Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Publié : 10 mars 21, 15:15
Dave Chappelle traitait explicitement le personnage de violeur en 2000 déjà.
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Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Publié : 10 mars 21, 15:18
Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Publié : 10 mars 21, 16:37
Alors je ne connais pas les raisons de cette suppression, mais si c'est réellement parce qu'on accuse le personnage de "promouvoir la culture du viol", alors ils n'ont même pas un QI à deux chiffres, puisque apparemment la scène, très "woke", était plutôt de leur coté :
Mais pour le coup, mon côté chauvin est ravi puisque Pépé le putois était une caricature du Français, et une figure très prisée des Anglais pour le French bashing
(encore il y a 2 ans, le Daily Telegraph l'utilisait carrément en "Une" pour évoquer Macron après sa bourde de vocabulaire en Australie, "delicious wife", en parlant de la femme du Premier ministre australien). Si on peut s'en débarrasser une fois pour toutes, au fond ce n'est pas si mal. 
C'est ballot. La dernière phrase sur le fameux pouvoir d'influence sur les comportements est débile, enfin bon."Pépé devait apparaître dans une séquence en noir et blanc qui rappelle la scène du Rick’s Cafe dans Casablanca", raconte le journaliste de Deadline. "Pépé, qui joue un serveur, commence à draguer une femme au bar, incarnée par Greice Santo. Il commence à embrasser son bras, qu’elle retire avant de repousser Pépé sur la chaise à côté de la sienne. Elle jette ensuite son verre sur Pépé et le gifle fort, l’envoyant tourner sur un tabouret, qui est alors arrêté par la main de LeBron James".
Le porte-parole de Greice Santo a indiqué que l'actrice, qui a elle-même été victime de harcèlement sexuel, était déçue de la suppression de cette scène.
"C’était si important pour Greice d’être dans ce film. Même si Pépé est un personnage de dessin animé, si quelqu’un avait l'opportuné de gifler un harceleur sexuel comme lui, Greice aurait souhaité que ce soit elle", a-t-il indiqué. "Maintenant que la scène est coupée, elle n’a plus le pouvoir d’influencer les jeunes générations qui regarderont Space Jam 2, pour faire savoir aux jeunes filles et aux jeunes garçons que le comportement de Pépé est inacceptable".
Mais pour le coup, mon côté chauvin est ravi puisque Pépé le putois était une caricature du Français, et une figure très prisée des Anglais pour le French bashing
(encore il y a 2 ans, le Daily Telegraph l'utilisait carrément en "Une" pour évoquer Macron après sa bourde de vocabulaire en Australie, "delicious wife", en parlant de la femme du Premier ministre australien). Si on peut s'en débarrasser une fois pour toutes, au fond ce n'est pas si mal. Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Publié : 10 mars 21, 17:11
Enfin, bref, le personnage a toujours servi à ça, il se définit ainsi.
Il veut séduire, il envahit l'espace privé de ses victimes de façon inacceptable, et il se fait remettre à sa place, en général plus par les faits que par les femmes, mais pas toujours, c'est la dynamique du personnage depuis sa conception. Avec le fait qu'il n'a jamais aucun remord, et un aplomb d'acier, il tente aussi désespérément de séduire des femmes que le coyote de manger les road-runners, et y parvient aussi bien... Ca n'est pas propre à Space Jam 2...
Il veut séduire, il envahit l'espace privé de ses victimes de façon inacceptable, et il se fait remettre à sa place, en général plus par les faits que par les femmes, mais pas toujours, c'est la dynamique du personnage depuis sa conception. Avec le fait qu'il n'a jamais aucun remord, et un aplomb d'acier, il tente aussi désespérément de séduire des femmes que le coyote de manger les road-runners, et y parvient aussi bien... Ca n'est pas propre à Space Jam 2...
Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Publié : 10 mars 21, 19:08
De toute façon, arrêtez de poster sur ce genre de topic, le très sympathique Stromboli il en a marre de vos pleurnicheries et de votre manque de profondeur dans vos réponses.
Il en a tellement marre qu'il ne se rend pas compte qu'il pleurniche lui aussi, je vous ferais dire.
Il en a tellement marre qu'il ne se rend pas compte qu'il pleurniche lui aussi, je vous ferais dire.
Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Publié : 10 mars 21, 19:44
Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Publié : 14 avr. 21, 16:17
Depuis que ce pédant personnage a déclaré "qu'accueillir le BIFFF au Beaux Arts c'était comme de recevoir les romanichels à Moulinsart" je le boycotte et je trouve assez marrant qu'il se fasse enfin taper sur les doigts
(même si être convoqué au tribunal pour ça alors qu'on a dix ans d'arriérés judiciaires en Belgique c'est un peu n'importe quoi)
Mais ça m'amuse: https://www.rtl.be/info/video/777934.aspx
(même si être convoqué au tribunal pour ça alors qu'on a dix ans d'arriérés judiciaires en Belgique c'est un peu n'importe quoi)
Mais ça m'amuse: https://www.rtl.be/info/video/777934.aspx
Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Publié : 14 avr. 21, 19:11
Si je comprends bien, il était dans une salle à part et par conséquent son « A poil! » beauf n’était pas destiné à être entendu par la maîtresse de cérémonie visée ?
Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Publié : 14 avr. 21, 20:49
Oui je pense qu'il était avec d'autres critiques cinéma (les Magritte = César belges) et qu'il s'est fait cafté...c'est quand même du délire à ce niveau, même si j'aime pas du tout le personnage justement très "je sais tout / donneur de leçon" on arrive à un nouveau niveau quoi. Bref, faisons attention...les murs ont des oreilles.Supfiction a écrit : ↑14 avr. 21, 19:11Si je comprends bien, il était dans une salle à part et par conséquent son « A poil! » beauf n’était pas destiné à être entendu par la maîtresse de cérémonie visée ?
Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Publié : 14 avr. 21, 21:01
Comme dirait Magritte, ceci n'est pas une fille à poil 
Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Publié : 14 avr. 21, 21:45
Par contre ce qu'elle tient, c'est une pipe.
Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Publié : 16 avr. 21, 13:46
Sauf que...: Message de H.Dayez (via son comparce Rudy Leonet):hellrick a écrit : ↑14 avr. 21, 20:49Oui je pense qu'il était avec d'autres critiques cinéma (les Magritte = César belges) et qu'il s'est fait cafté...c'est quand même du délire à ce niveau, même si j'aime pas du tout le personnage justement très "je sais tout / donneur de leçon" on arrive à un nouveau niveau quoi. Bref, faisons attention...les murs ont des oreilles.Supfiction a écrit : ↑14 avr. 21, 19:11 Si je comprends bien, il était dans une salle à part et par conséquent son « A poil! » beauf n’était pas destiné à être entendu par la maîtresse de cérémonie visée ?
Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Publié : 16 avr. 21, 14:43
En effet, là dessus il a raison... je ne comprends pas ce délire (même si je le répéte je n'aime pas H.D. et ça m'amuse qu'il se fasse taper sur les doigts), "a poil" ça peut pas être sexiste, on entends ça au Bifff depuis toujours comme il le dit et en concert aussi, que ce soit un mec ou une fille, c'est même plutôt sympa en fait, on gueule "à poil" pour marquer une certaine sympathie si les gens aiment vraiment pas ils diront plutôt "dégage", bientot on va dire que "eh gros" est une insulte liée au physique.
Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Publié : 16 avr. 21, 15:24
Les seules fois où j'ai entendu en concert des mecs gueuler "à poil", c'était clairement des mecs espérant que la femme sur scène le fasse. La dernière fois, c'était au concert de Chvrches (j'ai un doute mais il me semble que Let's Eat Grandma, en 1ere partie, y ont eu droit aussi). La fois d'avant à celui de Crystal Castles.
Je n'ai jamais entendu ça à des concerts de groupes 100% masculins (y compris de la part de femmes du public).
Et les fois où le public montrait son affection, ça se faisait en d'autres mots. Et si c'est une question d'appréciation artistique, comme tu le dis, c'est exprimé aussi en d'autres termes.
Je n'ai jamais entendu ça à des concerts de groupes 100% masculins (y compris de la part de femmes du public).
Et les fois où le public montrait son affection, ça se faisait en d'autres mots. Et si c'est une question d'appréciation artistique, comme tu le dis, c'est exprimé aussi en d'autres termes.
Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Publié : 16 avr. 21, 15:36
À une époque ça faisait rire, y compris Ségolène.
https://www.facebook.com/france3nordpas ... 7148497102
Je n'ai jamais été très Carnaval de Dunkerque (pourtant de ma région d'origine), mais en cette période, voir autant de gens réunis faisant la fête, je serais prêt à y foncer.
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Je n'ai jamais été très Carnaval de Dunkerque (pourtant de ma région d'origine), mais en cette période, voir autant de gens réunis faisant la fête, je serais prêt à y foncer.