
Mais j'ai été vraiment séduite. Il y a vraiment de très bonnes trames et j'ai dévoré les épisodes.
Je n'ai moi non plus pas vraiment accroché avec le personnage de jenny qui se pose des questions existentielles pendant les 13 épisodes: ça m'a un petit peu gonflé.
Mais, le reste des personnages est vraiment très bien. Chacune d'entre elles a sa personnalité et sa richesse.
Vivement la 2


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- Harmonica
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- Doublure lumière
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Vu les cinq premiers épisodes de la saison 2 et effectivement c'est du tout bon. Toujours dans la même lignée que la saison 1, et j'ai même l'impression que chaque personnage gagne en profondeur ; surtout Shane, Alice et Bette. Remarque aussi très importante, la série possède enfin un vrai générique très décalé et très esthétique. Les nouveaux membres du casting sont eux aussi excellents. Je vais vite aller regarder la suite 

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- King of (lolli)pop
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Je vais pas aller jusqu'à dire que je suis bouleversé, mais je suis tout à fait conquis, du moins par ce que je viens de découvrir, le pilote de la série. Pas vu mieux depuis Urgences et Six Feet Under.
Autant j'avais une infime réserve quant à l'exposition des personnages qui m'a paru un peu trop expédiée, autant dès qu'on comprend les enjeux, c'est d'une fluidité admirable et ce jusqu'au dernier plan.
Le pilote dure une heure trente pile, pourtant j'ai eu l'impression que ça durait quarante cinq minutes, tant c'est bien écrit, bien joué, bien réalisé. Photo très douce, agréable, lumineuse aussi, malgré, mais je pense que c'est fait expres du grain dans des scènes d'intérieur.
Les actrices y croient à fond, je suppose qu'en plus elles sont à peu près toutes hétéro dans la vie, purs rôles de compositions donc, ça n'en est que plus dur à jouer, surtout les scènes de nu avec les relations sexuelles. Jennifer Beals en tailleur noir, la classe. Elle a changé depuis Flashdance, je la trouve à croquer.
L'histoire ne m'a pas paru cliché, je crois que c'est Majordome qui parlait de vulgarité, de série branchée, de laideur même. J'ai rien vu de tout cela, pas plus qu'une suite de clichés. Le milieu lesbien de LA que je ne connais pas personnellement ne me paraît ni outré, ni enjolivé pour faire de belles images. Les filles ont l'air de s'amuser, ça pourrait être la même chose à Paris. Elles ont aussi leurs coups durs.
J'ai accroché au personnage de Mia Kirshner, parmi ceux dans lesquels je me retrouve le plus, on n'a pas de mal à s'identifier à elle, une jeune femme qui veut connaître d'autres expériences, sans toutefois se lancer à fond, compréhensive et fascinée, mais aussi un peu effrayée par ce qu'elle découvre, non pas parce que c'est malsain, mais parce qu'elle a un copain, qu'elle pense connaître sa sexualité. Le type qui joue son mec s'en sort aussi très bien, lui laissant une marge de liberté, ne lui prenant pas la tête.
L'histoire du couple qui essaie d'avoir un gosse m'a valu aussi quelques bons rires, comme quoi c'est loin d'être morose ou moralisateur, quand elles ne savent plus à quel homme se vouer.
Bref, de tout ce que j'ai vu, y compris les films de ce mois, c'est dans le haut du panier, supérieur à pas mal de long-métrages que j'ai vu.
Autant j'avais une infime réserve quant à l'exposition des personnages qui m'a paru un peu trop expédiée, autant dès qu'on comprend les enjeux, c'est d'une fluidité admirable et ce jusqu'au dernier plan.
Le pilote dure une heure trente pile, pourtant j'ai eu l'impression que ça durait quarante cinq minutes, tant c'est bien écrit, bien joué, bien réalisé. Photo très douce, agréable, lumineuse aussi, malgré, mais je pense que c'est fait expres du grain dans des scènes d'intérieur.
Les actrices y croient à fond, je suppose qu'en plus elles sont à peu près toutes hétéro dans la vie, purs rôles de compositions donc, ça n'en est que plus dur à jouer, surtout les scènes de nu avec les relations sexuelles. Jennifer Beals en tailleur noir, la classe. Elle a changé depuis Flashdance, je la trouve à croquer.
