le doc du coffret Warner s'attarde sur ses films, et son jeu, mais sa vie privée avait l'air d'être lié à ses films, puisqu'on en parle aussi.hansolo a écrit :mais j'aurais aimé qu'il s'attarde également sur son talent d'acteur qui est evoqué a de multiples reprises mais peu étayé ...
Errol Flynn (1909-1959)
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hansolo a écrit :Arte a proposé le Thema "Une nuit avec Errol Flynn"
très interessant, la VF de Captain Blood est loin d'être mauvaise (mais quelques passage etaient en VOST ...)
Pourtant il y a eu de sévères coupes par rapport à la VO (la version d'Arte durait à peine 1h40, alors que celle du dvd en VO dure 2h00).
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quand tu decouvrira le docu d'Arte, tu comprendra qu'effectivement sa vie privée et sa vie d'acteur etaient très liés.Boubakar a écrit :le doc du coffret Warner s'attarde sur ses films, et son jeu, mais sa vie privée avait l'air d'être lié à ses films, puisqu'on en parle aussi.hansolo a écrit :mais j'aurais aimé qu'il s'attarde également sur son talent d'acteur qui est evoqué a de multiples reprises mais peu étayé ...
Je suis assez content que le jeu de Flynn soit détaillé dans le doc du coffret Warner, car sur ce point le doc d'Arte m'a laissé sur ma faim.
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Re: Votre quinté "Errol Flynn"
Fini le coffret "Errol Flynn"
Des quatre westerns de ce coffret le meilleur est sans hésitation celui signé par le réalisateur Michael Curtiz 'Virginia City' Ce westen fait parti d'une trilogie commencée par Dodge City (1940) suivie par Virginia, et, conclue par Santa Fe Trail.
Revenons à Virginia qui relate au travers d'allusion à la guerre de sécession l'histoire d'un espion nordiste (Errol Flynn) qui doit mettre fin aux agissements d'un officier sudiste (Randolph Scott); dont la mission consiste à transporter un chargement d'or pour soutenir les troupes sudistes mal en point. Brillamment dialogué Virginia au rythme époustouflant est un modèle du savoir-faire de mise en scène de Curtiz.
Le casting n'est pas en reste, outre Flynn et Scott habitué du genre, Humphrey Bogart
dans une composition savoureuse de bandit de grand chemin sans foi ni loi.
Montana et San Antonio sont deux petits westerns sans réelle surprise bénéficiant dans les deux de la présence gracieuse de l'actrice Alexis Smith, inoubliable partenaire d'Errol dans le film de Walsh "Gentleman Jim'
Pas certain que je me les rappelle dans 1 an ! ::)
Rocky Mountain est plus séduisant dans sa structure : un petit groupe de sudiste en mission pour recruter des hommes (mercenaires) prend part au sauvetage d'une dilligence attaquée par les indiens, mettant ainsi leur mission en grand danger. La mise en scène de William Keighley privilège le côté psychologique des nombreux personnages au détriment de l'action, néanmoins deux belles séquences (début et à la fin) sont de nature à combler les aficionados du western.
On peut considérer ce western comme le chant du cygne du comédien Errol puisque à la dernière bobine
Des quatre westerns de ce coffret le meilleur est sans hésitation celui signé par le réalisateur Michael Curtiz 'Virginia City' Ce westen fait parti d'une trilogie commencée par Dodge City (1940) suivie par Virginia, et, conclue par Santa Fe Trail.
Revenons à Virginia qui relate au travers d'allusion à la guerre de sécession l'histoire d'un espion nordiste (Errol Flynn) qui doit mettre fin aux agissements d'un officier sudiste (Randolph Scott); dont la mission consiste à transporter un chargement d'or pour soutenir les troupes sudistes mal en point. Brillamment dialogué Virginia au rythme époustouflant est un modèle du savoir-faire de mise en scène de Curtiz.
Le casting n'est pas en reste, outre Flynn et Scott habitué du genre, Humphrey Bogart

Montana et San Antonio sont deux petits westerns sans réelle surprise bénéficiant dans les deux de la présence gracieuse de l'actrice Alexis Smith, inoubliable partenaire d'Errol dans le film de Walsh "Gentleman Jim'
Pas certain que je me les rappelle dans 1 an ! ::)
Rocky Mountain est plus séduisant dans sa structure : un petit groupe de sudiste en mission pour recruter des hommes (mercenaires) prend part au sauvetage d'une dilligence attaquée par les indiens, mettant ainsi leur mission en grand danger. La mise en scène de William Keighley privilège le côté psychologique des nombreux personnages au détriment de l'action, néanmoins deux belles séquences (début et à la fin) sont de nature à combler les aficionados du western.
On peut considérer ce western comme le chant du cygne du comédien Errol puisque à la dernière bobine
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Re: errol flynn (1909-1959)
Tasmanian Devil: The Fast and Furious Life of Errol Flynn (Simon Nasht, 2007) :

