Erotik topic

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky

Répondre
John Constantine
Un Justicier dans la Cuisine
Messages : 10337
Inscription : 4 juin 03, 20:30
Localisation : Bolivie

Message par John Constantine »

Bob Harris a écrit :
John Constantine a écrit :Derrière la porte verte.
Merde, il était passé à la Cinémathque vendredi !
vf only, avec cependant un court-métrage sympa au début, un genre de porno argentin avec des poupées Barbie et Ken comme acteurs.
Puissant, corrompu et menteur
Image
You two do make a charming couple though, you're both, what's the expression, damaged goods.
Jordan White
King of (lolli)pop
Messages : 15433
Inscription : 14 avr. 03, 15:14

Message par Jordan White »

John Constantine a écrit :
Bob Harris a écrit : Merde, il était passé à la Cinémathque vendredi !
vf only, avec cependant un court-métrage sympa au début, un genre de porno argentin avec des poupées Barbie et Ken comme acteurs.

Là je dois avouer que je suis jaloux...
Image

Je vote pour Victoria Romanova
Jordan White
King of (lolli)pop
Messages : 15433
Inscription : 14 avr. 03, 15:14

Message par Jordan White »

Gay Country - ChiChi Larue - 1993

Abordons ici un genre qu'on a pas encore abordé. Le X gay a toujours existé, de façon clandestine d'abord, beaucoup plus commerciale ensuite. Le tournant pour ce ciné est l'année 1969 où sort à San Francisco une cassette de compilation regroupant des dizaines de courts-métrages mettant en scène des pratiques jugées jusqu'àlors scandaleuses. La photographie noir et blanc le confère à un réseau marginal de distribution mais le film va devenir très vite culte dans le milieu homo du début des années 70. Il met en outre en scène la première scène de fist entre hommes.
1972: Sortie de Pink Narcissus de Kenneth Anger qui avait réalisé un court avec une imagerie très biker-like à la fin de 1963, intitulé Scorpio Rising, dont Corman va s'inspirer. Il réalisera quelque temps plus tard un film s'inspirant de cet univers, The Wild Angel en 66. On peut dire que le porno gay est une réponse alternative, militante au lendemain des évènements de Stonewall.
En parallèle, dans les années 80 le cinéma de Cadinot va en françe proposer des longs-métrages ( d'abord des films d'environ 1 h puis ensuite des films plus longs). C'est au milieu années 90, qu'il sera rejoint sur le créneau par Jean-noel René Clair et Hervé Bodilis.
Pour en revenir au film qui nous intéresse, Gay Country, fait partie de ces films gays comme il en a été produit des centaines au début des années 90, avec l'image culte du type bodybuildé, dont la grande icône est Jeff Stryker. Ici, c'est Ryan Idol qu'on retrouve dans des scènes chaudes se déroulant sous le soleil de Californie. On retrouve des scènes de fellations et de pénétrations basiques, sauf qu'on remarquera l'emploi systématique du préservatif - dans tous les films X gays depuis le milieu des 90's- contrairement au porno hétéro qui dans beaucoup de cas ne le fera pas, sauf aux US dans les grosses productions - . Les scènes sont aussi longues, sauf qu'elles se concluent par des éjacs sur les fesses ou le corps au contraire encore une fois du leitmotiv du X straight. Les décors sont des piscines, des appartements, des chambres à coucher, des salons, dans une grange à foin, où des types s'embrassent avant de passer aux choses sérieuses.
Le film est réalisé par ChiChi Larue, un des plus connus dans le métier, et contrairement à certains français - dont JNRC- il n'emploie souvent que des gays straight, quand JNRC fait tourner des hétéros qui le disent devant sa caméra avant d'aller s'amuser avec Marcel dans une chambre, ou en solo devant la caméra. D'où une certaine hypocrisie de ce genre de films, qui annonce tout de go que de toutes façons, les types rentreront voir madame après le tournage, si madame il y a.
A signaler que ce film a été le seul film X homo diffusé sur Canal + depuis le premier en 85. La chaîne n'a depuis pas retenté l'expérience.
Image

