Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
La facilité y participe certes parce que la plupart du temps le mouvement vient des usa (et quand on ne maîtrise pas suffisamment la langue française, c’est plus simple de reprendre les termes tels quels) mais il y a plus que ça, j’en suis persuadé (inconsciemment le plus souvent d’ailleurs).
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Pour moi, tout cela relève d'une mode américaine. Je ne vois rien de tendance ou de moderne à utiliser des anglicismes, l'anglais est le langage du siècle dernier, ringard et dépassé...
Mais ici, les termes américains me paraissent convenir, plus que leur traduction française, parce que c'est le lieu d'origine. Je n'ai aucune envie d'intégrer ces Attention !!! Avertissement de contenus : ironie moqueuse - sensitivophobie
Mais ici, les termes américains me paraissent convenir, plus que leur traduction française, parce que c'est le lieu d'origine. Je n'ai aucune envie d'intégrer ces Attention !!! Avertissement de contenus : ironie moqueuse - sensitivophobie
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I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Bien vu. Ce serait donc également un moyen de les rejeter. A l’oral, ça marche mieux, en y mettant volontairement l’accent.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
D'autres équivalent français : sensitivity reader : démineur éditorial, spoiler : divulgâcher
https://actualitte.com/article/7431/pre ... -francaise

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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Au contraire pour moi, et comme je le faisais à mon boulot avec tous les termes Start Up Nation que j'y trouvais, ça m'amuse énormément de franciser autant que possible ce genre de termes.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Tweet retiré, j'imagine qu'il y a eu un afflux de réactions moqueuses/incrédules. A noter que la tweeteuse se présentait comme activiste trans vegan hyperactive, ne manquaient qu'Asperger et l'intolérance au gluten...Flol a écrit : ↑15 janv. 21, 15:44 Pardon de remonter ce topic, mais je suis tombé là-dessus ce matin et je me suis senti obligé de vous le partager :
(j'aime en particulier le trigger-warning du "verre en terrasse"...surtout en ce moment)
Maintenant rigolons un peu, et imaginons ces fragiles ouvrant un bouquin de Bret Easton Ellis.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Le film est dans le giron de Disney désormais, il est fort possible que cette suppression de Trump devienne réalité sur Disney+, vu le nombre de films déjà concernés par des coupes/censures/ajustements.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
« Remake » de Connie Willis, un roman SF d’un peu plus de 20ans qui est de plus en plus visionnaire plus on vient sur ce topic.

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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Je ne vois pas en quoi une langue peut être ringarde et dépassée, mais juste pour savoir, quel est le langage du 21ème siècle alors?

Je suis tout aussi irrité par l’usage abusif de ces anglicismes, surtout venant de gens se revendiquant souvent « de gauche » et « anticolonialistes » (sic). Mais force est de reconnaître que la langue anglaise (et plus spécifiquement américaine), moins sacralisée par ses locuteurs, est l’une des seuls sinon la seule à inventer de nouveaux termes/concepts pour penser l’époque. On peut trouver beaucoup de ces concepts ridicules (et c’est souvent mon cas) mais s’ils ont un écho auprès des nouvelles générations, il doit bien y avoir une raison autre que la simple mode.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Je refais ma pub

http://hellrick.over-blog.com/2018/08/r ... illis.html
et puisque tu parles de Connie Willis tu dois connaitre dans le même genre sa nouvelle "ado"

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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
toujours l'anglais jusqu’à preuve du contraire...Mama Grande! a écrit : ↑18 janv. 21, 01:01Je ne vois pas en quoi une langue peut être ringarde et dépassée, mais juste pour savoir, quel est le langage du 21ème siècle alors?
"Il ne faut pas être timide avec la caméra. Il faut lui faire violence, la pousser jusque dans ses derniers retranchements, parce qu'elle est une vile mécanique. Ce qui compte, c'est la poésie."
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Comme je n'ai pas vu le tweet, à vrai dire, toute cette discussion est un peu surréaliste. C'était quoi exactement le reproche fait à ce roman ?Shin Cyberlapinou a écrit : ↑16 janv. 21, 23:44Tweet retiré, j'imagine qu'il y a eu un afflux de réactions moqueuses/incrédules. A noter que la tweeteuse se présentait comme activiste trans vegan hyperactive, ne manquaient qu'Asperger et l'intolérance au gluten...Flol a écrit : ↑15 janv. 21, 15:44 Pardon de remonter ce topic, mais je suis tombé là-dessus ce matin et je me suis senti obligé de vous le partager :
(j'aime en particulier le trigger-warning du "verre en terrasse"...surtout en ce moment)
Maintenant rigolons un peu, et imaginons ces fragiles ouvrant un bouquin de Bret Easton Ellis.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Les content warnings présents au début du livre :-Kaonashi Yupa- a écrit : ↑18 janv. 21, 15:13 Comme je n'ai pas vu le tweet, à vrai dire, toute cette discussion est un peu surréaliste. C'était quoi exactement le reproche fait à ce roman ?
https://www.amazon.fr/Tant-quil-faudra- ... 369748818/
Les pages concernées sont accessibles dans le feuilletage proposé par Amazon.