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Un documentaire australien laudateur un brin malhonnête donc. Toutes les excuses sont bonnes pour Errol Flynn, le pauvre homme tiraillé entre ses pauvres pulsions et les méchantes femmes qui ne l'ont jamais compris. Le pauvre.
Toutefois, pour quelqu'un comme moi qui ne connaissais pas vraiment l'histoire du personnage, c'est assez instructif et intéressant. Dommage que les commentaires soient si grossièrement orientés.

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Un documentaire australien laudateur un brin malhonnête donc. Toutes les excuses sont bonnes pour Errol Flynn, le pauvre homme tiraillé entre ses pauvres pulsions et les méchantes femmes qui ne l'ont jamais compris. Le pauvre.
Toutefois, pour quelqu'un comme moi qui ne connaissais pas vraiment l'histoire du personnage, c'est assez instructif et intéressant. Dommage que les commentaires soient si grossièrement orientés.
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Re: Notez les films naphtas - Juin 2009
Kim (1950) - Victor Saville

Kim, jeune orphelin fils d'un officier anglais se fait régulièrement passer pour un jeune indien et aide les anglais en espionnant pour eux. Parallèlement, il se lie d'amitié avec un lama qui cherche une rivière sacrée.
Basé sur le roman éponyme de Rudyard Kipling, Kim est un de ses nombreux films vantant l'impérialisme anglais et le colonialisme aux Indes. Ce film met surtout en avant les aventures du jeune Kim joué par Dean Stockwell totalement crédible à la fois en sahib et petit mendiant indien. Errol Flynn n'a ici qu'un rôle secondaire, d'ailleurs l'affiche est assez mensongère, car elle met naturellement en avant la vedette et semble montrer une idylle amoureuse, alors que les jeunes femmes n'ont que des rôles totalement secondaires dans ce film. Paul Lukas complète le cast avec son rôle de Lama attachant. On ne peut s'empêcher de trouver l'intrigue de Kipling très manichéenne avec ses bons anglais et ses méchants russes et méchants locaux aux têtes de traitres évidentes ! Malgré quelques scènes tournées aux Indes, certaines transparences paraissent grossières. On passe toutefois un agréable moment à suivre les aventures de ce petit garçon héroïque.
Kim, jeune orphelin fils d'un officier anglais se fait régulièrement passer pour un jeune indien et aide les anglais en espionnant pour eux. Parallèlement, il se lie d'amitié avec un lama qui cherche une rivière sacrée.
Basé sur le roman éponyme de Rudyard Kipling, Kim est un de ses nombreux films vantant l'impérialisme anglais et le colonialisme aux Indes. Ce film met surtout en avant les aventures du jeune Kim joué par Dean Stockwell totalement crédible à la fois en sahib et petit mendiant indien. Errol Flynn n'a ici qu'un rôle secondaire, d'ailleurs l'affiche est assez mensongère, car elle met naturellement en avant la vedette et semble montrer une idylle amoureuse, alors que les jeunes femmes n'ont que des rôles totalement secondaires dans ce film. Paul Lukas complète le cast avec son rôle de Lama attachant. On ne peut s'empêcher de trouver l'intrigue de Kipling très manichéenne avec ses bons anglais et ses méchants russes et méchants locaux aux têtes de traitres évidentes ! Malgré quelques scènes tournées aux Indes, certaines transparences paraissent grossières. On passe toutefois un agréable moment à suivre les aventures de ce petit garçon héroïque.
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
Against all Flags - A l'abordage - George Sherman (1952)

