Dvdclassik : cinéma et DVD

Gaia: 3/10

Pour le classement, j'ajoute mes notes:

Conjuring 3: 3/10
Possessor: 4/10
The nightingale: 5/10
Oxygène: 6/10
Nomadland: 7/10
A l'abordage: 7/10

The Father : 8/10

La nuée 5/10

Karras a écrit : ↑27 juin 21, 21:58 Ils leur manquent une note :

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Le tigre blanc
Sputnik - Espèce Inconnue
Braquage Final (The Vault)
L'étreinte
Demon Slayer - Kimetsu no Yaiba - Le film : Le train de l'infini
Le Dernier voyage
Vaurien
Shorta
Gagarine
Teddy
First Cow

Allez, Sputnik - Espèce Inconnue : 6.5/10

Les deux Alfred : 7.5/10

Shorta : 6,5/10

143, rue du désert : 7/10

UN HOMME EN COLÈRE : 5,5/10
Ça commence plutôt pas mal, un polar sobre (ce qui change du style roublard de Guy Ritchie) assez sympathique, mais j’ai eu un peu de mal avec la partie flashback trop explicative puis gros coup de fatigue sur la dernière 1/2h où j’ai bien comaté...

poet77 a écrit : ↑30 juin 21, 11:18 Sous le ciel d'Alice: 8/10

Tu peux en dire un peu plus ? Je connais la réalisatrice, donc je compte bien voir son film, mais je serais curieux de connaitre ton avis.

Flol a écrit : ↑30 juin 21, 15:24

poet77 a écrit : ↑30 juin 21, 11:18 Sous le ciel d'Alice: 8/10

Tu peux en dire un peu plus ? Je connais la réalisatrice, donc je compte bien voir son film, mais je serais curieux de connaitre ton avis.

Chloé Mazlo, artiste plasticienne qui signe là son premier long-métrage, parsème son film de trouvailles étonnantes, presque bricolées, mais qui dégagent d'autant plus de charme. À plusieurs reprises, elle intègre des éléments d’animation, dessinés ou en pâte à modeler, chaque fois de manière attrayante. Quand elle montre les belligérants, il lui suffit de quelques personnages masqués et armés de part et d’autre d’une pseudo-barricade faite avec des sacs. Quant au Liban, elle le représente sous l’aspect d’une jeune femme portant un habit en forme de cèdre : une des scènes la montre aux prises avec la Mort exécutant sa danse macabre.

En privilégiant la métaphore, le film tout entier se garde de tout réalisme cru. Sans édulcorer les horreurs de la guerre, Chloé Mazlo préfère en souligner l’absurdité : « même dans le mal, nous sommes médiocres », affirme un présentateur de télévision. Mais c’est en suggérant la tristesse et les regrets éprouvés par les protagonistes que la réalisatrice parvient à des sommets : ainsi quand Mona se présente à un concours de piano et, plutôt que de jouer une Valse de Brahms, se met à chanter son pays meurtri ; ou quand Alice, agenouillée, prie le Dieu de toutes les nombreuses religions présentes sur le sol du Liban de lui rendre la paix ; ou encore quand Joseph enregistre les paroles qu’il n’a pas su dire de vive voix à Alice. En fin de compte, en usant de tous les moyens dont elle dispose, en ne se privant jamais d’inventivité dans la mise en scène, Chloé Mazlo remporte le pari de faire un film poétique sur un sujet empreint de gravité, et même de tragédie. N’est-ce pas une manière judicieuse de préserver la force intérieure et l’espérance, même en période de grande adversité ?

Merci à toi !

Flol a écrit : ↑30 juin 21, 15:24

poet77 a écrit : ↑30 juin 21, 11:18 Sous le ciel d'Alice: 8/10

Tu peux en dire un peu plus ? Je connais la réalisatrice, donc je compte bien voir son film, mais je serais curieux de connaitre ton avis.

Oh l'autre, et moi je connais untel et puis j'ai déjeuné avec machin.
Hé ho ça va, redescends de ton nuage toi !

J'ai remarqué Joshua que tes avatars ont toujours une étrangeté très caractéristique.
Tu as une patte Joshua.
bon Paul Prébois, c'était un peu éprouvant

Alexandre Angel a écrit : ↑30 juin 21, 16:01
Tu as une patte Joshua.
'roir

J'en ai même 4.

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