Dvdclassik : cinéma et DVD

Un monde merveilleux: 4.5/10

Mission impossible 8 : 6/10

Balle Perdue 3 (Netflix) 6/10

A Working Man (Prime Video) : 3/10

Un sous-sous-Taken/Equalizer-like tellement mauvais que ça en devient presque risible par moments (la faune de bad guys est priceless - j'ai particulièrement apprécié le black dans son repaire pour bikers avec son espèce de trône fait de pots d'échappement de bécanes chromés). Je suspecte d'ailleurs David Ayer et Stallone d'avoir torché l'adaptation du roman de Chuck Dixon au sortir d'un repas un peu trop arrosé vu le niveau de certains dialogues et surtout la proportion d'incohérences qui caviardent le film

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(la meilleure : l'ex-militaire reconverti dans le BTP incarné par Statham qui s'emmerde à se faire passer pour un acheteur de crystal meth pour remonter jusqu'au vilain russe d'opérette derrière le kidnapping de la fille de son boss alors qu'en consultant les photos du portable du barman dessoudé au tout début, ce qu'il fait bien plus tard, il tenait direct l'homme de main de ce dernier et pouvait ainsi retrouver la gamine).

Bref, ce n'est pas avec ce genre de daube générique, conçue en plus pour développer une potentielle franchise, que feu le réalisateur de Harsh Times et End of Watch va remonter la pente.

LA CHAMBRE D'A COTE (Pedro Almodóvar) : 6,5/10
MISSION: IMPOSSIBLE, FINAL RECKONING (Christopher McQuarrie) : 3/10
RUMOURS, NUIT BLANCHE AU SOMMET (Guy Maddin) : 3/10

Fountain of youth (Guy Ritchie) : 3/10
Quand le cool tue le film… Il vaut mieux être dans le cool que dans la vraisemblance, alors les acteurs sont cools au delà des limites, toujours un petit sourire ou un mot bien placé même si ils sont sans arme au coeur d’une fusillade ou à deux doigts d’être engloutis par les océans (sauf Natalie Portman qui a l’air constamment constipée). Conséquence, les wagons d’insouciance des personnages roulent sur les rails de l’indifférence du spectateur.
Guy Ritchie voulait sans doute faire son propre Indiana Jones mais il n’arrive même pas à la cheville de l’Allan Quatermain de Richard Chamberlain.

Mission: Impossible - The Final Reckoning de Christopher McQuarrie 7/10

Mission: Impossible the final Reckoning 5,5/10
Cruelle déception pour ce dernier opus. Cruise assure dans les 2 formidables scènes d'actions (notamment celle hallucinante du sous marin qui mérite à elle seule le déplacement) mais pour le reste, j'ai l'impression qu'il a bouffé McQuarrie avec ses idées et surtout sa fonction de Dieu suprême! Absolument tout est fait dans cet opus pour montrer son héros en Super héros (d'ailleurs avec tous ses rattachements aux autres épisodes et aux filiations de personnages, on a l'impression de voir un MCU) et le rendre invincible (on ressent clairement aucune peur pour lui sauf dans la scène sous marine), responsable du chaos ( c'est de sa faute tout ce qui arrive donc il est le seul à sauver le monde) et j'en passe. Je continue à penser qu'ils ont voulu en faire trop (vu le succès de Fallout) et qu'ils se sont sentit pousser des ailes , que les 2 films auraient très bien pu tenir en un seul. Et puis cette menace I.A. est tellement mal exploitée. Quand au méchant...

La venue de l'avenir : 7,5/10
Un Kaplisch grand cru, qui n'est pas sans rappeler, dans son dispositif, le Midnight in Paris de Woody Allen.
Salle bien remplie pour un dimanche après-midi. Je pressens un beau succès populaire, ce qui serait mérité.

La petite dernière : 8/10

Nestor Almendros a écrit : ↑25 mai 25, 19:08 La petite dernière : 8/10

Vraiment hâte de découvrir ce film en octobre. J'adore tout autant Hafsia Herzi comédienne que réalisatrice.

Sa carrière est très intéressante, tant dans ses choix de comédienne que pour ses films, qui sont de plus en plus réussis.

Nestor Almendros a écrit : ↑25 mai 25, 19:18 Sa carrière est très intéressante, tant dans ses choix de comédienne que pour ses films, qui sont de plus en plus réussis.

J'ai déjà beaucoup apprécié ses deux précédents. J'attends énormément de celui-ci et ta note me conforte dans cette attente.

Dunn a écrit : ↑25 mai 25, 16:21 (...) on ressent clairement aucune peur pour lui sauf dans la scène sous marine (...)

Il se chie un peu dessus tout de même à la sortie du caisson qui le met en lien avec l'Entité...