Robert Mulligan (1925-2008)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Brice Kantor
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Robert Mulligan (1925-2008)

Message par Brice Kantor »

Je n'ai vu que deux films de ce cinéaste, Du silence et des ombres et Un été en Louisane, mais je les adore! Il me semble aussi avoir vu Un été 42 il y a très longtemps mais je n'ai plus que des souvenirs brumeux...

Est-ce que je pourrais avoir vos commentaires sur l'oeuvre de ce cinéaste, et sur ses autres films à découvrir en priorité? :) Merci!!
Alex Blackwell
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Message par Alex Blackwell »

Il y a un western assez fascinant avec Gregory Peck, the stalking Moon. C'était passé à la dernière séance il y a un paquet d'années.

Par ailleurs the other a une énorme réputation, mais je ne l'ai pas encore vu.
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Night of the hunter forever


Caramba, encore raté.
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Jeremy Fox
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Message par Jeremy Fox »

J'adore donc de ce cinéaste discret et sensible Un été 42, To Kill a Mockinbird et L'autre. Ravi Brice que tu aimes énormément ce très beau Un été en Louisiane (The man in the moon) l'un de ces films d'une délicatesse extrême sur l'adolescence :)
Fatalitas
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Message par Fatalitas »

Jeremy Fox a écrit :J'adore donc donc de ce cinéaste discret et sensible Un été 42, To Kill a Mockinbird et Les autres. Ravi Brice que tu aimes énormément ce très beau Un été en Louisiane (The man in the moon) l'un de ces films d'une délicatesse extrême sur l'adolescence :)
L'Autre plutot :wink:
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Jeremy Fox
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Message par Jeremy Fox »

Une certaine rencontre (Love with a Proper Stranger) - 1963

Rocky Papasano (Steve McQueen) est un jeune musicien new-yorkais un peu bohème. Alors qu'il est en train de chercher du travail, il est interpellé par Angela (Natalie Wood), une vendeuse avec qui il eut une brève liaison. Elle lui annonce qu'elle est enceinte de lui et sollicite son aide pour trouver une adresse dans le but d'avorter. Il leur faut également trouver de l'argent pour la personne qui pratiquera cette 'opération'. Confrontés à une 'faiseuse d'anges' qui leur a donné rendez-vous dans un endroit extrêmement sordide, la culpabilité vient tarauder les deux jeunes gens qui sont alors obligés de reconsidérer cette idée d’autant que l’amour commence à s’immiscer au sein leurs relations...

Malgré son extrême sensibilité, sa touche très personnelle et son immense talent, Robert Mulligan continue à avoir beaucoup de mal à faire son trou dans notre pays ; la preuve avec ce Love with a proper Stranger qui demeure toujours aussi mal connu dans l’Hexagone, les copies ayant circulé jusque là étant d’ailleurs recadrées en 1.37. Grâce à Splendor Films ce très beau film va nous être enfin proposé dans son bon format 1.85 ; il est donc temps de se pencher dessus d’autant qu’il n’a rien à envier aux œuvres les plus connues du cinéaste. Au début des années 80, la filmographie de Robert Mulligan pour nous autres cinéphiles français se résumait au magnifique Un été 42 (Summer of 42') -grâce aussi à Michel Legrand à une Jennifer O'Neill dont nous étions tous tombés amoureux- ainsi qu’à L’autre (The Other), film fantastique assez unique, devenu rapidement culte. Il aura fallu attendre bien après la sortie de son ultime film, le mésestimé et pourtant magnifique Un été en Louisiane (The Man in the Moon), pour que d’autres titres fassent discrètement leur apparition sur le devant de la scène. De nos jours, on peut s’extasier très légitiement sur la superbe adaptation de Harper Lee, Du Silence et des ombres (To Kill a Mockingbird) ou redécouvrir assez facilement par l’intermédiaire du DVD l’une des comédies les plus amusantes des années 60, Rendez-vous de septembre (Come September) avec l’improbable duo composé de Rock Hudson et Gina Lollobrigida qui contre toute attente fonctionne à merveille.

Robert Mulligan aura d’autres belles réussites à son actif que ce soit dans le domaine du western (The Stalking Moon), du film d’aventure (The Spiral Road), du drame (Baby the Rain must Fall) ou du film noir (The Nickel Ride) : un réalisateur éclectique qui mérite impérativement que l’on s’y arrête plus attentivement. Pour se faire, recentrons nous en l’occurrence sur ce Love with the Proper Stranger qui est né de l’idée du scénariste de télévision Arnold Schulman. Il propose à Alan J. Pakula et Robert Mulligan un récit qu’il avait écrit depuis longtemps ; une histoire qui se déroulait dans les quartiers peu favorisés de New York et qui contait non seulement romance peu banale entre deux jeunes adultes nés de l’immigration italienne mais abordant également un thème tabou pour l’époque, l’avortement. Le réalisateur accroche immédiatement -son producteur Pakula tout autant- et se lance dans l’aventure avec pour incarner son jeune couple deux très grandes stars de l’époque, non moins que Steve McQueen et Natalie Wood ; il est d’autant plus étonnant que ce film ne soit pas plus connu et reconnu dans nos contrées, la cote d’amour pour ces deux comédiens ayant toujours été au beau fixe, leur interprétation à tous deux s'avérant ici remarquable.

