Dvdclassik : cinéma et DVD

nosferatu90 a écrit : ↑21 sept. 24, 10:31
tchi-tcha a écrit : ↑21 sept. 24, 10:13
si c'est français ça n'existe pas.
Et pourtant on a quelques très beaux (parfois bons) exemples notamment dans le néo-giallo :
- Diaboliquement vôtre de Duvivier (1967)
- Cran d'arrêt de Boisset (1970)
- Sans mobile apparent de Labro (1971)
- Peur sur la ville de Verneuil (1975)
- Le couteau sous la gorge de Mulot (1986)
- Noir comme le souvenir de Mocky (1995)
- Le couteau dans le cœur de Gonzales (2018)

Si Peur sur la ville relève du giallo alors Dirty Harry aussi. Et après on ne comprend plus rien.

Jack Carter a écrit : ↑21 sept. 24, 10:48
nosferatu90 a écrit : ↑21 sept. 24, 10:31

Et pourtant on a quelques très beaux (parfois bons) exemples notamment dans le néo-giallo :
- Diaboliquement vôtre de Duvivier (1967)
- Cran d'arrêt de Boisset (1970)
- Sans mobile apparent de Labro (1971)
- Peur sur la ville de Verneuil (1975)
- Le couteau sous la gorge de Mulot (1986)
- Noir comme le souvenir de Mocky (1995)
- Le couteau dans le cœur de Gonzales (2018)
pas vu, mais comme precurseur, Constance aux enfers avec Michele Morgan (film de François Villiers, 1963) (hellrick le citait dans son bouquin)

Pas vu non plus.
Cela dit Les Yeux froids de la mort de Castellari est dans sa bible sans pour autant toucher au giallo et il reconnait, d'ailleurs, que ce n'en est pas un.

Bonner a écrit : ↑21 sept. 24, 10:56
nosferatu90 a écrit : ↑21 sept. 24, 10:31

Et pourtant on a quelques très beaux (parfois bons) exemples notamment dans le néo-giallo :
- Diaboliquement vôtre de Duvivier (1967)
- Cran d'arrêt de Boisset (1970)
- Sans mobile apparent de Labro (1971)
- Peur sur la ville de Verneuil (1975)
- Le couteau sous la gorge de Mulot (1986)
- Noir comme le souvenir de Mocky (1995)
- Le couteau dans le cœur de Gonzales (2018)
Si Peur sur la ville relève du giallo alors Dirty Harry aussi. Et après on ne comprend plus rien.

Vais t'avouer ne jamais l'avoir vu. Vais rattraper cela. Cela dit, le cinéma américain et notamment celui des studios est commandé par une mythologie bien à eux.

nosferatu90 a écrit : ↑21 sept. 24, 11:09
Bonner a écrit : ↑21 sept. 24, 10:56
Si Peur sur la ville relève du giallo alors Dirty Harry aussi. Et après on ne comprend plus rien.
Vais t'avouer ne jamais l'avoir vu. Vais rattraper cela. Cela dit, le cinéma américain et notamment celui des studios est commandé par une mythologie bien à eux.

Inspecteur Harry c'est génial. Mais il ne faut pas s'attendre à un film hyper violent. C'est plutôt très gentillet mais les films us du début des années 70 sont obligatoires.

Bonner a écrit : ↑21 sept. 24, 10:56
Si Peur sur la ville relève du giallo alors Dirty Harry aussi. Et après on ne comprend plus rien.

"What if one crossed Dirty Harry with a giallo and throw in some of Belmondo death defying stunts in for good measure."

EliWallou a écrit : ↑21 sept. 24, 18:50
Bonner a écrit : ↑21 sept. 24, 10:56
Si Peur sur la ville relève du giallo alors Dirty Harry aussi. Et après on ne comprend plus rien.
"What if one crossed Dirty Harry with a giallo and throw in some of Belmondo death defying stunts in for good measure."

C'est un prompt pour une IA personnelle ??

Bonner a écrit : ↑21 sept. 24, 10:56 Si Peur sur la ville relève du giallo alors Dirty Harry aussi. Et après on ne comprend plus rien.

J'avais abordé Peur sur la ville sans a priori il y a une quinzaine d'années et le giallo fait clairement partie de l'ADN du film, le tueur (joué par un acteur italien dans ce qui reste une coproduction italienne) est visuellement très codifié (le fameux oeil de verre) et s'en prend exclusivement à des femmes pour un motif psychosexuel là où Scorpio est plus "equal opportunity" en ciblant tout et n'importe qui et en mélangeant des attributs hippie avec des propos ouvertement racistes (plus une évolution dans son allure, des pansements à sa patte raide). Le film reste ensuite un polar d'action assujetti à la formule Belmondo encore en formation et à certains codes de l'époque (le polar post Dirty Harry donc) mais le giallo est dans l'équation.

