ex-beldvd man a écrit : ↑26 oct. 20, 10:16
Personnellement, à "épique", j'associe plus Lean que Lynch
D'un David à l'autre, il n'y a qu'un pas
Mais plus sérieusement, je pense au cheminement de Dale Cooper beaucoup plus "héroïque" que dans les deux premières saisons. On a parfois des impressions de Chanson de Geste, avec parcours initiatique, épreuves, amour preux (Naomi Watts), personnages légendaires (le garçon au gant vert, personnage d'ailleurs dont je n'ai toujours pas compris ce qu'il fout là

).
C'est ça que j'entends par "épique" : ce sentiment d'assister à une grande et ésotérique aventure collective. Ce qui n'était pas vraiment le cas dans les saisons d'il y a 30 ans où l'on était plus dans une espèce de léthargie localisée (unité de lieu).
Là, l'éclatement géographique permet de donner un sentiment de grandiose.
Je plains sincèrement ceux qui n'ont pas du tout aimé.