Et vous, qu'allez-vous regarder ce soir ?

[Jeremy Fox]

Hier soir, j'ai regardé Ziegfield Folies de Minnelli and co, vraiment pas terrible cette suite de "sketchs" (il y a bien sur quelques numeros à sauver), ennui...

Oui c'est assez mauvais/laborieux/ennuyeux dans l'ensemble.

[Beule]

Hier soir, j'ai regardé Ziegfield Folies de Minnelli and co, vraiment pas terrible cette suite de "sketchs" (il y a bien sur quelques numeros à sauver), ennui...

Ouais, tout de même ! Je considère Limehouse Blues comme l'un des sommets minnelliens pour ma part. Sans oublier This Heart of Mine.
Le reste...

[Jeremy Fox]

Hier soir, j'ai regardé Ziegfield Folies de Minnelli and co, vraiment pas terrible cette suite de "sketchs" (il y a bien sur quelques numeros à sauver), ennui...

Ouais, tout de même ! Je considère Limehouse Blues comme l'un des sommets minnelliens pour ma part. Sans oublier This Heart of Mine.
Le reste...

Oui donc on en revient tous au même avis car à peine 15 minutes sur plus de deux heures, c'est quand même l'ennui le grand gagnant.

[Beule]

Certes. Je pense qu'il ne me viendrait plus à l'idée de regarder le "film" dans sa continuité.
Mais j'ai aussi une petite tendresse pour A Great Lady has an Interview. Mis bout-à-bout, on doit largement dépasser le quart d'heure de métrage valable

[Alexandre Angel]

Personnellement je ne dirais pas "ennui" et je vous trouve un peu sévère.

C'est surtout que certains sketchs sont horripilants (Fanny Brice et son humour juif qui n'en est pas, c'est une horreur).

[Watkinssien]

Personnellement je ne dirais pas "ennui" et je vous trouve un peu sévère.

C'est surtout que certains sketchs sont horripilants (Fanny Brice et son humour juif qui n'en est pas, c'est une horreur).

Je vous trouve sévère également.

Il y a bien des inégalités, mais il y a bien 9 ou 10 segments que je trouve réussis.

[Jack Carter]

Hier soir, j'ai regardé Ziegfield Folies de Minnelli and co, vraiment pas terrible cette suite de "sketchs" (il y a bien sur quelques numeros à sauver), ennui...

Ouais, tout de même ! Je considère Limehouse Blues comme l'un des sommets minnelliens pour ma part.

oui, voila, c'est le sommet du film

[Jack Carter]

Ouais, tout de même ! Je considère Limehouse Blues comme l'un des sommets minnelliens pour ma part. Sans oublier This Heart of Mine.
Le reste...

Oui donc on en revient tous au même avis car à peine 15 minutes sur plus de deux heures, c'est quand même l'ennui le grand gagnant.

la copie TCM fait 1h45

[Jeremy Fox]

Oui donc on en revient tous au même avis car à peine 15 minutes sur plus de deux heures, c'est quand même l'ennui le grand gagnant.

la copie TCM fait 1h45

Tu as gagné un quart d'heure d'ennui : plains toi !

[Jack Carter]

la copie TCM fait 1h45

Tu as gagné un quart d'heure d'ennui : plains toi !

imdb indique 1h50.

[Jack Carter]

Cet apres-midi, revision en salles de Deux sous d'espoir, et ce soir, peut-etre Moi, Pierre Riviere (pour rester dans la thematique Bruno Reidal )

[Jeremy Fox]

Cet apres-midi, revision en salles de Deux sous d'espoir,

Je viens de trouver Primavera du même réalisateur ; il vient d'arriver sur la plateforme VOD des médiathèques.

[Flol]

Tu vas seulement avoir l'impression de voir un pilote de série, formellement anodin.

Tu vas dérouiller.
Sérieusement, si tu trouves ça ne serait-ce que potable, je ne comprendrais pas.

Et sinon pour The Old Guard, j'ai beau bien aimé la miss Charlize Theron et Matthias Schoenaerts, ça ne l'a vraiment pas fait (je lui ai mis 4 - vu ma tendance à noter généreux, ça devrait renseigner sur la qualité du machin).

J'ai même trouvé ca plutôt mauvais, assez cheap et un peu chiant.
Le tout noyé dans un habillage de "consommable a date de péremption rapide" typique de Netflix.

Eh bien merci messieurs, vous aviez tous raison.

Alors j'ai vu pire. Mais j'ai surtout vu bien mieux.
Parce qu'on nage ici en plein terrain connu, avec une Charlize Theron qui nous refait pour la 18ème fois le rôle de la nana badass qui marche comme une badass avec ses lunettes de soleil de badass et en ne souriant jamais parce que c'est trop une badass.
La mythologie, que l'on tente maladroitement de mettre en place, pouvait être intéressante sur le papier. Mais c'est totalement sous-traité en plus d'être finalement super con (je suis très fan de ces photomontages tout pétés où l'on voit la tête des comédiens collées salement sur de vieilles photos du 19ème siècle) et surtout très mal joué - la jeune militaire que l'on rajoute au groupe, non seulement ça sent le quota (il manquait une noire) mais en plus, elle joue vraiment comme une patate.
Quant aux scènes d'action, ça faisait bien longtemps que je n'en avais pas vu d'aussi peu palpitantes et avec une photo aussi moche.
Donc encore un grand merci à Netflix pour ce divertissement de haute qualité ! (qui évidemment se sent obligé de nous annoncer une suite que personne n'a demandé, dans une scène finale qui réussit en plus à annihiler toute la puissance dramatique de LA SEULE bonne scène du film)

[Thesix]

Décidément ma chère candygirl, tu fais plaisir.

Et je t'envie de découvrir ces grands classiques.

Oui ! Surtout quand on voit, sur ce topic, ce que l'on est obligé de découvrir quelques 20 ou 30 années de cinéphilie plus tard ...

[Invité1]

Hier soir, j'ai découvert Le Troisième Homme (Carol Reed - 1949) et j'ai paradoxalement passé un chouette moment dans ce décors fantomatique et lugubre qu'est la ville de Viennes au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Les personnages sont également fantomatiques, en deuil et proprement égarés face à la situation politique complexe et paranoïaque de la ville divisée en 4 zones par les vainqueurs de la guerre (Russes, Américains, Anglais et Français). Le métrage s'étiole néanmoins à mi-parcours, tourne un peu en rond et surprend à devenir un brin ennuyeux avant l'apparition d'Orson Welles qui reste, quoi qu'il interprète, un extraordinaire acteur. Parsemé de twists et épaulé par une direction photo littéralement sublime, Le Troisième Homme est à mon avis un très bon film, auréolé de la Palme d'Or cannoise.
7.5/10

Ce soir, je pars à la découverte de La Soif Du Mal (Orson Welles - 1958) qui est, paraît-il, un chef-d’œuvre absolu.