SCORSESE : rétrospective intégrale au Centre Pompidou
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Quelle question ! bien sur que Aviator est vivant !Montag a écrit :A parce qu'Aviator c'est vivant.Kevin95 a écrit :Une retro à monter à tout ceux qui croivent betement que le cinéma est mort !
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SCORSESE : rétrospective intégrale au Centre Pompidou
Petit-fils d'immigrants siciliens, Martin Scorsese se dit lui-même "Americanitalian". La "Little Italy" où il a grandi et qu'il a restituée dans ses premiers films à la fin des années 60 et dans les années 70 est d'abord new-yorkaise : elle conjugue la violence et la misère urbaines modernes à la culture italienne traditionnelle dominée par la religion, la famille et le clan.
Le cinéma de Scorsese est né dans ces rues et y habite toujours. La jungle urbaine, sa faune déjantée ou mafieuse en sont l'un des motifs principaux de Who's That Knocking at My Door à Gangs of New York, de Taxi Driver jusque À tombeau ouvert. Arpenté par des personnages en quête de salut mus par une culpabilité dévorante, cet enfer existe d'abord à travers leurs yeux, comme projection de leurs fantasmes ou de leurs phobies. Dès le début des années 70, Robert De Niro a donné corps à ces personnages au point qu'ils se confondent avec lui. De Mean Streets à Casino, le cinéaste et son acteur ont dessiné une figure unique et protéiforme, incarnation tragique de l'Amérique moderne, déchirée entre déchéance et rédemption, schizophrénie et paranoïa, frustration sexuelle et déchaînement de violence.
Pendant trois mois et demi, le Centre Pompidou montrera toute l'œuvre de celui que Michael Powell avait surnommé « le Goya de la 10ème rue » (fictions, documentaires, films musicaux, clips, publicités, courts et longs métrages), rendant ainsi hommage à l'une des figures les plus marquantes du cinéma contemporain, passeur entre classique et post-modernité et véritable conscience historique du cinéma mondial.
Des films essentiels aux plaisirs coupables, Martin Scorsese remontera également aux origines de sa cinéphilie en présentant près de 40 films américains, britanniques et italiens des années quarante et cinquante, vus dans l'enfance et l'adolescence, et qui ont fondé son cinéma.
Pour accompagner et prolonger cette rétrospective intégrale et cette carte blanche, le Centre Pompidou et les Cahiers du cinéma co-éditent un livre d'entretiens avec Martin Scorsese sur l'ensemble de ses films menés par Michael Henry Wilson, compagnon de route du cinéaste. Un album illustré par des photographies et documents inédits provenant des archives de Martin Scorsese.
TOUTES LES SEANCES
Re: SCORSESE: rétrospective intégrale au Centre Pompidou
Si les "Voyages..." sont en VOST et non en VF comme sur le DVD, alors je vais y aller.
- Boubakar
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je ne le pense pas ! que cela doivent l'embeter plus que cela... meme s'il en annonce le contraire, il ne fait que jubiler à l'idee que lui aussi, il a ete capable d'etre remarqué et parfois tourbillonnant sur l'histoire du cinema !Boubakar a écrit :Quand je vois toutes les rétrospectives, un réalisateur peut-il en avoir marre de parler de ses film, en gros de parler de son passé ?
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Super Seb le Bat Coco a écrit :je ne le pense pas ! que cela doivent l'embeter plus que cela... meme s'il en annonce le contraire, il ne fait que jubiler à l'idee que lui aussi, il a ete capable d'etre remarqué et parfois tourbillonnant sur l'histoire du cinema !Boubakar a écrit :Quand je vois toutes les rétrospectives, un réalisateur peut-il en avoir marre de parler de ses film, en gros de parler de son passé ?
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Ce court m'a marqué de façon indélibile.Trelkovsky a écrit :Mirror, mirror...
Je l'ai vu très jeune alors que je ne connaissais pas encore l'oeuvre de Scorsese.
C'est la seule fois où il se rend sur le terrain du pur film d'angoisse.
J'aimerais beaucoup le revoir.
Quelqu'un a une copie ???
Il est vendu à 12 euros là
http://www.priceminister.com/offer/buy/ ... c-VHS.html
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J'irai volontiers revoir Le Temps de l'innocence, mon Scorsese préféré, que je n'ai jamais vu au cinéma (comme la majorité des films du réal, d'ailleurs ).
Tiens il y a aussi Senso, ce pourrait être une chance de redécouvrir ce film qui m'avait plu sans plus.
Et un Cassavetes (Shadows), histoire que je réussisse un jour à voir un de ses films.
Et Salvatore Giuliano !
Et il y aura même Hell's Angels de Hughes !
Magic Box, je crois que mon enregistrement lors de son passage au cinéma de minuit avait déconné. Donc peut-être aussi.
Je vous ai toujours aimé, de Borzage, je ne connais pas, mais pourquoi pas (j'aurais préféré L'Heure suprême, mais tant pis).
C'est que ça dur bien longtemps !!
Tiens il y a aussi Senso, ce pourrait être une chance de redécouvrir ce film qui m'avait plu sans plus.
Et un Cassavetes (Shadows), histoire que je réussisse un jour à voir un de ses films.
Et Salvatore Giuliano !
Et il y aura même Hell's Angels de Hughes !
Magic Box, je crois que mon enregistrement lors de son passage au cinéma de minuit avait déconné. Donc peut-être aussi.
Je vous ai toujours aimé, de Borzage, je ne connais pas, mais pourquoi pas (j'aurais préféré L'Heure suprême, mais tant pis).
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