Je vote pour Victoria Romanova
Requiem
David O. Selznick
Messages : 12124
Inscription : 13 avr. 03, 10:37
Localisation : In the veins of the Dragon

Message par Requiem »

Je me souviens avoir entraperçu un jour sur Canal un film gay à l'origine classé X mais passé -16 grâce à l'intervention de Jack Lang. Quelqu'un voit de quoi je parle ? C'était passé lors d'une nuit thématique placée sous le signe du cinéma homosexuel.
Image
ENTER THE DRAGON...
Reine du bal masqué saison 11
M_RiK
Joe la Burne vectorisée
Messages : 5226
Inscription : 1 juil. 03, 09:25
Localisation : Nowhere to be found...

Message par M_RiK »

Requiem a écrit :Je me souviens avoir entraperçu un jour sur Canal un film gay à l'origine classé X mais passé -16 grâce à l'intervention de Jack Lang. Quelqu'un voit de quoi je parle ? C'était passé lors d'une nuit thématique placée sous le signe du cinéma homosexuel.
Hustler White ?
M_RiK, "Far away from the land of our birth, we fly a flag in some foreign earth."
Jordan White
King of (lolli)pop
Messages : 15433
Inscription : 14 avr. 03, 15:14

Message par Jordan White »

C'est bien Hustler White, de Bruce LaBruce (1996). J'en avais déjà parlé ici même, le film n'étant pas X au sens strict, malgré une ou deux scènes hards et donc non simulées.
Image

Je vote pour Victoria Romanova
M_RiK
Joe la Burne vectorisée
Messages : 5226
Inscription : 1 juil. 03, 09:25
Localisation : Nowhere to be found...

Message par M_RiK »

Jordan White a écrit :C'est bien Hustler White, de Bruce LaBruce (1996). J'en avais déjà parlé ici même, le film n'étant pas X au sens strict, malgré une ou deux scènes hards et donc non simulées.
Ouf (un moment j'ai eu peur de passer pour une buse). Effectivement, il méritait bien son "déclassement", même si je n'en garde pas un souvenir bien mémorable. C'est ce film sur lequel on peut voir, en bonus sur le DVD, Bruce LaBruce en train de mater son film à la télé en faisant n'importe quoi (la caméra étant posée sur le poste) ?
M_RiK, "Far away from the land of our birth, we fly a flag in some foreign earth."
Jordan White
King of (lolli)pop
Messages : 15433
Inscription : 14 avr. 03, 15:14

Message par Jordan White »

M_RiK a écrit :
Jordan White a écrit :C'est bien Hustler White, de Bruce LaBruce (1996). J'en avais déjà parlé ici même, le film n'étant pas X au sens strict, malgré une ou deux scènes hards et donc non simulées.
Ouf (un moment j'ai eu peur de passer pour une buse). Effectivement, il méritait bien son "déclassement", même si je n'en garde pas un souvenir bien mémorable. C'est ce film sur lequel on peut voir, en bonus sur le DVD, Bruce LaBruce en train de mater son film à la télé en faisant n'importe quoi (la caméra étant posée sur le poste) ?

Le film est plus une comédie légère qui parodie entre autres Sunset Boulevard qu'un film qui fait preuve d'un militantisme radical. Bruce Labruce tourne en 1.33 et est fasciné par Tony Ward à l'écran ( et dans la vie aussi à n'en pas douter). Maintenant quant à savoir s'il "méritait son déclassement", ça lui a permis d'avoir une carrière en salles et d'être donc plus visible que s'il avait été X.
Le Bonus est bien un commentaire vidéo en compagnie de deux types qui regardent le film avec lui.
Image

Je vote pour Victoria Romanova
Avatar de l’utilisateur
vic
viking
Messages : 3671
Inscription : 26 avr. 03, 18:37
Localisation : IHTFP

Message par vic »

Je découvre seulement ce topic, très instructif à tout point de vue, surtout pour les avis éclairés de Jordan et des rares à poster sérieusement, évidemment. :wink:

J'ai bcp aimé Hustler White (vu en salle), et je serais curieux de voir Gay Country, même si j'imagine bien que c'est très différent.

