cinephage a écrit : ↑4 juil. 24, 15:16
Le syndicat français de la critique a demandé à une trentaine de critiques de répondre à 7 questions. C'est plutôt intéressant, même si un peu touffu...
cinephage a écrit : ↑4 juil. 24, 15:16
Le syndicat français de la critique a demandé à une trentaine de critiques de répondre à 7 questions. C'est plutôt intéressant, même si un peu touffu...
Il y a quand même plusieurs noms dans cette liste qui me sont parfaitement inconnus.
cinephage a écrit : ↑4 juil. 24, 15:16
Le syndicat français de la critique a demandé à une trentaine de critiques de répondre à 7 questions. C'est plutôt intéressant, même si un peu touffu...
Il y a quand même plusieurs noms dans cette liste qui me sont parfaitement inconnus.
#pas_un_vrai_cinéphile
Tu as piqué ma curiosité : il y en a 16 que je connais de nom (et plus si affinités).
Soit grosso modo la moitié.
Je vais lire ça attentivement, curieux de voir les réponses de critiques comme Ariane Allard, Frédéric Mercier, ou Adrien Gombeaud.
Il y a certains noms que je ne connais pas, mais y retrouver le mec qui sévit dans Paris Match, ça fait doucement rigolé.
Ca doit jouer, moi je n'en connais que 4, ensuite je lis beaucoup moins de presse ciné qu'il y a 10 ans, et déjà à l'époque on était dans les rédacteurs assez orientés films de genre.
Je connais la plupart, y compris au moins une dont le travail que je vois passer d'elle me fait me demander pourquoi on lui pose des questions à propos de la critique (le genre de personnes dont je vois au festival Lumière plus de selfies au repas officiel que de textes sur les films qu'elle y a vu...).
Par contre, Renaud Baronian ou Chloé Cavillier, aucune idée.
tenia a écrit : ↑5 juil. 24, 16:38
une dont le travail que je vois passer d'elle me fait me demander pourquoi on lui pose des questions à propos de la critique (le genre de personnes dont je vois au festival Lumière plus de selfies au repas officiel que de textes sur les films qu'elle y a vu...).
Emmanuel Burdeau revient sur le Masque & la Plume au fil des décennies. Ça dure plus de 3h30 et c'est absolument passionnant (en plus d'être très juste) :