Shin Cyberlapinou a écrit : ↑21 sept. 24, 22:03
Bonner a écrit : ↑21 sept. 24, 10:56 Si Peur sur la ville relève du giallo alors Dirty Harry aussi. Et après on ne comprend plus rien.
J'avais abordé Peur sur la ville sans a priori il y a une quinzaine d'années et le giallo fait clairement partie de l'ADN du film, le tueur (joué par un acteur italien dans ce qui reste une coproduction italienne) est visuellement très codifié (le fameux oeil de verre) et s'en prend exclusivement à des femmes pour un motif psychosexuel là où Scorpio est plus "equal opportunity" en ciblant tout et n'importe qui et en mélangeant des attributs hippie avec des propos ouvertement racistes (plus une évolution dans son allure, des pansements à sa patte raide). Le film reste ensuite un polar d'action assujetti à la formule Belmondo encore en formation et à certains codes de l'époque (le polar post Dirty Harry donc) mais le giallo est dans l'équation.

Là tu viens de foutre un gros bordel dans la discussion

Bonner a écrit : ↑21 sept. 24, 23:44
Shin Cyberlapinou a écrit : ↑21 sept. 24, 22:03

J'avais abordé Peur sur la ville sans a priori il y a une quinzaine d'années et le giallo fait clairement partie de l'ADN du film, le tueur (joué par un acteur italien dans ce qui reste une coproduction italienne) est visuellement très codifié (le fameux oeil de verre) et s'en prend exclusivement à des femmes pour un motif psychosexuel là où Scorpio est plus "equal opportunity" en ciblant tout et n'importe qui et en mélangeant des attributs hippie avec des propos ouvertement racistes (plus une évolution dans son allure, des pansements à sa patte raide). Le film reste ensuite un polar d'action assujetti à la formule Belmondo encore en formation et à certains codes de l'époque (le polar post Dirty Harry donc) mais le giallo est dans l'équation.
Là tu viens de foutre un gros bordel dans la discussion

Au contraire, il vient prouver par l'exemple que définir le giallo n'est pas aussi simple que certains le prétendent.

Bonner a écrit : ↑21 sept. 24, 23:44
Shin Cyberlapinou a écrit : ↑21 sept. 24, 22:03

J'avais abordé Peur sur la ville sans a priori il y a une quinzaine d'années et le giallo fait clairement partie de l'ADN du film, le tueur (joué par un acteur italien dans ce qui reste une coproduction italienne) est visuellement très codifié (le fameux oeil de verre) et s'en prend exclusivement à des femmes pour un motif psychosexuel là où Scorpio est plus "equal opportunity" en ciblant tout et n'importe qui et en mélangeant des attributs hippie avec des propos ouvertement racistes (plus une évolution dans son allure, des pansements à sa patte raide). Le film reste ensuite un polar d'action assujetti à la formule Belmondo encore en formation et à certains codes de l'époque (le polar post Dirty Harry donc) mais le giallo est dans l'équation.
Là tu viens de foutre un gros bordel dans la discussion

Cela dit, je trouve que la différence d'approche du film saute aux yeux dès le titre (puisque je le rappelle, je n'ai pas encore regardé Dirty Harry. Je vais essayer de palier cette lacune dans la journée).
Dirty Harry semble se focaliser sur le personnage du flic et sa personnalité, c'est peut-être lui dont il est question en fait (à vérifier).
Peur sur la ville semble de prime abord s'intéresser aux meurtres et leur conséquences avant tout.
Normalement, dans un giallo, la personnalité de l'enquêteur n'est pas au centre du de l'équation...

Du coup la saga des Vendredi 13 c'est un Giallo

Les giallos ce sont des romans

bocina a écrit : ↑22 sept. 24, 11:17 Du coup la saga des Vendredi 13 c'est un Giallo

La parenté paraît certaine non? Le slasher est ensuite plus anglo-saxon et moins opulent que son baroque cousin italien mais La baie sanglante est une charnière notoire entre ces deux genres.

Shin Cyberlapinou a écrit : ↑22 sept. 24, 14:44
bocina a écrit : ↑22 sept. 24, 11:17 Du coup la saga des Vendredi 13 c'est un Giallo
La parenté paraît certaine non? Le slasher est ensuite plus anglo-saxon et moins opulent que son baroque cousin italien mais La baie sanglante est une charnière notoire entre ces deux genres.

La parenté est certaine : les américains ayant surfé sur la formule la plus violente et aussi la plus lucrative commercialement.
Cela dit, à part la scène d'ouverture de La Baie sanglante, pour moi celui-ci est bien plus un slasher qu'un giallo d'où la notion de film charnière.

Bonner a écrit : ↑21 sept. 24, 10:56 Si Peur sur la ville relève du giallo alors Dirty Harry aussi. Et après on ne comprend plus rien.

Mais tu as déjà regardé des gialli???
L'Inspecteur Harry n'a RIEN d'un giallo, ni de près, ni de loin !

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