Et je suis dégouté aussi d'avoir raté Derrière la porte verte, que je rêve de voir depuis longtemps... :cry:

Ah oui, et Pink Narcissus n'est pas de Ken Anger, contrairement à ce qui a été cru longtemps, mais le nom du gars (qui a fini par être rélévé) m'échappe...
Image
Unité Ogami Ittô

Withdrawing in disgust is not the same thing as apathy.

*Insane Insomniac Team*
Happy Charly
Assistant opérateur
Messages : 2539
Inscription : 16 nov. 03, 12:10
Localisation : Loin de la civilisation... dans l'trou-du-cul du monde, quoi !
Contact :

Message par Happy Charly »

Jordan White a écrit :Gay Country - ChiChi Larue - 1993

Abordons ici un genre qu'on a pas encore abordé. Le X gay a toujours existé, de façon clandestine d'abord, beaucoup plus commerciale ensuite. Le tournant pour ce ciné est l'année 1969 où sort à San Francisco une cassette de compilation regroupant des dizaines de courts-métrages mettant en scène des pratiques jugées jusqu'àlors scandaleuses. La photographie noir et blanc le confère à un réseau marginal de distribution mais le film va devenir très vite culte dans le milieu homo du début des années 70. Il met en outre en scène la première scène de fist entre hommes.
1972: Sortie de Pink Narcissus de Kenneth Anger qui avait réalisé un court avec une imagerie très biker-like à la fin de 1963, intitulé Scorpio Rising, dont Corman va s'inspirer. Il réalisera quelque temps plus tard un film s'inspirant de cet univers, The Wild Angel en 66. (...)
A signaler que ce film a été le seul film X homo diffusé sur Canal + depuis le premier en 85. La chaîne n'a depuis pas retenté l'expérience.
Perdu :twisted: :twisted: :twisted:

En juillet 1998, si ma mémoire ne me fait pas défaut et comme je n'avais pas regardé ce film... du moins au-delà des cinq minutes de curiosité, Canal a diffusé un film gay avec ce bel avocat trompé par son amant et partant se ressourcer et agrandir le cercle intime de ses amis, vêtus de chemises à carreaux et grosses caterpillars et aux corps athlétiques et imberbes, dans une ferme... genre du Montana ou connerie de ce genre :wink:

Un film récent et qui dépassa les bornes- selon certains, déjà qu'au mois de juin de la même année ( queue je me souvienne ), Canal diffusait "PINK PRISON" avec une scène d'ouverture où il semblait que l'un des prisonniers se tapent un peu trop la tête entre les barreaux secoués par son co-déténu :shock: :? :oops:

Enfin, moua j'dis ça mais j'ai conservé alors mon abonnement à Canal comparé à d'autres de mes collègues :twisted: :twisted: :twisted:

Et arrêtons de parler d'ça où je sens queue je vais encore être obligé de m'taper un film avec Titof et là j'parle pas du comique mais de/du monotesticule :? :? :?
Image
mannhunter
Laspalès
Messages : 17874
Inscription : 13 avr. 03, 11:05
Localisation : Haute Normandie et Ile de France!
Contact :

Message par mannhunter »

personne ne connait ce grand film méconnu de lucio Fulci? :D

Image

Image

Image

Image
Avatar de l’utilisateur
-Kaonashi-
Tata Yuyu
Messages : 11636
Inscription : 21 avr. 03, 16:18
Contact :

Message par -Kaonashi- »