[spoilers possibles] D’un côté un jeune musicien dilettante et immature à la recherche de quelques contrats ; de l’autre une vendeuse dans un grand magasin qui vient d’apprendre être enceinte de ce partenaire d’un soir. Le film débute donc d’une manière assez audacieuse, là où la plupart des comédies romantiques se seraient presque terminées puisque dès le départ le couple dont on va narrer l'histoire a déjà ‘consommé’. La jeune femme vient trouver le père de son enfant à venir pour lui demander son aide afin de trouver l’argent nécessaire pour faire pratiquer un avortement ainsi que pour dénicher un ‘médecin’ complaisant, cette opération étant à l’époque totalement illégale aux États-Unis (et ailleurs). Tous deux sont issus de l’immigration italienne avec tout ce que cela comporte niveau environnement familial, leurs conditions de vie étant assez précaire, les frères veillant attentivement aux fréquentations de leurs sœurs, ces dernières se trouvant souvent espionnées et oppressées, peu libres de leurs mouvements. Lui avait déjà oublié cette aventure d’un soir, ne se souvenant même pas du prénom de sa partenaire ; dans un premier temps réticent, sa conscience le taraudant et la jeune femme se faisant légitimement insistante, il va décider de prendre ses responsabilités et va finalement partir à la recherche de la somme importante demandée pour ce genre d’interventions. Il la trouvera pour une majeure partie auprès de ses parents sans évidemment leur donner la véritable raison de ce besoin financier.

Les auteurs en profitent pour décrire avec acuité, lucidité, précision et tendresse le milieu des italo-américains, les protagonistes étant filmés en studio mais aussi beaucoup dans les rues de Manhattan, le film de Mulligan s’avérant ainsi un passionnant document sociologique. Les séquences se déroulant au sein des deux familles sont écrites avec justesse, minutie et cependant non sans humour, tous les protagonistes semblant plus vrais que nature sans pittoresque inutile. Confrontés au contexte extrêmement sordide de l‘avortement clandestin dans un squat insalubre, l'avorteuse arrivant avec un matériel douteux et peu hygiénique, le couple est rebuté par cet environnement plus que déprimant et la culpabilité ne tarde pas à les ronger au point qu’ils décident de faire machine arrière. Après plus d'une heure de film, la partie purement comédie romantique peut débuter, ce qui n'est pas banal comme changement de ton et ce qui constitue une fois encore un schéma assez peu traditionnel pour un film Hollywoodien de l'époque. Les auteurs pourront ainsi aborder d’autres thématiques moins dramatiques, plus psychologiques mais pas pour autant moins passionnantes ; ils entameront une réflexion -en adéquation avec le titre de leur film- sur ce que représentent l’amour, le mariage et le divorce pour les jeunes adultes de cette génération et nous parleront de la condition féminine au travers le portrait d’une femme émancipée qui a décidé d’assumer son indépendance malgré les pressions familiales assez étouffantes, ses frères ne pouvant par exemple pas s’empêcher d’aller la chercher à sa sortie du travail pour la raccompagner chez elle "en toute sécurité". Des membres de la famille pleins de bonnes intentions mais cependant extrêmement pesants par le fait de brider la liberté de la fille.

Face aux difficultés rencontrées ensemble lors de cette descente aux enfers stoppée net par leur prise de conscience au moment même de l’infâme rendez-vous clandestin [fin des spoilers], les deux jeunes gens (Natalie Wood fraîche et rayonnante, Steve McQueen tout autant nonchalant que fragile) vont non seulement apprendre à se connaitre mais également à s’aimer, le happy end –passage obligé de la comédie romantique- s’avérant aussi euphorisant qu’auront été dramatiques quelques séquences précédentes. Sinon le film n’est cependant pas aussi sombre que nous pourrions le penser à la description du sujet mais plutôt doux-amer, les auteurs parvenant à maintenir tout du long une certaine légèreté par le mordant des dialogues et un humour souvent présent -sans néanmoins aucune pesanteur- notamment lors des séquences d’une belle justesse dépeignant la vie quotidienne des deux familles italo-américaines, leurs membres étant interprétés par de solides seconds rôles, Peter Bosley en tête mais aussi Hershcel Bernardi ou Harvey Lembeck. Sur un rythme apaisé, étirant expressément ses scènes d’une manière presque théâtrales, le cinéaste prend son temps pour contextualiser son intrigue et le milieu décrit, par petites touches subtiles et sensibles mais sans aucune mièvrerie. L'écriture s'avère à la lois rigoureuse et pointilliste alors que la mise en scène de Mulligan est constamment élégante malgré le réalisme de l’ensemble.