L'histoire ne m'a pas paru cliché, je crois que c'est Majordome qui parlait de vulgarité, de série branchée, de laideur même. J'ai rien vu de tout cela, pas plus qu'une suite de clichés. Le milieu lesbien de LA que je ne connais pas personnellement ne me paraît ni outré, ni enjolivé pour faire de belles images. Les filles ont l'air de s'amuser, ça pourrait être la même chose à Paris. Elles ont aussi leurs coups durs.
J'ai accroché au personnage de Mia Kirshner, parmi ceux dans lesquels je me retrouve le plus, on n'a pas de mal à s'identifier à elle, une jeune femme qui veut connaître d'autres expériences, sans toutefois se lancer à fond, compréhensive et fascinée, mais aussi un peu effrayée par ce qu'elle découvre, non pas parce que c'est malsain, mais parce qu'elle a un copain, qu'elle pense connaître sa sexualité. Le type qui joue son mec s'en sort aussi très bien, lui laissant une marge de liberté, ne lui prenant pas la tête.
L'histoire du couple qui essaie d'avoir un gosse m'a valu aussi quelques bons rires, comme quoi c'est loin d'être morose ou moralisateur, quand elles ne savent plus à quel homme se vouer.
Bref, de tout ce que j'ai vu, y compris les films de ce mois, c'est dans le haut du panier, supérieur à pas mal de long-métrages que j'ai vu.
Je vote pour Victoria Romanova
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- Doublure lumière
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Fini la saison 3 hier...et bon sang qu'est-ce que cette série est excellente ! Une saison qui surpasse de très loin la saison 2 (que j'avais pourtant adoré). Une saison sous le signe de l'émotion, tout va crescendo et je n'aurais pas cru que cela aurait pu devenir aussi dur.
Seul petit bémol, je n'ai plus beaucoup de sympathie envers Bette et Tina, les seules qui ont réussies à me gonfler cette saison.
J'ai adoré les introductions qui cette année nous présente les fameux liens que tous les personnages ont entre eux depuis le début, vous savez le tableau qu'Alice dresse au début de la série (tout le monde couche avec tout le monde).
Bref, sur treize épisodes, quasiment pas une fausse note. Un drama d'une force rare.
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Seul petit bémol, je n'ai plus beaucoup de sympathie envers Bette et Tina, les seules qui ont réussies à me gonfler cette saison.
J'ai adoré les introductions qui cette année nous présente les fameux liens que tous les personnages ont entre eux depuis le début, vous savez le tableau qu'Alice dresse au début de la série (tout le monde couche avec tout le monde).
Bref, sur treize épisodes, quasiment pas une fausse note. Un drama d'une force rare.
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- 3D Maximal
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- Localisation : Back to real life !
C'est pas tout mais est-ce que ça broute dur ?
Désolé ... je pense jetter un oeil sur cette série histoire de voir même si je ne suis pas certains d'accrocher vraiment, non pas que je n'aime les belles lesbiennes glamour bien au contraire.



Désolé ... je pense jetter un oeil sur cette série histoire de voir même si je ne suis pas certains d'accrocher vraiment, non pas que je n'aime les belles lesbiennes glamour bien au contraire.
There is something very important that we need to do as soon as possible.
What's that?
Fuck !
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- AtCloseRange
- Mémé Lenchon
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Je viens de voir la fin (bien prenante) de la 3ème saison, la meilleure peut-être après une 2ème saison un peu excessive.
A noter l'apparition d'Elodie Bouchez à la fin de cette 3ème saison. Pour un rôle récurrent peut-être?
Et également le grand retour d'Eric Roberts (après son rôle à moumoute dans Heroes), voilà qui fait plaisir.
A noter l'apparition d'Elodie Bouchez à la fin de cette 3ème saison. Pour un rôle récurrent peut-être?
Et également le grand retour d'Eric Roberts (après son rôle à moumoute dans Heroes), voilà qui fait plaisir.
Meilleur topic de l'univers
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 13&t=39694
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