Rob-Zombie a écrit :et agrandir le cercle intime de ses amis
Ben tiens, c'est fin comme jeu de mots... :mrgreen: :arrow:
Happy Charly
Assistant opérateur
Messages : 2539
Inscription : 16 nov. 03, 12:10
Localisation : Loin de la civilisation... dans l'trou-du-cul du monde, quoi !
Contact :

Message par Happy Charly »

Rob-Zombie a écrit :et agrandir le cercle intime de ses amis
-Kaonashi Yota- a écrit :Ben tiens, c'est fin comme jeu de mots... :mrgreen: :arrow:
Tu crois tout d'même pas queue je l'aurais fait par accident, dis :wink: :lol: :lol:
Image
Jordan White
King of (lolli)pop
Messages : 15433
Inscription : 14 avr. 03, 15:14

Message par Jordan White »

Déterrage de topic pour cause de visionnages de classiques du genre.

On commence par deux Burd Tranbaree, avec un film culte par sa renommée mais oubliable et sentant la fin d'une époque, tandis que le second est beaucoup plus prestigieux et inspiré :

L'initiation d'une femme mariée - 1983 -
Un film en 35 mm qui repose sur la performance de Richard Lemieuvre (le mari) et Cathy Ménard ( la femme), l'un et l'autre expérimentant diverses expériences sexuelles plus débridées les unes que les autres. Le mari veut en fait à partir d'un scénario de vaudeville apprendre à sa femme à se libérer de la routine en lui faisant parcourir la capitale dans des endroits chauds où il la laisse au sein d'autres personnes pour l'initier. L'image est moyenne, les acteurs font preuve d'un certain humour, mais on sent que c'est la fin d'une grande époque et que ce genre de production touche à sa fin. Peu de temps après ce dernier film produit par Alpha-France c'est la video qui va tout faire exploser en terme de vente. Celui-ci tient donc une valeur historique, même si je ne suis pas du tout fan de Cathy Ménard, souvent limitée dans le registre de la comédie et qui manque de charisme. Piotr Stanislas fidèle à lui-même en fait des tonnes.
Dispensable
5/10

Les bas de soie noire - 1981 -
Réalisé seulement deux ans auparavant, ce dernier inflige une claque à L'initiation... en terme de direction d'acteur, de scénario et surtout par rapport à sa brochette d'acteurs. Elisabeth Buré, Piotr Stanislas, Richard Lemieuvre, mais surtout Christina Schwartz dans le rôle principal.
Une famille bourgeoise reçoit la visite d'une jeune femme qui par l'intermédaire d'une servante peu farouche découvre les secrets d'alcôve de la maison en regardant au travers d'une oeillère donnant dans les pièces d'en face où les couples organisent des orgies. Une très belle image pour ce film à la classe indéniable, qui fait une fixette - d'où le titre éponyme - sur les bas de soie noire ici mise en valeur dans des saynètes éclairées à la perfection et donnant un cachet fin 70's début 80's des plus audacieux. Lui aussi tourné en 35 mm, ce film témoigne d'un respect et d'un amour du genre qui le confine au quasi chef-d'oeuvre. La musique qui accompagne le tout colle parfaitement à l'ambiance et à l'érotisme des scènes. Un petit bijou qui montre que Tranbaree stakhanoviste sait aussi filmer.
8/10

Du hard américain maintenant, avec deux films démentiels (enfin le premier) de Stanley Kurlan ( et non pas Stanley Kubrick :mrgreen: ) :

Eruption - 1977 -
Témoignage de la maîtrise indéniable du cinéma X d'exploitation des années 70 américain, avec cette petite bombe qui compte au casting deux figures mythiques , John Holmes et Leslie Bovée. Remake d'un film des années 50-60, histoire de chantage et de faux contrat, Eruption a été tourné à Hawaï et l'image très granuleuse magnifie l'utilisation de la pellicule. Les scènes se succèdent et sont réalisées avec inventivité, avec même l'utilisation du split-screen. Musique funky et disco, scènes de comédies que l'on peut regarder en VO, et surtout John Holmes, hallucinant dans les scènes hardcore et aussi à l'aise dans le jeu d'acteur qu'il s'amuse à incarner avec un plaisir non feint. La complicité avec Leslie Bovée, sublime actrice aux yeux verts éclatants est évidente et les deux ne se font pas prier pour se déchaîner devant la caméra.
Un film solide et torride, un des meilleurs du genre.
vic viendra peut-être en parler.
8/10