Un mélange tout à fait unique de drame social réaliste et intimiste, de document sociologique et de comédie romantique, porté à bout de bras par un couple au charme fou et grandement charismatique formidablement dirigé par un réalisateur dont la singulière sensibilité nous ravira toujours autant. La beauté de la photographie en noir et blanc qui valut à Milton R. Krasner une nomination à l’Oscar ainsi que le score attachant du complice habituel du cinéaste, Elmer Bernstein, finissent de faire de cette œuvre délicate, intelligente et pudique un film assez entêtant vers lequel nous aurons envie de revenir de temps à autre d’autant qu’en le replaçant dans son contexte, il s’avère d’une certaine audace et d’une grande modernité. Pour les amateurs de la vie privée des stars, sachez que c’est sur le tournage de ce film que débuta l’idylle entre Steve McQueen et Natalie Wood, cette dernière n’ayant que de bons souvenirs de ce film puisqu’elle dira "working on this film was the most rewarding experience I had in all films, all the way around."
Brice Kantor
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Message par Brice Kantor »

Jeremy Fox a écrit : Ravi Brice que tu aimes énormément ce très beau Un été en Louisiane (The man in the moon) l'un de ces films d'une délicatesse extrême sur l'adolescence :)
C'est délicat mais un peu dur aussi comme film... Enfin ce genre de films a toujours tendance à me bouleverser et comme celui-là est particulièrement réussi.

Un conseil: ne lisez pas le résumé de la jaquette du DVD qui raconte tout ! Sinon il est pas cher actuellement (6,99 euros).
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Flol
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Message par Flol »

J'ai récemment ouvert un topic suite à ma découverte de son Summer of '42, qui fut un énorme choc pour moi.
De Mulligan, j'ai également vu The Other, film étrange à l'atmosphère surannée et très soignée, doté d'un twist scénaristique assez ébourrifant...et d'une excellente musique de Goldsmith. ;)
Brice Kantor
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Message par Brice Kantor »

En tout cas, seulement deux films dispos en zone 2... :? et même la zone 1 est très moyennement servie...

http://dvdtoile.com/Filmographie.php?id=1594
Lord Henry
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Message par Lord Henry »

Je conçois un attachement particulier à l'endroit de The Nickel Ride - portrait d'un petit truand. Une oeuvre qui emprunte les atours elimés du film de gangster, mais le réalisateur nimbe son intrigue d'un climat d'irréalité. Les points de repère s'estompent autour du protagoniste principal (Jason Miller), les certitudes s'effilochent, sa propre vie lui échappe.

Le film se déroule comme un lent rêve à l'issue inexorable et dont le rêveur lui-même chercherait en vain, et sans illusions, à s'extirper.

Peut-être, formellement, le film le plus accompli de Robert Mulligan.
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Ducdame
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Re: Robert Mulligan

Message par Ducdame »

Je fais appel à vos connaissances et au goût très sûr de certains, je connais peu Mulligan...juste un très vague souvenir de Summer 42 et le sujet ne m'intéresse pas du tout, et j'ai trouvé très peu engageant (ça c'est pour ne froisser aucune suceptibilité) Up the Down Staircase.

Cela étant je n'ai pas dit mon dernier mot et je viens de repérer un dvd zone 1 Baby, The rain Must Fall (Le Sillage de la Passion) avec Lee Remick :oops: et MCQueen, un film sixties qui me tente bien....des avis sur le film, please?
Dernière modification par Ducdame le 2 avr. 08, 18:32, modifié 2 fois.
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cinephage
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Re: Robert Mulligan

Message par cinephage »

Pour avoir découvert il y a peu To kill a mockingbird, je ne saurais trop en recommander le visionnage. Il s'agit d'un film qui conjugue Americana, monde de l'enfance, et racisme ordinaire, dans une forme sensible et délicate.

