Dvdclassik : cinéma et DVD

Coxwell a écrit : ↑6 mai 25, 12:37D'autant plus que le Monsieur n'a jamais réalisé de remake raté dans sa carrière. Hum Hum.

Je lui pardonne volontiers Old Boy, l'original étant déjà un bien mauvais film.

Old Boy un mauvais film? Je l'ai revu et je le trouve tellement fort même si ce n'est pas mon préféré de la sa trilogie.

Dunn a écrit : ↑6 mai 25, 14:45 Old Boy un mauvais film? Je l'ai revu et je le trouve tellement fort même si ce n'est pas mon préféré de la sa trilogie.

Je n'aime pas le cinéma de Park Chan Wook, au delà de JSA.

Non mais même JSA c'est pas dingue, faut arrêter avec ça. Et globalement avec Park Chan-wook (j'ai encore du mal à me remettre de son Sympathy for Mr Vengeance, que j'avais littéralement détesté).
Mais pour en revenir au nouveau remake made in Spike Lee, il y a 20 ans (époque Inside Man), j'aurais été un peu excité ; mais les Spike Lee récents, c'est quand même pas la folie...

Flol a écrit : ↑6 mai 25, 16:17 Non mais même JSA c'est pas dingue, faut arrêter avec ça.

Ah non, je dis juste que je l'aime bien alors que je n'aime aucun autre des PCW que j'ai vu.

Mais pour en revenir au nouveau remake made in Spike Lee, il y a 20 ans (époque Inside Man), j'aurais été un peu excité ; mais les Spike Lee récents, c'est quand même pas la folie...

J'aime bien Chi-raq et Da Sweet Blood of Jesus.
Mais bon, BlacKkKlansman et Da 5 Bloods, ça s'oubliait aussi vite que ça se voyait. J'ai pas beaucoup d'espoirs pour ce nouveau film, mais je préfère Spike Lee quand il filme New York avec un fond de thriller ou de polar que quasiment tout le reste (Clockers reste le film que je préfère de lui).

Colqhoun a écrit : ↑6 mai 25, 14:01

Coxwell a écrit : ↑6 mai 25, 12:37D'autant plus que le Monsieur n'a jamais réalisé de remake raté dans sa carrière. Hum Hum.

Je lui pardonne volontiers Old Boy, l'original étant déjà un bien mauvais film.

Ah. Un de mes films préférés.

Flol a écrit : ↑6 mai 25, 16:17 Non mais même JSA c'est pas dingue, faut arrêter avec ça. Et globalement avec Park Chan-wook (j'ai encore du mal à me remettre de son Sympathy for Mr Vengeance, que j'avais littéralement détesté).
Mais pour en revenir au nouveau remake made in Spike Lee, il y a 20 ans (époque Inside Man), j'aurais été un peu excité ; mais les Spike Lee récents, c'est quand même pas la folie...

Un réalisateur majeur de sa génération, qui a bousculé le cinéma coréen, et qui a cherché à bousculer un certain nombre de codes de la société à travers ses films. Et justement, la plupart sont animés par un vrai sens de la mise en scène. Mademoiselle par ex (et on pourrait citer JSA, I'm a cyborg) est un film audacieux. C'est quand même bien difficile de ne pas reconnaître son impact, et surtout son authenticité (ce qui est souvent bien le contraire dans Spike Lee, particulièrement cynique dans ses choix commerciaux et sa manipulation politique).

Coxwell a écrit : ↑6 mai 25, 17:29Un réalisateur majeur de sa génération,

Je suis d'accord

qui a bousculé le cinéma coréen

Je suis aussi d'accord

et qui a cherché à bousculer un certain nombre de codes de la société à travers ses films

Possible oui.

C'est quand même bien difficile de ne pas reconnaître son impact

C'est vrai.

et surtout son authenticité

C'est là où ça coince pour moi. Je vois beaucoup d'esbrouffe, de provoc facile, maladroite, sans grand impact, de brassage de vent, de "tout ça pour ça", de sadisme en carton, etc.
En gros, je ne crois pas en ses films.

(ce qui est souvent bien le contraire dans Spike Lee, particulièrement cynique dans ses choix commerciaux et sa manipulation politique)

Peut-être depuis le début des années 2000.
Mais je ne vois pas beaucoup de cynisme dans sa première moitié de carrière, tout du moins jusqu'au début des années 2000. Ensuite ça se gâte oui.

Coxwell a écrit : ↑6 mai 25, 17:24

Colqhoun a écrit : ↑6 mai 25, 14:01 Je lui pardonne volontiers Old Boy, l'original étant déjà un bien mauvais film.

Ah. Un de mes films préférés.

L'esbrouffe de sa mise en scène (JSA, vraiment ?) ne remet pas en question l'authenticité de son geste cinématographique voire même de son engagement vis à vis du sujet/société.