Dvdclassik : cinéma et DVD

L'immensità (Emanuele Crialese) 4,5/10
(Chronique familiale solaire où la fille aînée a tellement d'imagination qu'elle se prend pour un garçon, où le père engrosse sa secrétaire et où la mère fait un burn-out (Penélope Cruz en surrégime). Identité sexuelle, masculinité toxique, des thèmes actuels figés dans la nostalgie, au traitement démonstratif... et surtout un cinéma muséifié devant lequel je me suis ennuyé ferme.)

Babylon : 7/10

De Humani Corporis Fabrica 6/10
Professeur Yamamoto part à la retraite 6/10
Natural Light 5/10
Nos soleils 5/10
Earwig 4/10

Cet été-là (Eric Lartigau) : 5/10

De Humani Corporis Fabrica 6/10

Alors, c'est beau le laid ? ^^

Pourquoi le laid ? Certaines scènes il faut avoir le cœur bien accroché, mais j’en attendais peut-être trop après les retours cannois, c’est avant tout un documentaire sur le monde hospitalier, beaucoup moins expérimental que prévu.

Pourquoi le laid ?

Je ne sais pas ... peux-être que je me fais trop un imaginaire genre film dans le corps et donc au delà de nos capacités à voir. J'attends la sortie VOD du film malgré tout, j'avais assez halluciné sur Leviathan à sa diffusion sur Arte. Et Nos Soleils ? Je vais le voir demain soir.

Babylon 8,5/10

Alibabass a écrit : ↑22 janv. 23, 17:24

Pourquoi le laid ?

Je ne sais pas ... peux-être que je me fais trop un imaginaire genre film dans le corps et donc au delà de nos capacités à voir. J'attends la sortie VOD du film malgré tout, j'avais assez halluciné sur Leviathan à sa diffusion sur Arte. Et Nos Soleils ? Je vais le voir demain soir.

A mi-chemin entre Sorogoyen et Y aura-t-il de la neige à Noël, ce qui devrait en convaincre plus d'un mais comme je n'aime aucun des deux... on va dire pas si mal.

Mise à jour du classement

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Cet été là : 4.5/10

The Pale blue eye : 7/10

The Pale Blue Eye : 5/10

Sick (John Hyams): 6,5/10

Sans réinventer la roue, un slasher très efficace, bien réalisé, filmé comme un film d’action, dont l'originalité principale réside dans la constante diversité de ses poursuites, et la brutalité de ses meurtres. Notons aussi qu'à ce récit d’une famille de fous animés d’une logique délirante( tout ce discours sur l'irresponsabilité des jeunes en écho à la pudibonderie des slashers d'antan) renvoie astucieusement à celui tenu par les autorités durant la crise sanitaire. Même derrière ses airs de divertissement, la pique de Williamson fait mouche.

Babylon : 8,5/10

The Fabelmans : 9/10. L'un des plus beaux films de Spielberg.