C'est un film que j'ai déja envie de revoir, et qui me trotte dans la tête. Du générique d'ouverture, qui décline un chant d'enfant en filmant des objets en plan rapproché, dont il émane une poésie sourde et belle, aux personnages secondaires les plus insignifiants du film (un pasteur noir et emprunt de dignité, une vieille femme sur le perron de chez elle...), tout y est ciselé avec sensibilité et un très grand sens de la photographie (sous le charme du récit, je n'ai pas trop prêté attention à l'écriture cinématographique elle-même, tout au plus puis-je dire qu'elle est efficace). Les dialogues sont spirituels, sans trop basculer dans le mot d'auteur, et le film me fascine surtout pour son rendu du "point de vue de l'enfant", qui est étonnant de vérité et de justesse, alors même que le cinéaste ne se limite pas à ce seul rendu, et s'attache surtout à offrir une leçon de tolérance subtile et convaincante (le versant anti-raciste du film a beaucoup créé de difficultés lors du tournage dans le sud des Etats-Unis, ai-je pu lire).
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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AtCloseRange
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Re: Robert Mulligan

Message par AtCloseRange »

cinephage a écrit :Pour avoir découvert il y a peu To kill a mockingbird, je ne saurais trop en recommander le visionnage. Il s'agit d'un film qui conjugue Americana, monde de l'enfance, et racisme ordinaire, dans une forme sensible et délicate.

C'est un film que j'ai déja envie de revoir, et qui me trotte dans la tête. Du générique d'ouverture, qui décline un chant d'enfant en filmant des objets en plan rapproché, dont il émane une poésie sourde et belle, aux personnages secondaires les plus insignifiants du film (un pasteur noir et emprunt de dignité, une vieille femme sur le perron de chez elle...), tout y est ciselé avec sensibilité et un très grand sens de la photographie (sous le charme du récit, je n'ai pas trop prêté attention à l'écriture cinématographique elle-même, tout au plus puis-je dire qu'elle est efficace). Les dialogues sont spirituels, sans trop basculer dans le mot d'auteur, et le film me fascine surtout pour son rendu du "point de vue de l'enfant", qui est étonnant de vérité et de justesse, alors même que le cinéaste ne se limite pas à ce seul rendu, et s'attache surtout à offrir une leçon de tolérance subtile et convaincante (le versant anti-raciste du film a beaucoup créé de difficultés lors du tournage dans le sud des Etats-Unis, ai-je pu lire).
+100
Un de mes plus belles découvertes naphta de l'an dernier.
Voici ce que j'en disais
AtCloseRange a écrit :Du Silence et des Ombres - Robert Mulligan
La première heure qui s'attache aux enfants est vraiment magnifique. Ce qui m'a fait regretter qu'on finisse par entrer dans le palais de justice tellement je trouvais l'idée de l'eviter pendant toute la première partie vraiment très ingénieuse.
Mais bon, cette partie du procès est plutôt réussie (la déposition de Tom Robinson et la plaidoirie d'Atticus Finch) mais je suis quand même généralement très réfractaire aux films du procès et à leurs inévitables clichés et simplifications.
La dernière partie renoue avec la magie du début (le titre français est assez juste finalement, on pourrait se croire chez Tourneur parfois ou dans "La Nuit du Chasseur" avec cette atmosphère inquiètante et ces peurs enfantines).
A noter la photo nocturne superbe de Russel Harlan (c'est là que je suis content de pouvoir découvrir ce genre de film en DVD) et le thème principal d'Elmer Bernstein est poignant.
On l'entend sur le beau générique:
Ducdame
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Re: Robert Mulligan

Message par Ducdame »

.
Dernière modification par Ducdame le 29 janv. 09, 19:04, modifié 1 fois.
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cinephage
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Re: Robert Mulligan

Message par cinephage »

Libre à toi d'ouvrir un topic sur ce film spécifique, cher Ducdame... Je laisse à d'autres plus chanceux le soin de parler de Baby, The Rain Must fall, que je n'ai pas vu pour ma part, et dont je lirai moi aussi les critiques avec curiosité. :wink:

Mais ce topic-ci étant consacré à Mulligan en général, il me parait approprié d'y poster les avis sur ses films, quitte à ne pas répondre directement à ta question (ce qui ne veut pas dire qu'on s'en foute). Ta remontée de topic m'a donc permis d'y placer le mien, et à Atcloserange d'y replacer le sien. C'est toujours ça de pris.
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Tancrède
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Re: Robert Mulligan

Message par Tancrède »

cinephage a écrit : Mais ce topic-ci étant consacré à Mulligan en général, il me parait approprié d'y poster les avis sur ses films, quitte à ne pas répondre directement à ta question (ce qui ne veut pas dire qu'on s'en foute). Ta remontée de topic m'a donc permis d'y placer le mien, et à Atcloserange d'y replacer le sien. C'est toujours ça de pris.
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Dernière modification par Tancrède le 2 avr. 08, 21:48, modifié 1 fois.
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