... à chaque fois que Mr Pink commandait du café?Nikita a écrit :dès le prégénérique, j'avais joui quatre fois
Reservoir dogs (Quentin Tarantino - 1992)
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Non, quand ils parlent de Like a Virgin !Bob Harris a écrit :... à chaque fois que Mr Pink commandait du café?Nikita a écrit :dès le prégénérique, j'avais joui quatre fois

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Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Reservoir Dogs c'est très bien, super BO, supers acteurs, très bonne mise en scène, plein de références, etc...
Mais je préfère Pulp Fiction, jubilatoire, fun, cool, avec ses éclairs de violence, ses acteurs, le jukebox, le concours de danse, etc...
Je n'arrive pas à m'en lasser, mais je ne l'ai pas vu trente six fois non, juste quatre ou cinq. N'abusons pas des bonnes choses.
Mais je préfère Pulp Fiction, jubilatoire, fun, cool, avec ses éclairs de violence, ses acteurs, le jukebox, le concours de danse, etc...
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Pulp Fiction, c'est un peu un Reservoir Dogs aboutie !Jordan White a écrit :Reservoir Dogs c'est très bien, super BO, supers acteurs, très bonne mise en scène, plein de références, etc...
Mais je préfère Pulp Fiction, jubilatoire, fun, cool, avec ses éclairs de violence, ses acteurs, le jukebox, le concours de danse, etc...
Je n'arrive pas à m'en lasser, mais je ne l'ai pas vu trente six fois non, juste quatre ou cinq. N'abusons pas des bonnes choses.
Comme si QT avait dévellopé son Reservoir Dogs et retravaillé sa mise en scène pour la rendre plus mature et plus stylisé.
Toutefois, je considere Reservoir Dogs comme plus jouissif pour sa liberté de ton et son coté "film réalisé avec 2 euros 50" donc inventif.
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Je ne trouve pas; Reservoir dogs est ironique tandis que Pulp fiction est parodiqueKevin95 a écrit :Pulp Fiction, c'est un peu un Reservoir Dogs aboutie !Jordan White a écrit :Reservoir Dogs c'est très bien, super BO, supers acteurs, très bonne mise en scène, plein de références, etc...
Mais je préfère Pulp Fiction, jubilatoire, fun, cool, avec ses éclairs de violence, ses acteurs, le jukebox, le concours de danse, etc...
Je n'arrive pas à m'en lasser, mais je ne l'ai pas vu trente six fois non, juste quatre ou cinq. N'abusons pas des bonnes choses.
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+ 1Nikita a écrit :1992 était vraiment une grande année cinématographique en ce qui me concerne
Quel choc au mois de septembre, je ne savais rien du film, dès le prégénérique, j'avais joui quatre fois
Tous les films de Tarantino sont des chef d'oeuvres.
Il y a des cinéastes comme ça. Il représente à lui seul cette modernité à l'oeuvre aujourd'hui : le cinéma chez lui est un but en soi, il travaille la fiction comme une matière pré-existante... Et l'histoire du cinéma est son terrain de jeu.
On peut trouver cela puéril, inopérant, ringard... enfin bref tout ce que l'on veut mais il le fait avec un tel talent, une telle sensibilité, une telle invention ! Ces films, en ce sens, provoquent chez moi une immense mélancolie : comme si le cinéma était déjà derrière nous... Je trouve par exemple Pulp Fiction morbide : toutes ces figures de série B qui meurent, ressuscitent et croisent des fantômes...
Je trouve son cinéma assez inoui et surtout : unique !
Un spécialiste de Tarantino nous parle...Simone Choule a écrit : Tous les films de Tarantino sont des chef d'oeuvres.
Il y a des cinéastes comme ça. Il représente à lui seul cette modernité à l'oeuvre aujourd'hui : le cinéma chez lui est un but en soi, il travaille la fiction comme une matière pré-existante... Et l'histoire du cinéma est son terrain de jeu.
On peut trouver cela puéril, inopérant, ringard... enfin bref tout ce que l'on veut mais il le fait avec un tel talent, une telle sensibilité, une telle invention ! Ces films, en ce sens, provoque chez moi une immense mélancolie : comme si le cinéma était déjà derrière nous... Je trouve par exemple Pulp Fiction morbide : toutes ces figures de série B qui meurent, ressuscitent et croisent des fantômes...
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Heureux de voir que tu sembles avoir revu à la hausse Kill Bill.

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Très jolie formule, je ne voyais pas les choses comme çaSimone Choule a écrit :+ 1Nikita a écrit :1992 était vraiment une grande année cinématographique en ce qui me concerne
Quel choc au mois de septembre, je ne savais rien du film, dès le prégénérique, j'avais joui quatre fois
Tous les films de Tarantino sont des chef d'oeuvres.
Il y a des cinéastes comme ça. Il représente à lui seul cette modernité à l'oeuvre aujourd'hui : le cinéma chez lui est un but en soi, il travaille la fiction comme une matière pré-existante... Et l'histoire du cinéma est son terrain de jeu.
On peut trouver cela puéril, inopérant, ringard... enfin bref tout ce que l'on veut mais il le fait avec un tel talent, une telle sensibilité, une telle invention ! Ces films, en ce sens, provoquent chez moi une immense mélancolie : comme si le cinéma était déjà derrière nous... Je trouve par exemple Pulp Fiction morbide : toutes ces figures de série B qui meurent, ressuscitent et croisent des fantômes...
Je trouve son cinéma assez inoui et surtout : unique !
Pour ma part, j'aime la mélancolie que portent ses personnages, qui, me semble-t-il, à degrés divers, aspirent à la liberté, ou du moins, fuir un environnement qui les étouffe.
Dans Pulp, Butch & Fabienne l'expriment de manière explicite, Mia c'est plus équivoque (encore que); dans JB Jackie fuit comme Butch & Fabienne, et abandonne son passé; dans KB Beatrix a besoin d'accomplir sa vengeance pour se libérer. Un point de vue très terre-à-terre mais c'est comme ça que je ressens la mélancolie dans ses films.