Stormy - 1980 -
Là encore c'est du pur cinéma de divertissement et d'exploitation, avec un John Holmes qui ferait passer les autres acteurs pour des petits joueurs perdus sur le plateau. Son charisme est hallucinant dès qu'il ouvre une porte et rentre dans une pièce. Histoire basique mais réalisation à la hauteur avec des gros plans en pagaille. Mais le ton est plus ironique et mordant, avec un final étonnant car jouant sur une fibre nostalgique. On est pas dans le registre de Johnny Wadd( séries de films tournés en 35 mm dans lesquels John Holmes apparaît en petite frappe du milieu policier qui cherche à démanteler des réseaux de drogue et à sauver les jeunes femmes innocentes ou mêlées à de sombres histoires en se les tapant à la fin selon un schéma classique de drague).
Une durée assez courte pour une succession de scènes mélangeant ton caustique et ambiance cool.
6/10

Retour en France avec deux productions signées Gerard Kikoïne.

Vacances à Ibiza - 1983 -
Marilyn Jess vient s'éclater à Ibiza en compagnie de Alban Ceray ( le Bernard Pivot du X) et Piotr Stanislas. Sea, Sex and sun pourrait être la devise de ce film sans scénario, mais qui compte à fond sur la présence de grosses stars pour appâter le spectateur. Et ça marche....plutôt moins que plus au final. Marilyn Jess se fend d'un t-shirt provoquant l'excitation de tous ceux qu'elle croisent, jusqu'à un final mythique sur un bateau face à la mer, avant que Stanislas, à peine remis de ses émotions en profite pour se terminer sur deux autres femmes ( Marilyn ne lui plaît donc pas tant que ça, pffff ). Un peu d'humour, en particulier une scène d'échange de monnaie dans un attaché-caisse bidon :
- " Tu la veux en quoi ta monnaie ?"
- " Et bien qu'est-ce que tu as ?"
-" Pesetas, Dollars, Deutsch Mark"
-" Pesetas oublie, bon je prends en dollars" répond Stanislas avec un sourire diabolique.
Un peu long, sentant trop la vidéo donc à l'image quelconque, un film trop inégal et lassant qui fait zapper. Le problème vient aussi du fait que Kikoïne est très cérébral et que ses films ont parfois un côté atonal, distancié, peu érotisant.
4/10

Chaudes Adolescentes - 1982 -
Ca commence avec une femme qui s'amuse à s'exciter avec un aspirateur, ce qui est étonnant chez Kikoïne qui est un réalisateur sérieux et souvent premier degré. Dans le rôle d'un architecte cabotineur et coureur de jupons, Alban Ceray reste sobre, tandis que que sa fille incarnée par Marilyn Jess en fait des vertes et des pas mûres dont une séance de gym plutôt musclée. Pendant tout le film, le film distille une grosse ambiguité dans les rapports père/ fille si bien qu'on se demande parfois s'il va finir par coucher avec, sans que la ligne jaune ne soit franchie.
C'est pas mal, ironique souvent, moyen en général, et ça reste du Kikoïne à la photo sombre. Ca reste comme Vacances des films bien réalisés mais qui manquent de quelque chose pour en faire des incontournables.
5/10
Image

Je vote pour Victoria Romanova
Tuck pendleton
Mogul
Messages : 10614
Inscription : 13 avr. 03, 08:14

Message par Tuck pendleton »

Jordan White a écrit : Alban Ceray ( le Bernard Pivot du X)
et ça donne quoi ? :shock:
Répondre