Au XVIIIè siècle, un officier de la marine anglaise se fait passer pour un pirate pour infiltrer la base pirate logée à Madagascar. L'un des "frères" de la cote n'est autre qu'une rousse incendiaire.
Nous sommes ici dans un de ces films de pirates comme Hollywood en produisit à une certaine époque. Reconstitution de bateaux, de costumes tout resplendit dans ce technicolor magnifique, mais les scènes de bataille que nous sommes en droit d'attendre de ce style de films ne sont pas vraiment fouillées. Il n'y a qu'une malheureuse véritable scène d'abordage dans le film. On ne comprend pas non plus pourquoi le film n'est pas resté sur cette inflitration des pirates par un espion et a tourné dans le grotesque avec l'enlèvement de la fille du gr'and Mogol. Si le technicolor est magnifique et tout à fait bien utilisé dans ce film, l'intrigue est parfois un rien complexifiée ou alors abêtie notamment par cette princesse fille du Grand Mogol et qui passe son temps à demander au héros de l'embrasser.
Et puis il y a le casting, Errol Flynn ne peut cacher les effets de l'alcool sur sa silhouette, heros bouffi qui cherche plus à faire son numéro à la Errol Flynn qu'autre chose. Ceci étant la scène où il apprend à Maureen O Hara d'être une véritable femme est charmante. Mais il joue plus dans un rôle de "vieux" serial kisser qu'autre chose. Maureen O Hara est flamboyante dans ce rôle de maîtresse femme, pirate au grand coeur, et Anthony Quinn parfait en "méchant pirate. Mildred Natwick est également excellente en gouvernante. Le film a un certain charme toutefois, la copie du DVD universal est magnifique en tous les cas, même si ce n'est qu'une série B.

Au XVIIIè siècle, un officier de la marine anglaise se fait passer pour un pirate pour infiltrer la base pirate logée à Madagascar. L'un des "frères" de la cote n'est autre qu'une rousse incendiaire.
Nous sommes ici dans un de ces films de pirates comme Hollywood en produisit à une certaine époque. Reconstitution de bateaux, de costumes tout resplendit dans ce technicolor magnifique, mais les scènes de bataille que nous sommes en droit d'attendre de ce style de films ne sont pas vraiment fouillées. Il n'y a qu'une malheureuse véritable scène d'abordage dans le film. On ne comprend pas non plus pourquoi le film n'est pas resté sur cette inflitration des pirates par un espion et a tourné dans le grotesque avec l'enlèvement de la fille du gr'and Mogol. Si le technicolor est magnifique et tout à fait bien utilisé dans ce film, l'intrigue est parfois un rien complexifiée ou alors abêtie notamment par cette princesse fille du Grand Mogol et qui passe son temps à demander au héros de l'embrasser.
Et puis il y a le casting, Errol Flynn ne peut cacher les effets de l'alcool sur sa silhouette, heros bouffi qui cherche plus à faire son numéro à la Errol Flynn qu'autre chose. Ceci étant la scène où il apprend à Maureen O Hara d'être une véritable femme est charmante. Mais il joue plus dans un rôle de "vieux" serial kisser qu'autre chose. Maureen O Hara est flamboyante dans ce rôle de maîtresse femme, pirate au grand coeur, et Anthony Quinn parfait en "méchant pirate. Mildred Natwick est également excellente en gouvernante. Le film a un certain charme toutefois, la copie du DVD universal est magnifique en tous les cas, même si ce n'est qu'une série B.
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
Whaoouu!Cathy a écrit :Against all Flags - A l'abordage - George Sherman (1952)
Ou a tu pu voir cet incunable?
Dvd Z1? VOST?
- What do you do if the envelope is too big for the slot?
- Well, if you fold 'em, they fire you. I usually throw 'em out.
Le grand saut - Joel & Ethan Coen (1994)
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
DVD zone 1 universal, coffret Pirates of the Golden Age avec stf


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Re: Errol Flynn (1909-1959)
Merci Cathy!Cathy a écrit :DVD zone 1 universal, coffret Pirates of the Golden Age avec stf
Sur quel site me conseille tu de le commander (le moins exposé à la douane)
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
Pacific, ou alors via e-bay. En regardant la note des vendeurs, généralement c'est rapide et sans douane ! Je n'ai jamais eu de problèmes via ce biais !hansolo a écrit :Merci Cathy!Cathy a écrit :DVD zone 1 universal, coffret Pirates of the Golden Age avec stf
Sur quel site me conseille tu de le commander (le moins exposé à la douane)
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
Le poster est pas mal joli en tout cas. 


Top 20 actuel
http://www.shompy.com/someone1600/l10080_frfr.html
Mes dvd
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
Aujourd'hui, DVDClassik met en ligne la chronique de deux westerns avec Errol Flynn, deux films réalisés en 1950 respectivement par Ray Enright et William Keighley. Merci à Julien Léonard pour son texte concernant deux films assez peu connus.
Montana / La Révolte des dieux rouges


