angel with dirty face a écrit :Je ne suis un spécialiste de l'image, mais pour un film de 1949, j'ai trouvé la copie très propre et le son impeccable.
Merci !

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
angel with dirty face a écrit :Je ne suis un spécialiste de l'image, mais pour un film de 1949, j'ai trouvé la copie très propre et le son impeccable.
Je préfère quant à moi l'appellation mélodrame noir pour ce type de films, dans lesquels je range également Mildred Pierce et Humoresque par exemple. Pour en revenir au film d'Ophuls et à la critique de Nestor, ce qui m'a le plus dérangé est la manière très abrupte d'amener la relation entre Bennett et Mason. La sympathie du petit maître chanteur envers cette mère de famille s'établit trop rapidement pour être crédible. C'est à mon avis la grosse faiblesse de ce film qui m'a d'ailleurs beaucoup plu sinon.Ann Harding a écrit :The Reckless Moment n'est pas un 'vrai' film noir. Il devient rapidement un mélodrame dans un milieu similaire à celui de Sirk. C'est d'ailleurs ce qui le rend passionnant à mon avis. Mais, j'ai toujours aimé le mélange des genres.
J'ai moi aussi perçu une gêne de ce genre avec la fille de Bennett qui, dans le hangar à bateaux, se braque instantanément contre celui qu'elle aimait encore quelques minutes plus tôt. Non que le revirement ne soit pas crédible, il est juste (à mes yeux) trop rapide. Cela fait partie des détails qui m'ont plutôt dérangés dans le film...joe-ernst a écrit :Pour en revenir au film d'Ophuls et à la critique de Nestor, ce qui m'a le plus dérangé est la manière très abrupte d'amener la relation entre Bennett et Mason. La sympathie du petit maître chanteur envers cette mère de famille s'établit trop rapidement pour être crédible. C'est à mon avis la grosse faiblesse de ce film qui m'a d'ailleurs beaucoup plu sinon.